Spiritualité

Homélies, réflexions et spiritualité

Spiritualité

Filtrer les éléments par date : septembre 2022
jeudi, 15 septembre 2022 14:28

Un signe.

Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.

Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.  

 

Publié dans Textes de réflexion
jeudi, 15 septembre 2022 14:28

Un signe.

Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.

Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.  

 

Publié dans Textes de réflexion
jeudi, 15 septembre 2022 14:28

Un signe.

 

Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.

Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.  

Le signe de ralliement du peuple chrétien est la croix portant un christ ressuscité, un Christ glorieux. Le temps du Christ ensanglanté et fouetté est passé, il a duré une journée. Le Christ glorieux dure depuis plus de 2000 ans et encore aujourd'hui Il est avec nous sur la route, Il nous enseigne la fidélité dans les difficultés et la joie de la résurrection. 

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mardi, 13 septembre 2022 16:08

Soyons créatifs. Luc 16, 1-13.

L'Évangile de notre dimanche semble un peu crontradictoire avec le message de Jésus. Il semble encourager la malhonnêteté. On dit que certains biblistes ont des maux de tête de vouloir comprendre ce texte. Essayons timidement d'en trouver la substantifique moêle.

Il me semble que ce texte est d'une grande actualité. Dans la situaiton d'Église que nous  vivons aujourd'hui, les fils de la lumière se doivent d'être plus habile que les autres. Nos églises se vident et sont vouées à d'autres vocations, les chrétiens sont de plus en plus indifférents aux structures religieuses et celles-ci péréclitent. Pendant ce temps sur le terrain des oeuvres caritatives et des engagements se multiplient au service de la vie. Des gropuscules religieux voient le jour parce que les femmes et les hommes ont besoin de fraternité, de communion et ils essaient de rérpondre à ce besoin. Sur le terrain se vit beaucoup de créativité. les fils de ce monde sont-ils plus habiles entre eux que les fils de la lumière.  

Ce texte est un vibrant appel à la conversion. Il ne s'agit pas d'une démarche particulière mais bien d'une attitude générale qui va inspirer des démarches en réponse aux aspiraitons du peuple chrétien. Le temps de confinement de la pandémie aurait été un moment bénéfique pour rercréer des attitudes neuves face à des besoins nouveaux. Les chrétiens autour de nous qui ont délaissé la pratique sacramentelle nous interpellent fortemant à de la créativité et à une gérance productive  et ingénieuse de notre foi chrétienne. Nous risquons trop de rester enfermés dans nos structures ou ne de faire que de la chirurgie esthétique. Comment faire aujourd'hui que l'Évangile du Crist soit une Bonne Nouvelle dans notre monde? Notre monde a soif de lumière, de sens à la vie, serons-nous créateurs pour répondre à ces besoins?

Le temps de confinement avec la fermeture de nos églises auraient été favorable à développer le goût de la Parole par des petits rassemblements ou par internet. Les célébrations de funérailles sans eucharistie sont un moment intéressant pour développer d'autres façons de célébrer avec la Parole sans être pris dans le rite liturgique.  L'engagement des gens auprès des pauvres, des malades et des sans voix, l'engagement des jeunes dans la lutte contre l'intimidation devrait  inspirer notre engagement de foi.  Est-ce que notre foi est assez essouflée pour ne plus être en mesure d'écouter et de répondre aux besoins spirituels des chrétiens d'ici? L'Évangile n'est pas seulement un texte que nous lisons à l'église, il est parole de vie sur le terrain de la vie. Il est appel à la conversion. Il est appel à vivre l'essentiel.

L'homme ne peut servir deux maitres. Aujourd'hui nous traduirions l'homme ne peut s'attacher aux structures d'hier et servir les besoins d'aujourd'hui. En s'attachant aux structures, les gens partent, nos églises se vident et un fossé se creuse entre les générations. Il nous est demandé une vraie conversion du coeur. Il ne s'agit pas d'ajouter ou changer des mots dans l'Eucharistie pour rasembler les chrétiens; Il faut un changement du coeur. Il ne s'agit pas de faire des rites mais d'animer la prière et la vie de foi des femmes et des hommes d'ici et d'aujourd'hui. Il ne s'agit plus de sortir des murs de l'église, mais aussi des façons de célébrer, des structures pour découvrir que nous sommes des envoyés  dire au monde la beauté de la Bonne Nouvelle de l'Évangile. Nous sommes invités au rendez-vous de Dieu au coeur de nos vies, dans la Galilée de nos vies.

 

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vendredi, 09 septembre 2022 14:20

Un sacrement.

Hier j'ai mangé des carottes, des fèves jaunes et vertes, de la viande et des fruits, ces choses n'ont rien ajouté à mon identité, j'étais et je suis resté un homme avec le même nom, mais cette nourriture a ajoutéé des forces pour ma santé, elles m'ont donné des calories pour conserver ma santé. La nourriture me permet de mieux vivre ce que je suis.

C'est un peu ce que fait le sacrement. Ils n'ajoutent rien à mon identité: je suis toujours un être humain, enfant de Dieu, rempli de l'Esprit Saint. Le sacrement me donne des forces, des calories pour mieux vivre ce que je suis et bien réaliser la mission que le Christ m'a donnée. La rencontre du Christ dans le baptême me permet de mieux vivre ma vie d'enfant de Dieu à travers les vicissitudes de la vie. L'Eucharistie me permet de mieux vivre mon être de communion avec les autres et avec le Seigneur. Je vais célébrer parce que je suis enfant de Dieu, être de commuion, etc. .. et que cette rencontre du Christ me permet de mieux vivre ce que je suis. C'est ce que nous appelons la grâce dans la vision "chosifiée des sacrements"..

Dans un sacrement, il y a deux aspect: Un temps et un moment. Le temps est ma vie, le sacrement est d'abord une vie. Le moment est la célébration. Je vis le sacrement et je le célèbre en communauté. Je suis baptisé et je l'ai célébré tel jour et telle année. La pandémie nous a fait réaliser avec plus d'acuité encore que nous avons mis l'accent sur la célébration et perdu beaucoup de la dimension vie. Nous jugeons les chrétiens  à partir de leur présence à la liturgie. Nous avons une Église sectionnée en deux: Une partie qui met l'accent sur le MOMENT, et l'autre sur le TEMPS. C'est ainsi que nous sommes parvenus à préparer les enfants aux sacrements et non à la vie par les sacrements.  Nous avons là un grand sujet de réflexion pour quelques années.

 

 

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mardi, 06 septembre 2022 17:05

Des leçons de la pandémie.

Nous venons de vivre un temps difficile pour tous, celui des confinements; nous avons beaucoup déploré la fermeture des églises, l'absence de messes et surtout que la réouverture ne s'est pas faite sur un plan d'égalité avec d'autres lieux de rassemblement. Mais il y a des leçons que ce temps nous oblige à méditer.

Mgr Grech de France nous fait voir que la pandémie a fait ressortir avec plus de rigeur la pauvreté spirituel du peuple chrétien. durant le confinement nous nous sommes plains de l'absence de messe et nous nous sommes garauchés dur les moyens virtuels pour reproduire la messe laissant de côté d'autres moyens de transmettre la foi. Ce qui a fait dire à de bons théologiens que l'Église était spécialisée en liturgie et devenue l'Église du temple. La fermeture des églises était un moment prophétique pour développer des approches d'évangélisation hors de l'église et par d'autres moyens que les sacrements .  Nous les avons ratés en général.  L'église bâtiment est devenu le lieu du service religieux comme tout autre service dans la communauté et trop souvent la vie chrétienne se résume à une présence à l'église.

Ce temps de confinement aurait permis la création de piste de formation chrétienne autour de la Parole de Dieu, préparer de nouvelles formules de célébrations plus vivantes et mieux adaptées à notre psychologie. Nous avons oublié, je pense, que l'homme de la rue, du quai, de la brasserie est aussi l'Église de Jésus christ , pas seulement l'homme dans l'église pour la messe.  Quand les églises seront fermées par manque de ressources et de chrétiens qu'adviendra-t-il? 

Ceci remet en question le rôle du prêtre dans la communauté. L'Église est un peuple en marche et comme prêtre je dois marcher au coeur de cette communauté pour l'accompagner sur la route et non plus être en avant pour lui dire quoi faire. L'Église aujourd'hui nous entraine sur un chemin de conversion. L'Évangile de Luc de dimanche prochain nous indique un chemin.

À la fin de la lecture de ce livre: L'Église autrement, je crois utile et profitable que des groupes de chrétiens s'arrêtent pour réfléchir et méditer certains témoignages enrichissants. J'aimerais aussi que nous écoutions le chrétien de la rue, du quotidien afin de savoir ce sont il a besoin. 

  

Publié dans Textes de réflexion
mardi, 06 septembre 2022 16:56

Encore l'Église!

L'Église autrement? Réflexions sur les communautés chrétiennes postpandémie. Novalis. Un groupe de seize chrétiennes et chrétiens se sont exprimés sur la vie des communautés au sortir de la pandémie. Ce sont tous des personnes engagées soit dans l'Église , en paroisse ou dans des institus bibliques. Il nous donnent des réflexions extrêmenent intéressantes sur les leçons données par le confinement.  La pandémie a fait ressortir avec acuité le vide spirituel des chrétiens.  Lors de la fermeture des églises, nous avons réclamé la réouverture en conformité avec les restaurants ou les salles de spectacles, mais on n'a pas parlé des besoins spirituels de chrétiens au coeur de cette pandémie.  Cette situation est une situation prophétique dont il aurait fallut tirer partie davantage. C'est à lire et méditer et partager en groupe.

 

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mardi, 06 septembre 2022 14:15

Changer notre regard. Luc 15, 13-32.

Les premières lignes du texte de Luc sont extrêmement importantes. Jésus s'arrête chez les publicains et les pécheurs et, pire encore, mange avec eux. Les  pharisiens e tles cribes récriminent contre lui. Ce n'est pas normal qu'un prophète comme Jésus s'arrête avec la lie du peuple pour prendre un repas. Alors Jésus les invite à changer leur regard.  Cett situation e vit encore aujourd'hui. Nous avons souvent le regard du pharisien devant les gens non mariés à l'église, les personnes qui ne viennent plus à la messe,  Les mariés de même sexe, etc Jésus nous invite à changer notre regard. Là où nous voyons une faute à punir, Jésus voit une plaie à guérir. Là où nous voyons un malfaiteur ou un pécheur,  Jésus voit un enfant de Dieu blessé par la vie. Jésus nous invite à changer notre regad sur les autres.

Jésus veut répondre à ces bons messieurs sans les blessés, alors il prend une parabole. L'évangéliste Luc a regroupé trois paraboles dans lessquelles nous lisons la même phrase: Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue. Et plus loin avec la dame, il ajoutera: Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé la pièce de monnaie que j'avais perdue. Et dans la parabole du fils cadet, Il dira au fils ainéIl fallait festoyer et se réjouir, car ton frère que voila était mort , et il est revenu à la vie, il était perdu, et il est retrouvé. Dans ces trois paraboles, c'est la fête des retrouvailles. Remarquons la joie du pasteur qui retrouve sa brebis, de la dame avec sa pièce de monnaie et le père avec son fils.  Jésus nous invite à changer notre regard, celui qui vous accueillera n'est pas un juge mais un père, un pasteur. L'important pour lui n'est pas d'abord ce que vous avez fait mais ce que vous êtes. Admirons l'attitude du père au retour du fils. "C'est mon fils." C'est ainsi que nous devons nous accueillir les uns les autres. À ces pharisiens qui levent le nez sur les publicains et les pécheurs,  Jésus propose une attitude chrétienne. C'est à moi aujourd'hui qu'il la propose. Changeons notre regard pour prendre le regard du Christ.

Le fils cadet demande sa part de biens et part. Il est tanné de vivre comme un employé et voit son père comme pourvoyeur. Aucun dialogue ne s''établit entre le père et le fils ou avec son frère. Un employé quitte le travail, on le paie et il s'en va.  Quand il revient, il est invité à découvrir un père. Pour le père, c'est son fils qui revient; mais le fils est capable maintenant de voir son père comme un père. Son regard change et il peut vivre une vie de famille.  Avant son départ, il était un employé et voyait son père comme un pourvoyeur, aujourd'hui il découvre un père. Son regard est devenu celui d'un fils. Pour le père, ce qui compte ce n'est pas ce qu'il a fait, gaspiller son argent, mais ce qu'il est son FILS. C'est ainsi que le Père nous traite toujours et comme cela aussi que nous devons traiter les autres. Changer notre regard pour avoir un regard de frère ou de soeur. 

Le fils ainé est un peu le pharisiens ou le scribe du début de l'Évangile. Moi, je suis resté fidèle et tu fêstoies avec celui qui a gaspillé ton argent. Il ne reconait pas son frère. Il est au niveau du faire. Son regard n'a pas changé. Nous sommes souvent ce fils ainé qui va à la messe et a des droits. On se dit souvent, ces gens ne vont plus à la messe, ne croient plus en Dieu, moi, je paie ma dîme et je vais à la messe.etc... Jésus nous invite à changer notre regard et notre coeur pour voir un enfant de Dieu trop souvent blessé et qui se cherche.

Les paraboles de Jésus sont des messages qui s'adressent à nous pas seulement aux gens de son temps. Dans la situation d'Église que nous vivons, nous avons besoin de changer notre regard et notre coeur nous inspirant du regard de Jésus. L'autre est un frère ou une soeur et même un fils que nous devons accompagner. Si je vais communier en ce dimanche, c'est dans cet esprit que je le ferai pour éviter de simplement manger une hostie. Bon dimanche.   

  

Publié dans Homélies
dimanche, 04 septembre 2022 15:59

L'Église autrement?

L'Église autrement est une collection de points de vue sur l'Église en temps de pandémie.  Plusieurs personnes spécialisées en théologie ou en sciences sociales engagées en Église se sont prononcées sur le vécu de l'Église durant et après la pandémie. C'est une prise de parole de chrétiens et chrétiennes engagés en Église qui posent leur propre regard sur ce vécu ecclésial. Beaucoup de textes à mes yeux devraient être travailler en équipes paroissiales. Ces réflexions font ressortir combien nous sommes une Église de liturgie, Église du temple. Comment vivrons-nous en Église après la pandénie?  La route sera longue. Bonne lecture. 

 

Publié dans Nouvelles
vendredi, 02 septembre 2022 14:18

Vin nouveau.

À vin nouveau outre neuve. Voila un vieux  message que l'on répète depuis des siècles. Il revient dans l'Évangile de ce jour.  Je fais le joint avec la pandémie. La pandémi enous a fait prendre conscience de la fragilité de nos relations humaines et de notre grand besoin d'en prendre soin. La pandémie a changé le  monde et nous amène des questions nouvelles. D'autre part elle nous fait prendre conscience combien il est difficile à un système de changer pour s'adapter à une nouvelle façon de vivre et de célébrer.

Le retour à la pratique religieuse a diminué dans bien des paroisses à la suite de la pandémie. La société dans son ensemble  a fait des efforts pour s'adapter à ce renouveau, mais ne Église nous sommes restés figés sur la liturgie et surtout le rite eucharistique. Les églises se vident, sont vendues ou fermées simplement et nous attendons un miracle.

le vin nouveau de la société est là devant nous et il attend les outres neuves. Le premier chemin important est notre conversion comme vieux chrétiens pratiquants du dimanche. Notre exigence actuelle n'est pas très forte, avoir notre messe du dimanche et revenir à notre fauteuil jusqu'au dimanche suivant.  La situation des personnes âgées dans les résidence ne semble pas déranger bien des chrétiens, pourvu que j'ai ma messe dimanche.  L'intimidation, la colère, la violence autour de nous ne semble pas déranger non plus, si j'ai ma messe.

Je me rends compte de plus en plus que nous avons développé une Église liturgique et de rites au détriment de la vie et de la mission.  L'Eucharistie n'est pas une fin en soi, elle est une force pour vivre la mission. Elle est un ciment pour faire communauté au service des miséreux et des pauvres, des gens dans le besoin. L'Eucharistie est un dynamisme pour sortir des églises sur la route avec le Christ pour défendre les sans voix, la malades,.. Jésus nous dit si vous voules travailler à la mission, il vous faut manger. Il ne faut pas enfermer Jésus christ dans le tabernacle ou dans l'hostie comme dans un tombeau. Il nous dit Allez en Galilée, c'est là que vous me verrez. N'von-nous pas fait de l'Eucharistie un acte de dévotion personnelle et nous l'avons vidée de sa puissance  en vue de la mission. L'Eucharistie est avant tout une mission sur le terrain. Nous avons un long chemin de conversion à vivre. bonne route.

 

Publié dans Textes de réflexion
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