Spiritualité

Homélies, réflexions et spiritualité

Spiritualité

Jos. Deschênes

Jos. Deschênes

samedi, 06 mai 2023 14:23

Au commencement.

Les Actes des Apôtres nous présentent les débuts de l'Église et comment les Apôtres ont répondu aux besoins de la communauté naissante. Les apôtres étaient missionnaires dans le monde envoyés faire connaitre le plan de Dieu avec les hommes. La communauté naissante et grandissante leur présentait des besoins de vie auxquels ils ne pouvaient répondre sans délaisser leur mission. Alors ils décidèrent de choisir des aides qui répondraient à ces besoins. Ils les appelèrent des diacres, des aides précieux, des collaborateurs importants.  À leur façon ils exerçaient le sacerdoce de leur baptême.  C'est le message du texte des Actes de demain dimanche.

Le baptême nous fait participer au sacerdoce du Christ qui s'étale dans la communauté dans une panoplie de services aussi importants les uns que les autres.  Ces services sont donnés au niveau du sens     du ministère et du service et non dans un ordre de dignité qui rend les uns subordonnés aux autres. L'Église n'est pas une échelle qu'il faut gravir pour attendre plus de pouvoir ou de dignité. Celui qui est le plus grand doit être le serviteur  de tous. Le pouvoir dans l'Église est un service d'autorité. L'autorité est un service qui rassemble et met en communion.

Ne sommes-nous pas aujourd'hui un peu comme les Apôtres où nous devons commencer à rassembler les chrétiens dans l'amour et rebâtir des communautés chrétiennes et retrouver la force du sacerdoce baptismal. L'Église n'est pas un pouvoir qui descend d'en haut mais une force qu monte d'en bas.  Nous avons perdu la force depuis longtemps et restons avec le pouvoir.  Nous devons remettre l'Église à l'endroit et rebâtir des communautés chrétiennes. Vous êtes une descendance choisie, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple destinée au salut.  Voila la mission que S. Pierre nous donne aujourd'hui. 

 

 

mardi, 02 mai 2023 13:53

Un nouveau pasteur.

Il y a 100 ans, un premier Évêque traversait en chaloupe la Baie de Gaspé à travers les gleces pour accoster à son nouvea diocèse. Demain un nouvel Évêque traversera la Baie en limousine pour arriver à son évêché. Aujourd.hui nous ne pouvons que saluer et accueillir avec reconnaissance et amour cet homme, Mgr Claude Lamoureux, missionnaire et courageux qui arrive comme pasteur dans notre Église diocésaine.  L'Évêque est comme un père de famille qui accueille, écoute, aime et rassemble dans la diversité des dons et des caractères de chacun. J'ai eu dans le passé la joie de participer à cees fêtes en Église; aujourd'hui je ne peux que prier silencieusement dans mon "igloo" et de rendre grâce en communion avec l'Église de Gaspé.

Je veux simplement remercier Mgr claude pour son amour de l'Église qu'il vient partager avec nous. Je prierai en communion avec lui et mon Église diocésaine pour qu'ensemble nous fassions grandir la foi et la vie chrétienne chez nous. 

 

lundi, 01 mai 2023 17:28

Pierres vivantes. 1 Pierre, 2, 4-9.

Dès l'expérience du Christ ressucité vécue, les apôtres commencèrent la prédication et doucement la communauté spirituelle commença à se construire. Saint Pierre aujourd'hui nous en donne un bon exemple. Vous aussi comme pierres vivantes entrez dans la construction de la demeure spirituelle, pour devenir le sacerdoce saint et présenter des sacrifices spirituels, agréables à Dieu, par Jsus Christ. Ainsi les baptisés devenaient les pierres vivvantes de la communaut chrétienne. Comme pierrres vivantes nous sommes la base même de l'édifice spirituel édifié sur le Christ ressuscité.

Quand mon père, menuisier- charpentier, construisait une maison, son souci était d'assurer une bonne fondation à l'édfice. C'était une pièce maitresse. Si la fondation était solide, tous les services organisé dans la maison étaient assurés. Il en est ainsi dans la vie chrétienne et ecclésiale. La communauté est la bese de toute vie en Église et elle a besoin d'être solide pour assurer tous le sservices dont elle a besoin. C'est ce que Saint Pierre nous rappelle aujourd'hi. De par votre baptême,  vous êtes une descendance choisie, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple destinée au salut pour annoncer les merveilles de celui qui vous a conduit à la lumière.  

Tout cela parce que Jésus ressuscité est la Pierre vivante de toute vie spirituelle, c'est à cause de Lui que nous sommes pierres vivantes. Voila une belle image qui nous fera aimer notre sacerdoce et le mettre au service de la communauté. C'est alors qu'au chapitre 6 des Actes des Apôtres, on nous parle de la nomination des diacres pour assurer le service aux tables afin que les Apôtres puissent accomplir leur tâche  missionnaire d'annoncer la Bonne Nouvelle du salut. Au coeur de la communauté naissent d'une part les besoins et d'autre part l'Esprit suscite les engagements, les ministères pour répondre à ces besoins. Ainsi dans la communauté, les Apôtres et les divers  ministres en coresponsabilité portent toute la dimension missionnaire de la communauté. Tous ces ministêres avec les Apôtres  sont au service du ministère baptisma du peuple chrétien  afin de conserver la vivatlité et la solidité de la base communautaire. Comme le dit le texte des Actes des Apôtres aujourd'hui, ces ministres sont choisis par la communauté au sein de la communauté et authentifiés par les Apôtres en leur imposant les mains.

Le baptême nous fait tous comme chrétiens et chrétiennes participer au sacerdoce de Jésus Christ: Nous sommes Prêtres, Prophète, Pasteur (roi). Ceci émane du Christ ressuscité et durera dans notre foi au Christ qui est le Chemin, la Vérité et la Vie. Il a les paroles de la Vie éternelle. Peut être qu'aujourd'hui Paul et Pierre viennent nous demander quel soin avouns-nous donné à notre solage spirituel? Tout s'effrite,  se disperse. et s'éteint? Seule l'écoute de la parole de Dieu permettra à notre solage de retrouver sa vivacité. 

Dans l'Eucharistie, Jésus veut remettre le monde à l'endroit et refaire les ilens de communion entre chacun et chacune des baptisés-es.  L'Eucharistie vient mettre le ciment dans les relations afin de rebâtir l'édifice spirituel au quotidien. La route est longue devant nous mais l'Esprit nous accompagne.  

 

dimanche, 30 avril 2023 14:13

Vocation.

Aujourd'hui, dimanche du Bon Pasteur, appelé aussi dimanche des vocations. Moi, je préfère parler du dimanchye de la Vocation. À mes yeux, il n'y a qu'une vocation, celle de la vie chrétienne, vie de disciple du Christ et d'enfant de Dieu. Les vocations sont des appels à servir la Vocation, à servir la communauté chrétienne. Ces vocations sont des choix de l'Esprit au coeur de la communauté que celle-ci reconnait et que l'Évêque authentifient. Une communauté chrétienne a besoin de ces vocations particulières pour la rassembler et l'animer. L'Esprit suscite dans chaque communauté les engagements dont la communauté a besoin pour sa survie.

À mes yeux la Vocation chrétienne est trop faible pour répondre aux besoins de service de la communauté d'une part, et d'autre part, je crois que le vie cléricale de l'Église n'a jamais favorisé ou encouragé la prise en charge des communautés et les chrétiens ont fui la communauté pour s'engager dans différents services en faveur de la vie. Notre prière aujourd'hui doit s'orienter vers cette vocation chrétienne qui est le fondement de toute vocations en Église. Esprit Saint viens réchauffer notre Église du terrain à ton image afin qu'elle fasse émerger les pasteur et pasteures dont elle a besoin. merci

jeudi, 27 avril 2023 14:39

Un regard dans le rétroviseur.

Les souvenirs de plusieurs décennies d'engagement dans l'Église gaspésienne refont souvent surface et me questionnent. Nous avions voulu vivre plus pleinement le sacerdoce du baptême, sacerdoce des chrétiens qui est le fondement de l'Église. Nous avons imaginé des structures nouvelles: des zones pastorales d'abord avec des équipes pastorales de zone; plus tard nous avons imagin.é des secteurs pastoraux et des équipes qui devaient être coresponsables avec les prêtres de la vie de la communauté. Nous avons connus des agents et agentes de pastorales qui présidaient au baptême, faisaient homélies, animaient des célébrations de la parole de Dieu en paroisse, et présidaient à des mariages.  Tout cela est disparu et nos églises sont vident et changent de vocation. Quel regard jeté sur tout cela. Je pose humblement le mien qui fut artisan avec beausoup d'autres de cette vision ecclésiale.

Primo, nous nous sommes attaqués â une structure et une structure ne change presque jamais, elle préfère mourir. Et aujourd'hui j'ai le sentiment que involontairement nous avons continuer la même structure avec des chrétiens et moins de prêtres.

Secundo, le cléricalisme était trop fort dans l'Église pour permettre que se dé.veloppe une telle volonté de retrouver la force du sacerdoce baptismal. Beaucoup de chrétiens sont repartis déçus et ont pris leur distance de l'Église. Il nous faudrait sans doute revoir la question du sacerdoce tant du baptême que céricale.

Tertio, le peuple chrétien, surtout avec la participation des femmes, n'était pas préparé à cet engagement et à la lutte nécessaire pour y arriver. 

Aujourd'hui je crois que nous avions commencé par en haut en descendant et l'Église part d'en bas pour faire communauté. Nous n'avions pas mis suffisamment l'accent sur la communauté et les personnes.

Dans ma réflexion une phrase de Jésus est montée en moi: "Allez en Galilée, c'est là que vous me verrez."  Nouas avions cherché Jésus à Jérusalem et Il nous attendait en Glalilée. Au coeur de tous ces chrétiens naissent aujourd'hui des engagement très variés au service des pauvres, des mal gommés de la société. Des fondations voient le jour et de petites communautés se forment au coeur de la pauvreté dans toutes ses dimensions. Les femmes luttent de plus en plus pour se faire reconnaitre comme des personnes entières en Église. Se vit de plus en plus cette voix de Jésus: "Ce que vous faites aux plus petits d'entre les miens, c'est à moi que vous le faites." Jésus nous attend encore en Galilée.

 

mardi, 25 avril 2023 14:16

Le Vrai Pasteur. Jn 10, 1-10.

Tous nous avons eu nos parents qui nous ont marqué à leur façon. Avec amour, ils nous ont façonnés tels que nous sommes. Ils étaient pour nous des pasteurs. Ils n'étaient pas là pour nous dorloter, mais pour nous accompagner et faire sortir l'enfant en nous pour devenir des adultes. Les parents comme les éducateurs sont auprès de nous pour nous accompagner et faire grandir ce qu'il y a de meilleur en nous. Ils sont l'image du pasteur qui accompagne ses disciples pour les faire grandir "selon la musique de leur être."

Jésus se présente à nous aujourd'hui comme le Bon, le Vrai Pastteur. Il vient accompagner chacune et chacun de nous pour nous aider à grandir selon le srichesses de notre être. Le pasteur ne veut pas faire de nous d'autre personne, il veut que nous soyons nous-même pleinement., et il le fait avec amour. Jésus nourrit les foules qui le suivent. Il leur donne la nourriture du coeur, de l'esprit et du corps. Jésus leur donne la nourriture qui va les faire grandir seleon leurs capacités, leur talent, leurs richesses intérieures. Le pasteur se soucie du bonheur et du bien-être des autres avant les siens propres.

Une des qualités principlaes du pasteur est l'écoute.  Jésus connait ses brebis parce qu'il les écoute et sait leur qualité, leur espéreance comme leur doute et leurs faiblesses. Pour être en mesure d'accompagner sainement les siens selon leurs besoins, il se doit d'asbord de les écouter pour bien les connaitre. C'est un bel exemple que Jésus nous donne. Dans notre contexte de société et d'Église, nous avons de plus en plus besoin d'écouter nos frères et soeurs chrétiens pour les nourrir selon leurs bespins et non les nôtres. 

Jésus écoute et connait les siens parce qu'il les aime. les parents amiment leurs enfants malgré leurs frasques, leurs erreurs. Ils aiment davantage celui qui est mal orienté parce que souvent il est blessé et a besoin d'aide et d'écoute. Jésus les aime, passe du temps avec eux, il est pour eux un vrai témoin. C'est un exemple que nous devons essayer de suivre. Quand je voyageais pour l apastorale diocésaine, souvent je faisais monter des "auto-stopeurs." Dans la conversation, ils découvraient que j'étais prêtre. A la suite d'un moment de surprise, nous avions une profonde conversation où ils me racontaient leur histoire, leur doute et souvent leur d.ception devant la religion et pourquoi, ils ne pratiquaient plus. Avant de rencontrer le prêtre, ils avaient rencontré Jos. Un lien de confiance s'étai tétabli et nous avons pu nous rencontrer en vérité. J'ai souvent apprécié ces moments.

Le vrai Berger de l'Évangile devient pour nous un modèle et nous invite à mettre nospas dans les siens, à cheminer sur la même route que lui. Tous le schrétiens, toutes les chr.étiennes sont invités ;a suivre le Christ sur cette route, pas seulement le sprêtres. Tout chrétien est un pasteur à l'égard des personnes avec qui il a lié des liens, des relations d'amiité. C'est ainsi que le pasteur est un être fécond et non d'abord efficace. Un mécano, un ouvrier, ue secrétaire doit être efficace, mais le pasteur est un être fécond: FGécondité du coeur, de l'intelligence, de l'esprit. Notre monde a de plus en plus besoin de pasteurs, de pasteures, notre monde a soif de bonté, de chaleur humaine, de douceur, de vérité....

Mais une autre vérité essentielle demeure, si nous voulons comme chrétiens et chrétiennes être de bons pasteurs, nous devons être d'abord de bons disciples. Il nous faut demeurer à l'École de Jésus. Nous serons de vrais pasteurs dans lamesure où nous saurons marcher sur le même route que Jésus et demeurer à l'Écoute de sa Pparole et de son témoignage de vie comme Jésus l'a été avec son Père

Le poête Tagore écrit: "La mort n'est pas la lumière qui disparait, mais la lampe qu'on éteint parce que l'aube est venue." C'est ce que Jésus nous a donné, l'aube sur sa mission qu'il nous a confiée. 

 

lundi, 24 avril 2023 14:39

Faut le lire.

Boucsr Diouf: Pour l'amour de ma mère. Ed. La Presse. Écrit merveilleux d'un homme qui parle de sa mère. Ce livre fevrait être lu par beacoup à l'approche de la fête des mères en mai.  dans le style intéressant et légeur qu'on lui connait, l'auteur écrit  avec son coeur et veut dire merci à toutes les mamans.. Il termine son livre avec cette phrase merveilleuse: "Merci à toutes les mamans de la terre pour ce que nous sommes."

 

Deux disciples font route vers leur lieu d'origine et se partsagent leur déception. pour eux, c'est le monde à l'envers. Jésus est venu et ils croyaient en lui pour délivrer le pays de l'emprise des romains et voila qu'Il est mort sur une crois. C'est suffisant pour ëtre déçu.  S'ils vivaient aujourd'hui ces messieurs, ils seraient déçus comme beaucoup d'entre nous de voir nos église vides et vendues, les gens se désintéressés de plus en plus de la pratique religieuse. On entend souvent: nous, nous avons été à la messe tous les dimanches, nous avons payés notre dîme, etc et nos églises seront vendues. Comme dirait monsieur Bureau, c>'est vraiment le monde à l'envers.

 Mais les disciples ne savent pas qu'ils sont sur la route de la découverte et de la conversion. Quelqu'un est présent en eux et ils ne le savent pas. Quelqu'un les écoute et ils ne le voient pas. Ce Quelqu'un est passé avec eux du mnde de la communication u mode de la communion. Les disciples doivent faire l'expérience de cette nouvelle forme de présence à eux. les disciples sont là sur la route de la rencontre, route de la vie. Jésus donne l'exemple de l'attitude du  pasteur, il écoute en silence. Il accueille cette déception, cette souffrance, il est important que ces gens puissent dire leur  tristesse. Il nous donne un bel exemple dans notre situation ecclésiale actuelle: Savoir écouter  avec les oreilles du coeur. 

Doucement Jésus part de leur tristesse et déception pour leur parler avec son coeur et leur expliquer le sens de ce qu'ils ont vécu. Jésus ne leur fait pas de reproche, il explique: Partant de Moïse et de tous le psrophètes, il leur interpréta dans toute l'Écriture, ce qui le concernait.  Et ceci est mantenant accomplit. Et soudain la route va changer, d'une route de tristesse et de déception, elle deviendra une route de joie et de retrouvaille. Quand Jésus refera le geste du jeudi, geste de partage, les disciples comprendront qu'il est là au coeur de leur vie et ils retourneront à la communauté. Notre coeur n'était-il pas tout chaud sur la route? C'est l'expérience que nous devons faire`Le Christ est viant en nous et c'est dans notre quotidien que nous le reconnaitrons. C'est dans la communauté chrétienne que Jésus veut se faire reconnaitre.

Jésus nous dit de prendre le temps d'écouter, de nous écouter personnellement, d'écouter le Christ nous parler au coeur, d'écouter le Christ nous parler par nos soeurs et nos frères dans leur recherche. Faire silence en nous pour accueillir les autres dans leurs tristesses et leur questions pour ensuite prendre le temps d'expliquer le sens des Écritures et de la vie. Les disciples ont pris la route en regardant en arrière, dans le rétroviseur, et ils reprennent la route en regardant en avant, dans le parebrise. Comme eux nous devons cheminer sur un chemin d'espérance et de conversion. Jésus nous attend en Galilée, là où la vie bouillonne et demande à grandir. Nous devons ensemble reprendre la route de la communauté.  Jésus est venu faire communauté et nous envoie continuer sa mission. Il nous invite à quitter la route de la tristesse, de la déception pour reprendre la route de la foi, de l'amour et de l'avenir.

Notre participation à l'Eucharistie devrait être pour nous comme le repas des disciples à Emmaüs, nous replacer sur une route d'espérance et de conversion, la route du témoignage car depuis le matin de Pâques, nous sommes sur la route du témoin. Alléluia.

 

vendredi, 14 avril 2023 14:14

Demain l'Église.

Nptre glise doit subir une cure de rajeunissement pour s'ajuster au monde d'aujourd'hui. Le Pape François nous y invite dans "La Joie de l'Évangile."  Il parle beaucoup de l'évangélisation et l'une des caractéristiques de l'évangélisation est  le kérigme, l'annonce de Jésus Christ et la découverte de son message. Une grande catastéristique de l'évangélisation est la découverte de soi. Nous sommes des êtres spirituels remplis de l'Esprit du Seigneur et avant d'apprendre à faire, il nous faut apprendre à être. Découvrir ce que signifie être un enfant de Dieu rempli de son Esprit Saint.

Le chrétien est un être sociale et communautaire,  de là l'importance de la communauté. C'est au coeur d'une communauté que la vie chrétienne fleurira le mieux.  Paul Vi affirmait qu'il faut veiller au développement de tout l'être humain tant individuel que social et communautaire. 

Une autre dimension importance est l'écoute des témoins de l'Évangile. Ces témoins nous redisent le message de Jésus pour aujourd'hui.  Évangéliser, c'est se laisser renouvler par le Christ, c'est acquérir une visin nouvelle du monde, une façon neuve de vivre le message du Christ. C'.est un appel constant à la conversion. Relisons avec amour  "La joie de l'Évangile" du Pape François.

 

vendredi, 14 avril 2023 14:00

La puissance de la joie.

Frédéric Lenoir: La puissance de la joie.   Fayard. "C'est un hymne à la joie mêlant philosophie, psychologie et spiritualité." (D.W.) L'auteur nous invite à devenir nous-même et à laisser fleurir lz joie au oceur de la vie. La puissance de la joie nous invite à lib érer la joie de vivre et à changer notre regard souvent trop pessimiste sur notre vie.  Je vous souhaite beuacoup de joie dans votre lecture.

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