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mercredi, 09 septembre 2020 14:00

Liberté.

J'écoutais une conférence du Père Arnold, théologien suisse, notant que dans certains pays, et il en nommait quelques-uns y compris le Canada, lorsque le courant démocratique a pris de l'importance et que les gens se sont exprimés plus librement, il notait que la religion était en train de disparaitre. J'entendais des professeurs d'université dire qu'ils s'étaient libéres de la religion. Et un théologien québécois écraivait: "La fin de la chrétienté n'est pas la fin de la religion, mais la libération du christianisme pour rencontrer le Dieu qui s'est révélé dans la Parole et a été vécu par des miliers de croyants." Avec la révolution tranquille un vent de liberté a soufflé sur le Québec écrivait-on. Ces affirmations ont nourrit ma méditation et mon questionnement aujourd'hui.

Je me questionne sur ce lien fait entre l'expérience de la  liberté et la baisse de la religion. Et je constate aussi que ici au Québec, les chrétiens n'ont pas rencontrer le Dieu de Jésus Christ parce qu'ils ne le connaissaient pas. Ils se sont retoruvé devant un vide spirituel profond. Cette situation deviendra universelle. Les système de puissance tombent les uns après le sautres et les systèmes religieux n'y échapperont pas. Il nus faut retoruve rle Dieu de Jésus Christ et l'Église du Christ. Je crois que si nous n'écoutons pas sérieusement ce cri des chrétiens,  nous n'irons nulle part. J'écoute beaucoup aujourd'hui, je n'ai que cela à faire et le discours qui me parvient me parait éloigné de cette nécessité de l'écoute et du souffle de liberté dont les chrétiens rêvent. Je suis invité à un examen de conscience et un discernement vrai sur le sens de l'Église et du ministère ordonné. J'ai souvent pensé qu'en changeant les structures nous arriverions à changer les mentalités. Mon expérience a prouvé le contraire. Comme disait Mgr Ouellet, je n'arrive pas à croire qu'il n'y a que 5% des chrétiens qui ont le pas dans l'Église et que tous le sautres sont à côté de la "trac.".  C'est une piste de réflexion que je propose aux personnes qui auront le courage de s'y arrêter. Je suis un peu dans la nuit de nicodème. Peut être que de savants théologiens pourront nous éclaire.r. Bonne journée.