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Homélies, réflexions et spiritualité

Textes de réflexion

lundi, 07 novembre 2022 18:47

Ah, ces funérailles!

Notre monde est à l'envers: plus de messes aux funérailles et plus de communion ainsi qu'aux mariages, beaucoup de célébrations ua slaon et fait par de simples laïcs, "woire si ça du bon sens" disent certains catholiques. La coutumes s'est établie dans l'Église depuis plus d'un siècles de célébrer les funérailles à l'intérieur d'une messe.  Quand une coutume s'est établie, il est difficile de changer de façon de faire. Les personnes âgées habituées à la messe et communion ne comprennent pas pourquoi. Il est importantd e revenir souvent sur le sujet.

Cette coutume s'est établie dans l'Église  depuis plus d'un siècle, à ce que l'on me dit, et dans une époque de forte pratique religieuse. Les participants aux funérailles étaient ausi les pratiquants du dimanche. Il n'y avait donc pas de problèmes. Depuis quelques années, la situation a changé brusquement. La pratique religiese est très faible et ne concerne que des personnes âgées en majorité. Ainsi la majorité des personnes qui participent aux funérailles sont des parents, des amis ou des conniassnaces et la majorité ne fréquentent plus la liturgie du dimanche. Ils ne viennent pas pour la prière mais par solidarité avec la famille. Il en est ainsi de beaucoup de personnes décédées.

Il est de notre devoir de les respecter et de les  accueillir avec une célébration qui conrrespond davantage à leur foi et à leur vécu.  Nous avons la responsabilité de leur offrir une célébration non sacramentelle mais évangélisatrice. C'est pourquoi nous parlons de célébrer autour de la parole de Dieu.  Nous avons le devoir non plus de célébrr une mese avec une funérailles à l'intérieur, mais de créer un célébration d'adieu pour nourrir la foi des familles et des participants. 

N'oublions jamais que communier à l'Eucharistie, c'est communier à la force d'être agent de communion avec les autres autour de nous au quotidien. Célébrer les funérailles aujourd'hui est une occasion propice de vivre un temps de communion avec les familles et non célébrer d'une façon où la majorité se sentirait exclus. Je crois que nous sommes à un tournant où il nous faut réinventer des façons de célébrer en fonction des personnes qui participent. C'est pour ces raisons et d'autres aussi que nos Évêques demandent ici comme en France de changer nos façons de faire.

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