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Homélies, réflexions et spiritualité

Textes de réflexion

Filtrer les éléments par date : juin 2020
dimanche, 14 juin 2020 14:48

Amour.

Aujourd'hui, dimanche de la Fête du Saint Sacrement, je n'ai qu'une invitation: Écoutons et méditons l'émision: victoire de l'Amour. Je n'ai rien de plus beau à dire. J'en suis rempli et j'en ai pour la journée. L'invité de l'émission nous a donné la plus belle homélie que nous puissions entendre. Les voies de Dieu ne sont pas nos voies. Je résume  pour moi: Arrêtons de juger, écoutons et accompagnons. Bonne journée.

 

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samedi, 13 juin 2020 16:09

Un repas de fraternité.

Un petit mot pour vous qui ne célébrerez pas l'Eucharistie à l'occasion de la Fête du Saint-Sacrement soit à cause du confinement ou bien prce que vous n'avez plus le goût de célébrer. Souvenons-nous  que l'Eucharistie est d'abord un repas de fraternité, un repas de communion. Le repas de la famille autour de la table est un moment précieux pour redécouvrir l'Eucharistie. Le premier mouvement sera de reconnaitre que partager la nourriture est un moment de communion. Surtout quand le repas a été préparé par les parents avec amour. Alors avant de prendre la nourriture, réservons-nous un petit moment pour rendre grâce pour toutes ces personnes qui ont permis de nous nourrir aujourd'hui. Rendre grâce aussi pour l'auteur de tous ces biens. Un bon myen de remercier est de manger avec goût et de s'assurer que rien ne se perde.   je suggère une petite formule de prière que vous pourrez aménager selon votre situation. La formule la meilleure sera la vôtre.

Béni sois-tu, toi que nous appelons Dieu pour les biens de la terre et pour toutes les personnes qui ont permis que ces biens soient sur notre table aujourd'hui.

Nous voulons les partager avec amour en pensant à  ceux et celles qui n'ont rien à manger aujourd'hui. 

Permets-nous la capacité de faire notre petite part pour que chaque être humain puisse se nourrir selon ses besoins.

Béni sois-tu, Dieu, Toi qui habites en chacun et chacune de nous, de nous aider à tisser ces liens de communion entre nous et avec toi.

Nous sommes tes enfants bien-aimés et c'est dans cet esprit de partage et de famille que nous voulons vivre ce moment de repas de fraternité. Amen.

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samedi, 13 juin 2020 13:26

S'indigner.

Hier soir, j'ai écouté avec intérêt l'émission: "Y a du monde  a messe". Un participant a dit une affirmation qui m'a rejoint profondément. Une société est vivante quand elle prend soin des personnes les plus vulnérables, les enfants, les personnes âgées et moi j'ajouterais les ouvriers mal menés et jetés sur le pavés comme de vieilles guenilles dont on n'a plus besoin. Et il ajouta: Il faut s'indigner devant ces situations. Ça m'a rappelé un enseignement du Père René Voillaume, un grand spirtuel  dans uen conférence quand j'étais étudiant: "Un chrétien est un contestataire.  C'est un mot que je n'ai pas oublié et qui est toujours d'actualité. J'y reviens souvent. UN CHRÉTIEN EST UN CONTESTATAIRE.

Contester vient de CUM et TESTIS qui signifient: être témoin de. Contester est positif. Nous contestons des systèmes ou des façons de faire au nom des personnes et des valeurs. C'est une critique constructive, il nous faut éviter de faire une critique négative, du "chiâlage." Jésus a été un contestataire. Il a contesté les systèmes du temps au nom des valeurs et des personnes. Il a travaillé le jour du sabbat. Mth 3, 1-6. Il a mangé avec les pécherus et les paiëns, Lc 9, 10 ..., Il a réprimandé les pharisiens,  Mth 23, 1-7, il a mal mené les vendeurs du temple,  Jn 2, 14-22.  Jésus a contesté les systèmes et les lois qui ne respectaient pas les personnes et les valeurs profondes de vie. C'est la mission donnée à ses apôtres.  

La pandémie du coronavirus a fait éclater  les failles malheureuses des systèmes, d'une part, et d'autre part à montrer aussi les côtés merveilleux de la charité chrétienne toujours vivante au coeur de nos communautés. Comme êtres humains et chrétiens, nous devons nous indigner, contester ces situations vécues par les personnes âgées, les pauvres et les enfants.  Il ne s'agit pas seulement de cracher des millions, je crois qu'il y a une mentalité à changer. Nous devons apprendre à regarder le monde avec les yeux du Christ.

Souvent nous avons peur de  contester parce que nous vivons sous le regard des autre.s. Et ce regard que nous voulons en notre faveur modifie trop souvent nos façons d'agir. Et les situations ne changent pas. Regardons simplement dans notre Église l'opinion que l'on porte sur les personnes qui contestent la place réservée aux femmes dans les ministères ecclésiaux,  l'importance des chrétiens comme baptisés et membres de l'Église. Un jour j'avais écrit un article sur les servants de messe et les servants à l'autel et j'ai eu droit à une volée de bois vert. Ce temps de confinement serait à mes yeux un moment important pour réfléchir sur l'aujourd'hui de notre Église.  

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vendredi, 12 juin 2020 13:29

Un moment important.

Hier soir, je me suis posé une question: Quel est le moment le plus important de ma journée en confinement? Je lisais un auteur qui affirmait qu'il est commun chez les êtres humains de ne pas vivre le moment présent. Jeunes, nous voulons vieillir pour ne plus aller à l'école et se coucher trard; au travail, nous espérons la retraite; à la retraite, nous ne savons plus quoi faire de nos dix doigts; en temps de confinement, nous espéreons que cela finisse vite. Nous arrivons à la mort et avons oublié de vivre.

Le moment le plus important de ma journée est celui que je vis présentement devant mon ordinateur à écrire ma méditation matinale, et de saluer amicalement toutes les personnes qui me liront  aujourd'hui. Vivre le moment présent. Vivre le moment présent avec amour.  La meilleure façon de préparer demain est de vivre pleinement l'aujourd'hui de ma vie.  Si je sais habiller précieusement le moment d'aujourd'hui, je ferai de même demain et la vie sera belle et remplie. Évidemment je pense à ma famille, à mes amis; Est-ce que je pense à ma communauté?

Est-ce que dans ma communauté, il y a des personnes seules, qui souffrent de solitude, qui manque peut être de choses importantes parce que personnes ne les visitent? Est-ce que comme chrétien, j'ai hête seulement d'avoir ma messe dimanche? C'est quoi vivre comme chrétien le moment présent du confinement.  Le moment impoortant est celui où je met un peu de soleil dans les yeux d'un enfant ou d'une personne âgée. Chacun de nous trouve son moment important. Le Seigneur Jésus Christ est là dans le coeur de toutes personnes humaines et m'attend pour converser et communier. Il nous faut habiller le moment présent de beaucoup d'amour pour lui donner du goût. Je rends grâce, ce matin, pour ce beau moment où j.admire le soleil qui éclaire et réchauffe; que ferions-nous si le soleil disparaissait? je rends grâce pour les personnes qui viennent ce matin encore nous préparer le dîner et faire le ménage de la maison. Je rends grâce pour tous ces vieillards qui diront leur chapelet aujoourd'hui en pensant à leurs enfants et petits enfants.  Mon moment présent devient précieux parce qu'il est riche de présence et d'amour. Et c'est ainsi que la vie est belle qu'on s'amuse à vieillir.

 

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jeudi, 11 juin 2020 13:59

Une prière vieille de 2600 ans.

Pour qu'il y ait la paix dans le monde, il faut que les nations vivent en paix.

Pour qu'il y ait la paix entre les nations, les villes ne doivnet pas se soulever l'un contre l'autre.

Pour qu'il y ait la paix dans les villes, les voisins doivent se comprendre.

Pour qu'il y ait la paix entre les voisins, il faut que l'harmonie règne au foyer.

Pour qu'il y ait la paix chez soi, il faut la toruver dans son propre coeur.

 

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jeudi, 11 juin 2020 13:38

J'ai jasé...

Dernièrement, je discutais avec un bon vieil ami catholique de toujours. Il me parlait des membres de l'Assenblée chrtienne et il sembalit heureux de n'être pas comme eux. Attention, que je lui dis; ils croient au même Dieu que nous et prient aussi le même Dieu. C'est la façon qui est différente. l'essentel est le même et l'essentiel nous unit, l'accidentel est différent et l'accidentel nous divise. Il est malheureux que nous mettions l'accent sur les différences et oublions trop souvent ce qui nous unit.

Je partage une petite situation vécue il y a quelques années. Le curé de la paroisse m'a demandé, à moi un vieux retraité qui n'a rien à faire, d'accompagner quatre jeunes adultes dans la préparation à la confirmation. Parmi eux, une jeune fille qui avait grandie dans une famille dont le père participait à la vie de l'Assemblée Chrétienne. Cette jeune dame conaissait la Bible et me parlait de l'Esprit, m'expliquait le Pentecôte et ce n'était pas seulement  du par coeur. J'ai vécu de belles rencontres avec elle. Tandis que les trois autres étaient devant un vide désarmant. 

Il ne s'agit pas pour moi de comparer; il s'agit de prendre acte d'un fait et de se laisser questionner.  Le temps de confinement pourrait-il nous donner le temps de lire un "morceau" de la Parole de Dieu de temps en temps? Bone journée.

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mercredi, 10 juin 2020 13:57

Abolir ou réaliser.

Ne pensez pas que je sois venu abolir la loi ou les prophètes: je ne suis pas venu abolir main accomplir. Mth. 5, 17.  En méditant cette affirmation de Jésus ce matin, je me posais cette question: Aujourd'hui dans notre monde où les communautés religieuses et l'Église en général gèrent la décroissance, le temps est-il à laisser mourrir ces reéalités ou à les porter à leur achèvement? Est-ce que la mission des prêtres et des religieuses comme des chrétiens en géréral est une façon de faire ou une façon d'être? Est-ce que porter à leur accomplissement ces formes d'engagement dans l'Église n'attendent pas d'être redéfinies pour s'accomplir pleinement dans un monde en changement? Jésus n'a pas aboli la prière, l'amour, le service, etc... Il les a conduit à une forme plus adaptée aux besoins du monde et au  plan de Dieu.  Si je regarde tous les engagements  qui se vivent en ce temps de pandémie, les services sont encore là, les engagements se vivent encore, la fome a changée. Nous pourrions peut être y réfléchir un peu.

 

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mercredi, 10 juin 2020 13:35

Une piste de réflexion.

Grand-père, c'est beau ce que tu écris. Mon petit garcon répond le grand père, le plus important n'est pas ce que j'écris, mais le message que le crayon me laisse.

Tu ne dois jamais oublié, mon petit, que le crayon est toujours guidé par une main. Il réalise  sa mission dans la mesure ou il est docile à la main qui le conduit. Il en est ainsi dans notre vie. Il y a au coeur de nos vies une main qui nous conduit et dans la mesure où je suis docile à cette main, ma mission sera réussie.

De temps en temps, je dois m'arrêter d'écrire pour aiguiser mon crayon. Il en souffre un peu mais devient meilleur pour réaliser sa mission. Il en est de même dans notre vie. Il est nécessaire de nous arrêter pour souffler et réajuster notre vie sur l'essentiel. Parfois nous en souffrirons mais c'est pour une meilleure qualité de vie. Le temps de confinement que nous vivons est très à point pour refaire nos forces et réajsuter notre vie  sur l'essentiel.

Parfois je dois utiliser l'efface pour corriger mes erreurs. Il en est ainsi de nos vies. Nous devons savoir reconnaitre nos erreurs et profiter d'un temps d'arrêt pour corriger le tir et reprendre la mission.

Ce qui compte vraiment dans le crayon n'est ni le bois, ni l'efface, mais le graphite à l'intérieur. Donc, mon petit, prend bien soin de ce qui se passe à l'intérieur de toi. C'est  c'est très important.

Enfin, mon petit, le crayon laisse toujours une marque. Retiens aussi que tout ce que tu feras laissera derrière toi une marque, une trace, d'où l'importance de  prendre soin de bien faire ce que nous avons à faire pour laisser une trace qui enrichisse la vie. 

Tiré d'une parole d'un sage.

 

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mardi, 09 juin 2020 14:16

je suis du bon pain. Jn 6, 51-58.

Souvent quand nous parlons de quelqu'un de bon, nous disons: c'est du bon pain de ménage. Étudiant, j'aimais aller écouter les grands théologiens de passage pour me nourrir intellectuellement et spirituellement. Aujourd'hui encore, j'ai besoin de changer ma recette pour que ma nourriture réponde mieux à mes besoins. L'internet nous fourni une bonne nourriture spirituelle et intellectuelle qui réponde à nos besoins. Nous cherchons un bon pain, une bonne nourriture qui nous donne de l'énergie pour avancer. Quand nous nous mettions à table le soir après une grosse journée de travail et que ma mère déposait une assiettte remplie d'un bon repas préparé avec amour, j'avais l'impression de manger un peu ma mère. Dans cette nouriture où elle se donnait toute entiere et dans ses leçons de vie, elle se donnait aussi en nourritue.  C'est ce que Jésus nous dit dans l'Évangile d'aujourd'hui.

"Je suis le pain vivant descendu du ciel." Jésus se donne à nous en nourriture. Celui qui se nourrit à ma vie, à mon enseignement et témoignage de vie, je deeure en lui. Jésus me donne son enseignement de vie, sa Parole de vie, ses valeurs, son amour, sa miséricorde; il me donne tout ce qui le fait vivre, tout ce qu'Il est pour que ma vie d'enfant de Dieu soit semblable à la sienne. Me nourrir du Christ, c'est acquérir ses yeux pour regarder les autres, avoir son coeur pour les aimer, ses mains pour servir. Que ma vie soit davantage façonner sur  la sienne.  Me nourrir du Christ, c'est entrer le mieux possible dans sa mission. La communion au Christ est une mission à réaliser. Me nourrir du Christ n'est pas seulement satisfaire ma piété personnelle, c'est m'engager sur la route avec lui. 

Jésus dira à Mathieu, Pierre, Jacques et les autres, venez à ma suite, venez vous nourrir de ma parole, de mon témoignage de vie, de mes valeurs et je ferai de vous des pêcheurs d'hommes. Je ferai de vous des envoy.és en mission. Se nourrir du Christ c'est d'abord se laisser transformer par sa présence en nous pour faire mémoire: "Faites ceci en mémoire de moi." Faire mémpire, c'est rendre présent et efficace aujourd'hui la parole et les valeurs de Jésus Christ. Communier à Jésus christ, c'est se laisser transformer par lui  pour que notre vie, notre mission rendent présent le mieux possible l'action  du ressucité au coeur de notre vie. Nous avons mis l'accent beaucoup sur l'adoration et la communion à l'hostie et nous avons un peu torp oublié la mission. 

"Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi, en lui. De même que le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie." Me nourir du pain de Jésus est d'abord un temps de communion avec lui: Je demeure en lui comme il dmeeure en mpi. Mais c'est auss un temps de mission, il nous envoie avec lui au chantier de l'amour, de la justice, du pardon, de la miséricorde, etc. Notre vocation est d'être auprès du christ pour nous laisser transformer dans un temps de communion et notre mission  découle de cette communion pour devenir apôtre et témoin du Christ ressucité et vivant en nous. 

Nous nourrir au Chirst, c'est comme nous dit Sant Paul, devenir avec les autres chrétiens et chrétiennes un seul coprs, le corps vivant du Christ.  Nous nourrir au Christ dans l'Eucharistie, c'est faire corps avec les autres  pour devenir corps vivant du ressuscité. Je crois aujourd'hui que le gros problème que nous vivons en Église n'est pas la diminution rapide des pratiquants mais l'absence de repas de fraternité. Nos célébrations ne seraient-elles pas devenues seulement des rites trop rigides. Rompre le pain ensemble le dimanche, c'est créer des liens de fraternité, crérer des liens de communauté et de communion pour devenir le "corps vivant du Christ ressucité." Nous pouvons espérer que ce temps de confinement nous fasse réfléchir à ces réalités essentielles à notre vie d'Église. Et pouvons-nous espérer que la fermeture obligée de certaines églises -après la pandémie-  nous fasse retrouver des lieux et des façons de célébrer notre fraternité. Je suis descendu du ciel pour faire coprs avec vous et ensemble témoins de l'amour inconditionnel du Père.  

 

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mardi, 09 juin 2020 13:04

Mon travail d'artisanat?

J'ai souvent vu ma mère tisser au métier. Sur le métier, il y avait  un fil tendu dans lequel elle tissait un autre fil pour faire une pièce d'étoffe selon nos besoins de la famille ou que les gens lui demandaient de faire. Le fil tendu était toujours semblable et ma mère s'amusait à promener la navette entre ces fils avec un autre fil selon la couleur nécessaire ou une façon de procéder qui répondait aux besoins. Enfant, c'était pour moi un travail comme un autre. Avec les années, il a pris à mes yeux une autre dimension et est devenu une piste de réflexion.

Le fil tendu sur le métier est devenu à mes yeux le fil de ma vie, mon ADN, ma vocation  d'être humain et de chrétien.  L'autre fil tissé entre les fils tendus devenait ma mission , ma responsabiltié de réaliser ma vocation. Il m'appartenait à moi et à moi seul de façonner la pièce d'étoffe de ma vie. Personne ne pourrait le faire à ma plac.e.   Et comme ma mèr prenait le fil nécessaire à réaliser la pièce dont elle avait besoin, changeant parfois les couleurs ou la façon de "tisser", je devais moi aussi ajuster ma façon de réaliser ma mission selon les besoins du milieu où je vivais. Je devais parfois changer la couleur du fil, ou ma fa^con de "tisser" pour répondre aux besoins des gens. Ma façon de concevoir ma mission comme prêtre en 2020 n'est pas celle du jour de mon  ordination. 

Aujourd'hui pour moi, être prêtre, ou marier à l'Église, c'est une mission. Une  vocation m'apparait une chose plus statique. Une mission s'ajsute aux besoins du milieu où je suis planté. Une religieuse ou religieux est aussi une mission dans la communauté. La mission suit le besoin du milieu alors que la vocation est plus figé dans une façon de faire. En ce temps de pandémie comme pour la retraite, notre question est toujours: C'est quoi notre mission au coeur de la communauté dans le moment que nous vivons.? C'est quoi le besoin spirituel des chrétiennes et chrétiens aujourd'hui dans le temps de confinement. C'est à partir de ce besoin que je vais "tisser" ma mission. Bonne journée.

 

Publié dans Textes de réflexion
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