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Homélies, réflexions et spiritualité

Textes de réflexion

Jos. Deschênes

Jos. Deschênes

jeudi, 21 septembre 2023 14:41

Jésus dérange.

Jésus mange avec des publicains, des pécheurs et pêcheurs, (Mth 9, 9-13),  il n'est pas digne de son rang.  S'il savait avec qui il mange, il prendrait surement la porte. S'il était vraiment Fils de Dieu, il ne serait pas assis à cette table, pensait-on autour de lui. Combiend e fois n'ai-je pas entendu ces réflexions. 

Quand j'étais curé à Ste-Anne des Monts, une agente de pastorale présidait à la  célébrations des baptême et prononçait les homélies le dimanche. On me disait: Pourquoi la laissé faire, elle prend votre place. Je répondais simplement: Elle ne prend pas ma place. elle prend sa place. La situation dérangeait les vieux chrétiens. Elle avait fait l'homélie à la messe télévisée à Radio-Canada en 1986.

Nous avons simplement oublié de reconnaitre les ministères du baptême, les ministères des baptisés et avons tout réduit entre les mains des ministres ordonnés.  Aujourd'hui nous manquons de prêtres et aussi de services à la communauté alors qu ele sministres dorment sur leur  ministères.

Le synode qui s'ouvre à Rome ouvrira-t-il une brèche dans ce mur bien boulonné? Des chrétiens, femmes et hommes, participent à ces assises peut être qu'ils pousseront un brin la porte de la salle des ministères. C'est à espérer.

mardi, 19 septembre 2023 16:35

Que vaut ta vie? Mth 20, 1-16.

Un jour je vais m'asseoir près d'une rivière par un bel après midi, j'ai médité, lu, contemplé la nature et profité aussi de la bonne eau  que la rivière m'offrait. Juste au moment de quitter, un coureur passe tout en sueur et se désaltère. Il a eu droit à toute la quantité d'eau qu'il voulait. La rivière s'est montrée aussi généreuse envers lui qui ne faisait que passer qu'elle l'avait été envers moi qui avait passé du temps à la contempler et à lui dire de mots doux. J'étais non frustré mais questionné un peu comme les gens de l'Évangile de notre dimanche.

Dans l'Évangile de ce dimanche, un maitre envoie des ouvriers à sa vigne. les gens arrivent  à différentes heures de la journée. Au moment d'être payer, les derneirs reçoivent le même salaire que les premiers qui avaient trimé toute la journée. Évidemment les travailleurs se sentent blessés et trahis. Les conventins collectives ne permettent pas de telles façons de faire.  

La paraboles de Jésus ne nous parle pas de droit à une rémunération juste, Mais du sens que nous donnons à notre vie. Pour Dieu ce n'est pas la quantité qui compte, mais la qualité. Jésus nous enseigne que la vie n'est pas une "job"  mais une vocation, une façon d'être.  Nous sommes placés devant la question de "savoir comment je comprends ma vie de chrétien." Es-ce que pour rmoi le nombre d'heures compte le plus ou la qualité de ma vie. La source donne de l'eau sans compter, l'important est de donner. Avec le Seigneur, le salaire n'est pas la somme d'argent que je reçois à la fin de la journée, mais la satisfaction, la joie et le sens que j'ai donné à ma vie.

Le Seigneur n'a pas le même sens que nous de la comptabilité. Ce ne sont pas les heures qui comptent mais le sens et la qualité de notre vie et engagement.  Souvent nous travaillons pour des récompenses, un salaire. Dans le royaume du Père, c'est la qualité du coeur qui compte. Comparer nous rend envieux et parfois jaloux En définitive, cette parabole me place devant la question comment je comprend ma vie de chrétien et mon engagement dans la communauté. Le salaire de ma présence et de mon engagement n'est pas extérieur mais de l'intérieur à savoir que ma vie a un sens et sert à faire grandir la vie autour de moi. 

Ce qui compte avec le Seigneur est d'être appelé et de se laisser appeler. à servir. Pourquoi restez-vous là sans rien faire, dira Jésus aux gens de la dernière heure.  Jésus nous appelle à servir à travers les besoins de nos milieux, Il est essentiel de se présenter et le Seigneur nous envoie à la vigne.  La méthode de Jésus est déroutante pour nous mais elle nous renvoie à cette question: comment je me  vois comme ouvriers dans la vigne du Seigneur? 

vendredi, 15 septembre 2023 17:51

Très beau.

Éric Emmanuel Schmitt: Le défi de Jérusalem. Ed. Albin Michel. 2023. L'auteur raconte un pèlerinage fait au pays de Jésus. l est parti avec une question: Pourquoi partir? Il est revenu avec une autre question, celle de Jésus à ses apôtres: Pour vous, qui suis-je? L'auteur raconte son intinéraire spirituel et l'expérience vécue de la présence du christ en nous. Très bonne lecture. 

 

jeudi, 14 septembre 2023 14:43

La croix.

Aujourd'hui, 14 septembre, fête de la croix glorieuse. Ma méditation devant la croix du Christ est à double tour. D'abord sur ce gibet, le Christ a souffert la passion; voulait-il apaiser le colère de Dieu, j'en doute.  Dieu ne connait pas la colère comme nous, à moins d'avoir une graine d'humanité. Jésus a souffert pour nous faire comprendre la cruauté de l'être humain. L'homme est prêt éliminer celui qui ne pense pas comme lui. souvent nos traditions et nos coutumes sont si ancrées que nous sommes prêts à donner la mort plutôt que de se convertir. Jésus avait tellement dérangé les chefs religieux juifs que ceux-ci voulurent s'en débarraser; et aussi il avait déçu l'espérance du peuple qui le voyait comme un libérateur du peuple de l'emprise des romains. Alors comme Jésus n'était pas à  notre taille, on l'a supprimé.

Jésus a souffert sa passion pour nous indiquer sa fidélité à sa mission. Trop souvent nous acceptons de tergiverser ou de changer d'avis pour éviter le rejet ou la souffrance. Jésus a voulu rester fidèle à lui-même et à sa mission mpeme devant la mort et la souffrance. Ceci me rappelle Martin Luther King, Louis Riel, Mgr Ramero et combien d'autres qui n'ont pas voulu renier leur être profond et leur mission et ont subit  la mort.  Devant la croix accueillons le message d'amour et de fidélité du Christ Jésus.

 

mercredi, 13 septembre 2023 17:06

le Pardon. Mth 18, 21-35.

De nos jours, la vie devient plus difficile, on dirait que les relations humaines s'étiolent et que les différents se règlent avec la force et la colère. Aujourd'hui dans l'Évangile Jésus vient nous donner une façon de bâtir des relations réussies. Pierre le chef des apôtres se croyait un bon disciple en demandant combien de fois je dois pardonner.  D'autnt plus que le chiffre sept dans Bible est un chiffre parfait. Donc ce petit monsieur Pierre se croyait sur une bonne voie, un pardon parfait.  Jésus lui dit mon bon Pierre, ce n'est pas sept fois qu'il te faut pardonner, mais soixante-dix-sept foi sept fois. Ton pardon ne doit pas être seulement parfait, mais plus que parfait. Le pardon est l'une des pierres fondamentales d'une bonne relation chrétienne. Jésus nous dit le pardon n'est pas un calcul, combien de fois je dois pardonner,  mais un élan du coeur. Le pardon est un don gratuit  et non un exercice arithmétique. Une des conditions premières pour qu'une communauté chrétienne vive de bonnes relations est que le pardon ne connaisse pas de limite. Il est évident que nous avons tous nos susceptibilités et que le mal qui nous est fait peut créer des blessures profondes et qu'au lieu de pardonner nous ayons le goût d'étouffer la personne, mais ce n'est pas la logique de Jésus. Pour Jésus le pardon ne se limite pas a la quantité,  mais comme il  participe au pardon divin, il doit être un élan du coeur.  La réponse de Jésus a Pierre s'adresse aussi à moi et à chacun d'entre nous. C'est notre façcon de vivre en chrétien fidèle à l'enseignement du Christ.

 Jésus ne donne pas seulement un enseignement théorique, il joint une petite histoire à son enseignement verbal. Un maitre remet une énorme dette à son serviteur incapable de payer. Mais ce dernier  aussitôt sortit de chez son maitre va faire emprisonner un débiteur qui lui doit une petite somme. Le premier débiteur doit dix mille talents à son maitre, c'est une somme énorme pour l'époque et que le débiteur ne pourra jamais rembourser. Alors le maitre lui remet sa dette. C'est l'image de notre dette envers le Seigneur; nous ne pourrons jamais rembourser notre dette devant le Seigneur. Imaginons tout ce que nous avons recu gratuitement: la vie, la nature, les talents, les dons très variés. Ceci nous est donné gratuitement par le Seigneur, jamais nous ne pourrons rembourser.

Alors si tant de choses nous sont données, que n'avons qu'à les accueillir et s'en servir malgré parfois nos écarts de relations, combien plus devons-nous avoir la même façon de faire envers nos frères et soeurs en humanité.  Pour y arriver, nous devons entrer en nous-même pour reconnaitre la force de l'Esprit qui nous habite.  Allons nous asseoir devant un pépin de pomme. Ce petit pépin est rempli d'une force qui lui permet de produire un arbre et des pommes. Il a cette force intérieure, même tout petit, de réussir un vrai tour de force pour produire un arbre et des fruits. Il en est de même pour nous. Nous avons en nous cette force de l'Esprit Saint, cette présence divine qui nous  permet de produire des fruits de bonté et de pardon qui conduisent à de bonnes relations.  Notre relation au Seigneur et aux autres est conditionnée par notre capacité de découvrir en nous la présence et la force de l'Esprit qui nous anime à l'image du petit pépin de pomme. Ce n'est pas à l'extérieur de nous que nous le découvrirons. Notons que Jésus ne nous remet pas notre dette par pitié, mais par amour. Si nous arrivons à goûter la richesse et la tendresse du pardon de Dieu, nous arriverons plus facilement à le vivre et le transmettre. C'est là un des grands rôle de l'Eucharistie. L'Eucharistie nous fait communier à cette tendresse de Dieu pour nous et nous donne la force de la vivre et de la communiqer.

mercredi, 13 septembre 2023 17:06

le Pardon. Mth 18, 21-35.

De nos jours, la vie devient plus difficile, on dirait que les relations humaines s'étiolent et que les différents se règlent avec la force et la colère. Aujourd'hui dans l'Évangile Jésus vient nous donner une façon de bâtir des relations réussies. Pierre le chef des apôtres se croyaient un bon disciples en demandant combien de foiss je dois pardonner.  D'autnt plus que le chiffre sept dals Bible est un chiffre parfait. Donc ce petit monsieur Pierre se croyait sur une bonne voie. Jésus lui dit mon bon Pierre, ce n'est pas sept fois qu'il te faut pardonner, mais soixante-dix-sept foi sept fois. Ton pardon en doit pas être seulement parfait, mais plus que parfait. Le ppardon est l'une des pierres fondamentales d'une bonne relation chrétienne. Jésus nous dit le pardon n'est pas un calcul, combiende fois je dois pardonner,  mais un élan du coeur. Le pardon est un don gratuit  et non un exercice arithmétique. Une des conditions premières pour qu'une communauté chrétienne vit de bonnes relations est que le pardon ne connaisse pas de limite. Il est évodent que nous avons tous nos susceptibilités et que le méfait peut créer des blessures profondes et qu'au lieu de pardonner nous ayons le goût d'étouffer la personne, mais ce n'est pas la logique de Jésus. Pour Jésus le pardon ne se limite pas a la quantité parce qu'il participe au pardon divin.  La réponse de Jésus a Pierre s'adresse aussi à moi et à chacun d'entre nous. C'est notre façcon de vivre en chrétien fidèle à l'enseignement du Christ.

 Jésus ne donne pas seulement un enseignement théorique, il joint une petite histoire à son enseignement verbal. Un maitre remet une énorme dette à son serviteur uncapable de payer. Mais ce derneir va aussitôt sorit de chez son maitre faire emprisonner un débiteur qui lui doit une petite somme. Le premier débiteur doit dix mille talents à son maitre, c'est une somme énorme pour l'époque et que le débiteur ne pourra jamais rembourser. Alors le maitre lui remet sa dette. C'est l'image de notre dette envers le Seigneur; nous ne pourrons jamais rembourser notre dette devant le Seigneur. Imaginons tout ce que nous avons recu gratuitement: la vie, la nature, les talents, les dons très variés. Ceci nous est donné gratuitement par le Seigneur, jamais nous ne pourrons rembourser.

Alors si tant de choses nous sont données, que n'avons qu'à les accueillir et s'en servir malgré parfois nos écarts de relations, combien plus devons-nous avoir la même façcon de faire envers nos frères et soeurs nn humanité.  Pour y arriver, nous devons entrer en nous-même pour reconnaitre la force de l'Esprit qui nous habite.  Allons nous asseoir devant un pépin de pomme. Ce petit pépin est rempli d'une force qui lui permet de produire un arbre et des pommes. l a cette force intérieure, même tout petit, de réussir un vrai tour de force pour produire un arbre et des fruits. Il en est de même pour nous. Nous avons en nous cette ofrce d el'Esprit Saint, cette présence divine qui nous  permet de produire des fruits de bonté et de pardon qui conduisent à de bonnes relations.  Notre relation au Seigneur et aux autres est conditionnée par notre capacité de découvrir en nous la présence et la force de l'Esprit qui nous anime à l'image du petit pépin de pomme. Ce n'est pas à l'extérieur de nous que nous le découvrirons. Notons que Jésus ne nous remet pas notre dette par pitié, mais par amour. Si nous arrivons à goûter la richesse et la tendresse du pardon de Dieu, nous arriverons plus facilement à le vivre et le transmettre. C'est là un des grands rôle de l'Eucharistie. L'Eucharistie nos fait communier à cette tendresse de Dieu pour nous et nous donne la force de la vivre et de la communiqer.

lundi, 11 septembre 2023 19:42

Communion avec Dieu

Neale Donald Walsch: Communion avec Dieu. Un dislogue hors du commun. Ed. Ariane. L'auteur part de nous, nous sommes èa l'image de Dieu, Le divin n ous habite et c'est en nous qu'il faut le découvrir et entrer en communion avec lui. Dieu n'est pas celui qui récompense et punit, mais celui qui donne gratuitement. A partir de notre agir nos avons inventer un dieu qui punit, chasse du paradis terrestre, qui demande des sacrfiices pou rêtre en bon terme avec nous, Dieu donne gratuitement, il s'agit pour nous de le reconnaitre et d'être en action de grâce. Nous croyons en Dieu, mais croyons-nous en un Dieu qui CROIT EN NOUS. Bonne Lecture.

 

mardi, 05 septembre 2023 17:49

Seul à seul. Mth 18, 15-20

Si Jésus était québécois, il aurait parlé des "j'auais don du" dans l'Évangile d<,ajourd'hui.  Devant le détresse de mon frère,  J'aurais donc dû parler plutôt.  Souvent devant des relations difficiles, on se dit: Je devrais lui parler, lui faire voir son problème, mais nous ne le faisons pas par peur de blesser, de ne pas être à la hauteur  et nous laissons la situation se gâter et alors nous disons en nous-même: J'aurais donc dû parler quand c'était le temps. Les "j'arrais don dû" sont trop nombreux aujourd'hui.

Jésus nous dit dans l'Évangile: Si ton frère fait quelque chose contre toi, vas le voir seul à seul. autrement dit, ne convoque pas une assemblée pour parler de lui mais vas parler avec lui. Vas le voir seul à seul dans une relation de confiance, d'amitié et de tendresse. Ne vas pas le juger, mais éclairer sa vie pour l'empêcher de se dégrader davantage. Trop souvent nos mauvaises actions sont le fruit de blessures ou de frustrations refoulées qui peuvent conduire très bas. Vas lui dire: Devant ta situation, je ne peux rester indifférent parce que je t'estime trop. Aimer c'est aider l'autre à avancer sur la route de la vie même si les courbes sont parfois prononcées et demandent de l'habileté. Vas seul à seul  pour établir une relation de confiance et de tendresse qui permette un dialogue franc et productif. C'est le rappel du Bon Pasteur qui prend la brebis égarée sur ses épaules, ou encore le regard de Jésus à  Zachée grimpé dans son sycomore.

Mais Jésus nous envoi eplus loin; il nous envoie à la communauté. Les relations réussies peuvent être aussi réalisées avec l'aide de la communauté chrétienne. Prends deux ou trois étmoins avec toi.  La communauté doit aussi prendre soin des pauvres, des petits, des personne sen difficulté de relation. Mais la communauté doit également faire en sorte que le pardon soit illimité. Les personnes qui vont t.accompagner dit Jésus doivent être au même diapason de l'amitié et de la tendresse. L'homme qui a blessé n'est pas en colère, il souffre intérieurement et il a besoin d'une bonne dose d'amour. Jésus a dit un jour: Lorsque deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là au milieu d'eux. Ne ne devons jamais oublié cette présence amoureuse du Christ ressuscité à notre vie au quotidien.

Alors Jésus ajoutera une autre phrase importante: Tout ce que vous aures lié sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce qu evous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel. Donc tout ce que vous aurez guéri sur la terre dans vos rencontres et nvotre vie quotidienne,   sera guérit pour l'éternité. Ainsi ce que vous aurez laisser en poanne sur la terre le sera dans l'Éternité; on pourrait ajouter à moins que vous n'en soyez pas responsable. S'aider à guérir mutuellement, c'est faire passer l'Esprit du Christ dans notre vie et celle de la communauté.

Quand je vais à l'Eucharistie, je vais chercher davantage l'Esprit du Christ et la force de le rendre présent au quotidien de la vie. Nous sommes habitués de dire, Je vais à la messe, mais faudrait mieux se dire, je vais faire communion avec le Christ et mes frères et soeurs et travailler à faire des rencontres réussies. L'euchsristie n'est pas un rite auquel j'assiste, mais une communion de vie que je dois réaliser avec Jésus Christ dans mon quotidien. 

  

mardi, 05 septembre 2023 14:25

En lisant.

Frédéric Lenoir: coeur de Cristal, Ed.  Robert Lafont, 2014.  Je viens de terminer la lecture de ce petit livre qui date un peu mais est une lecture fort intéressante. Il s'agit d'un conte qui nous laisse des messages nourrissants. Même le plus froid et le plus endurci des coeurs ne saurait resté sourd au chant du pur amour. Ne donne à personne le pouvoir de te rendre heureux ou malheureux. Et parfois nou scherchons loin de nous ce qui est tout près de nous.  Bonne lecture.

 

samedi, 02 septembre 2023 14:18

J'ai lu.

Yves-Marie Blanchard: Contr le cléricalisme, retour à l'Évangile. Salvator, 2023. L'auteur fait l'étude de textes bibliques dans le but dfe mntrer comment les apôtres et Paul on vécu les débuts de l'Église. Ils étaient des frères et soeurs, des compagnons, des apôtres. Il y avait davantage la dimension de communauté différent d'aujourd'hui. À l'étude de ces textes nous pouvons comprendre la dérive du pouvoir clérical  implanté en Église et aussi la place des femmes. L'auteur termine en nous envoyant visité la synodalité. Bonne lecture.

 

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