Ma prière ce matin est de rendre grâce pour ce beau dimanche qui nous est donné de vivre en action de grâce. le dimanche est notre jour à nous chrétiens pour communier ensemble comme soerus et frères à notre grand frère Jésus Christ. Ce grand Frère vient me dire, je suis le Bon Pasteur qui te connais au plus profond de toi-même avec tes besoins, tes beuatés, tes faiblesses, tes frustrations comme te rêves et qualités. Le Pasteur est celui qui met ses pas dans les miens pour marcher à mon rythme, qui écoute battre mon coeur pour suivre le même rythme, qui me dit la parole que j'ai besoin d'entendre pour avancer. Ce grand frère Jésus est celui qui me dit marche avec moi et tu ne seras jamais dans les ténèbres parce que ma présence et ma parole vont éclairer ta route quand tu doutes ou sembles perdu. En ce beau dimanche ensoleillé écoutons Jésus le Vrai Pasteur nous parler personnellement au fond du coeur pour se laisser apprivoiser Comme le renard et la fleur du petit prince. Bon dimanche.
Ma prière ce matin est de rendre grâce pour ce beau dimanche qui nous est donné de vivre en action de grâce. le dimanche est notre jour à nous chrétiens pour communier ensemble comme soerus et frères à notre grand frère Jésus Christ. Ce grand Frère vient me dire, je suis le Bon Pasteur qui te connais au plus profond de toi-même avec tes besoins, tes beuatés, tes faiblesses, tes frustrations comme te rêves et qualités. Le Pasteur est celui qui met ses pas dans les miens pour marcher à mon rythme, qui écoute battre mon coeur pour suivre le même rythme, qui me dit la parole que j'ai besoin d'entendre pour avancer. Ce grand frère Jésus est celui qui me dit marche avec moi et tu ne seras jamais dans les ténèbres parce que ma présence et ma parole vont éclairer ta route quand tu doutes ou sembles perdu. En ce beau dimanche ensoleillé écoutons Jésus le Vrai Pasteur nous parler personnellement au fond du coeur pour se laisser apprivoiser Comme le renard et la fleur du petit prince. Bon dimanche.
Bien des disciples étaient scandalisés par les paroles de Jésus et le quittèrent. Alors jésus s'adressent à ses amis: Voulez-vous partir vous aussi? Ils lui répondent où irions-nous tu as le sparoles de la vie éternelle. Jésus aurait peut être le goût de faire la même demande aujourd'hui. Voulez-vous partir aussi? Que nou slui répondriosn-nous. Des gens ont posé la même question à Mgr Gaillot. Il a répondu que même avec ses faiblesses, ses erreurs, il aimait assez l'Église pour continuer à servir. Vous êtes l'Église disait Saint Paul s'adressant à ses disciples. Nous sommes l'Église de Jésus Christ. Cette Église que nous sommes, nous l'aimons et c'est pour cela que les chrétiens restent fidèles. Fidèle à l'Esprit qui nous anime, nous é.claire et nous conduit. Fidèle à l'amour qui npus rempli et nous réchauffe le coeur. Nous sommes l'Église de Jésus Christ et avec nos faiblesses nous continuons de témoigner du ressuscité. Le renouveau de l'Église s'amorce doucement et nous permet d'espérer. À qui irions-nous, tu as les paroles de la Vie?
Aussitôt tombèrent de ses yeux des écailles, et il retrouva la vie." Act. 9, 1-20. Il s'agit du récit de la conversion de Paul. Ce récit est d'actualité encore aujourd'hui. C'est vrai pour moi dans ma vie quotidienne. Le monde change vite, la vie nous amène des éxigences nouvelles et nous avons trop souvent des écailles qui empêchent de voir clair. Combien de fois n'avons-nous pas dit: Je ne sais plus quoi faire, c'est tellement nouveau et différent. Nos écailles sont souvent notre passé que nous voulons conserver. J'entends régulièrement que les jeunes surtout ne croient plus a rien n'ont plus de valeurs, tout est permis, et que sais-je encore. J'ai vécu l'arrivée de l'electricité et du téléphone dans mon coin de pays et des gens disaient: Jamais ça entrera dans ma maison. J'ai pesté contre les ordinateurs ou je trouvais que trop de gnes perdaient leur temps à pitonner. Maintenant je ne pourrais plus m'en passer. tout ce qui est nouveau ou différent nous dérange et fait naitre un système de défense. Tout ce qui est nouveau n'est pas nécessairement bon, mais tout ce qui est ancien ne l'est pas non plus. L'important est de pouvoir discerner.
Ceci est vrai pour les individus comme pour les organismes ou systèmes. Nos sociétés sont changées. Elles ont apporté d'autres façons de faire, de présenter les valeurs, mais cela dérange notre façon de voir et nous croyons trop malheureusement posséder la vérité. Les commerces, l'industrie se réajustent; ils produisent toujours les mêmes produits mais l'apporche ou la présentation est différente. C'est vrai sussi pour l'Église. Quand nous parlons de revoir la célébration des sacrements, nous ne changeons rien au sacrement, à sa valeur, mais il s'agit simplement de réajuster la formule sur des besoins nouveaux pour mieux bénéficier des valeurs et des effets du sacrement. Les oppositions ne viennent pas des valeurs ou du sens des sacrements, mais des formes à conserver. Il y a certaines écailles à laisser tomber. Le Pape François nous y invite souvent. Quand 95% des chrétiens ont quité la pratique sacramentelle, il y a un problème et le problème n'est pas nécessairement toujours à l'extérieur. Comme chrétiens j'aI à méditer cette réalité. Quelles sont les écalilles sur mes yeux qui m'empêchent de lire le monde d'ici?
Le boulanger divin ne nous offre pas un pain qu'il pétri luimême, mais un pain pétri par le Père. Il est lui-même le pain pour nuorrir notre vie spirituelle. Le pain de Jésus est d'abord le pain de son témoignage de vie, le pain de sa Parole de paix et d'amour et le pan de l'Eucharistie, cette présence et force merveilleuse pour réaliser la mission. En Genèse, on no sprésente le Créateur comme celui qui façonne l'être humain à la manière du potier qui façonne son oeuvre. Le pain de Jésus a été pétri par les main du Père pour devenir nourriture de vie pour le monde. C'est dire que cette nourriture divine s'ajuste aux besoins des femmes et des hommes de tous les temps. Ce pain est nourriture de vie, donc fait grandir les personnes selon leurs talents, leurs charismes, leur goût, leur ryhme de croissance. Cette nourriture ne fait pas faire des choses, elle fait devenir quelqu'un. La nourriture de Jésus fait advenir chacune et chacune selon ce qu'il est et non lui imposer des actes extérieurs. La nourriture qu ej'absorbe chaque jour me fait grandir selon ce que je suis, la nourriture de Jésus également. Le pain du témoigange, le pain de la Parole, le pain de l'Eucharistie visent à faire grandir mon être d'enfant de Dieu selon les dons que l'Esprit a déposés en chacun de nous.
Par suite d'un laïus, cette phrase "comment va ton printemps" est sortie hier soir sur les ondes. C'est charmant comme interrogation. Quel temps fait-il intérieurement chez toi? Il y a des tempêtes, de fortes marées, et du ciel clair et sans nuage. Notre printemps est fait d'un peu tout cela. Quand on veut prévoir la température, nous nous servons d'un instrument: pour savoir notre météo intérieure, nous avons aussi un instrument: la méditation et le discernement. Notre température intérieure est prise dans le silence et la prière. La méditation et le discernement sont le baromètre intérieur qui nous permet de découvrir les sources de notre colère, de nos montées de pression, notre impatience ou orgueil et d'y apporter un remède. La pandémie nous a fourni ces temps de silence bénéfique pour entrer dans notre chambre nt.érieure et faire du ménage.
Ceci nous conduit à une joie de vivre et cette joie vient de l'émerveillement. Ce soir, au coucher, je suis reconnaissant de cette journée vécue et je dis: merci; à mon réveil, je suis reconnaissant de cette journée devant moi, et je dis: allélia. Mon baromètre intérieur vient me dire: Si tu ne trouves pas le bonheur dans l'instant que tu dois vivre, où le trouveras-tu? C'est pour cela que je dis que mon printemps va bien.
Les première communautés chrétiennes vivaient une triple fidélité: Fidélité à la Parole de Dieu, fisélité aux prière communautaires, fidélité à la communion fraternelle; au retour de mission ils aimaient se rencontrer pour la fraction du pain. L'Eucharistie était la célébration d'action de grâce de leur travail missionnaire. L'ordre dans lequel la bible nous présente ces fidélités est importantes.
Notons que la première fidélité était celle liée à la Parole de Dieu. C'est la Parole qui convoque, rassemble, convertit et met en état de célébrer. La Parole nous met en contact avec le Christ, avec sa mission, nous fait vivre une expérience vitale du ressuscité et permet ainsi de célébrer. Nous sommes envoyés en mission et le Christ accompagne et forme ses missionnaires par sa Parole. La Parole n'est pas d'abord dans le livre mais dans le coeur des chrétiens. J'acocmpagne depuis plus de dix ans des groupes de partage de la Parole et nous découvrons comment la Parole monte du coeur des gens. La parole que l'on lit est un envoie pour permettre de découvrir un vécu de la Parole dans le coeur des personnes. Ces gens découvrent le goût de célébrer ensemble en communauté mais sont parfois rebutées par le style actuel de célébration.
Ils étaient fidèles à la prière, ces moments de communion profonde avec le Christ. La prière avant d'être des mots est un état d'intimité avec le Ressuscité. La prière personnelle est souvent un état de communion silenceuse avec Jésus Christ. Doucement nous y arrivons sans le rechercher, simplement en se laissant baigner du silence qui nous entoure. Simplement se laisser regarder par le Christ.
La charité fraternelle su rle terrain est la mission donnée par Jésus, c'est le lavement des pieds, c'est la défense du pauvre et du sans voix, Ce que vous faites au plus petit d'entre les miens, c'est moi que vous le faites. Ce qui se vit beaucouo aujourd'hui dans les services communautaires et les oeuvres caritatives qui couvrent le Québec aujourd'ui. Tout cela c'est l'Eucharistie vécue sur le terrain, il ne nous reste qu'à faire le pas vers le goût de se réunir pour célébrer en Église ces eucharisties quotidiennes et faire Église ensemble. Bonne journée.
La foule qui avait bien mangé au pique-nique de Jésus s'est retrouvée seul, Jésus était disparu. Ils le trouvèrent srur l'autre rive. La foule était restée au niveau du miracle et Jésus était sur une autre rive, celle de l'amour et de la gratuité. Jn 6, 22-29. La foule cherche Jésus parce qu'ils ont bien mangé, ils ont vu un miracle. La foule est toujours à la recehrche du merveilleux mais Jésus n'est pas là. Il est sur l'autre rive. la foule ne cherche pas Jésus pour lui-même, elle le cherche pour le merveilleux. Quand il n'y a plus de merveilleux, il n'y a plus de foule.
L'oeuvre de Dieu est que vous croyez en celui qu'il a envoyé et non dans des miracles ou du merveilleux. C'est la question que Jésus vient me poser ce matin: Sur quelle rive du lac suis-je? La rive du merveilleux ou celle de l'amour et de Jésus?
La foule qui avait bien mangé au pique-nique de Jésus s'est retrouvé seul, Jésus était disparu. Ils le trouvèrent srur l'autre rive. La foule était resté au niveau du miracle et Jésus était sur une autre rive, celle de l'amour et de la gratuité. Jn 6, 22-29. La foule cherche par ce qu'ils ont bien mangé, ils ont vu un miracle. La foule est toujours à la recehrche du merveilleux mais Jésus n'est pas là. Il est sur l'autre rive. la foule ne cherche pas Jésus pour lui-même, elle le cherche pour le merveilleux. Quand il n'y a plus de merveilleux, il n'y a plus de foule.
L'oeuvre de Dieu est que vous croyez en celui qu'il a envoyé et non dans des miracles ou du merveilleux. C'est la question que Jésus vient me poser ce matin: Sur quelle rive du lac suis-je? La rive du merveilleux ou celle de l'amour et de Jésus?
La foule qui avait bien mangé au pique-nique de Jésus s'est retrouvé seul, Jésus était disparu. Ils le trouvèrent srur l'autre rive. La foule était resté au niveau du miracle et Jésus était sur une autre rive, celle de l'amour et de la gratuité. Jn 6, 22-29. La foule cherche par ce qu'ils ont bien mangé, ils ont vu un miracle. La foule est toujours à la recehrche du merveilleux mais Jésus n'est pas là. Il est sur l'autre rive. la foule ne cherche pas Jésus pour lui-même, elle le cherche pour le merveilleux. Quand il n'y a plus de merveilleux, il n'y a plus de foule.
L'oeuvre de Dieu est que vous croyez en celui qu'il a envoyé et non dans des miracles ou du merveilleux. C'est la question que Jésus vient me poser ce matin: Sur quelle rive du lac suis-je? La rive du merveilleux ou celle de l'amour et de Jésus?
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La foule qui avait bien mangé au pique-nique de Jésus s'est retrouvé seul, Jésus était disparu. Ils le trouvèrent srur l'autre rive. La foule était resté au niveau du miracle et Jésus était sur une autre rive, celle de l'amour et de la gratuité. Jn 6, 22-29. La foule cherche par ce qu'ils ont bien mangé, ils ont vu un miracle. La foule est toujours à la recehrche du merveilleux mais Jésus n'est pas là. Il est sur l'autre rive. la foule ne cherche pas Jésus pour lui-même, elle le cherche pour le merveilleux. Quand il n'y a plus de merveilleux, il n'y a plus de foule.
L'oeuvre de Dieu est que vous croyez en celui qu'il a envoyé et non dans des miracles ou du merveilleux. C'est la question que Jésus vient me poser ce matin: Sur quelle rive du lac suis-je? La rive du merveilleux ou celle de l'amour et de Jésus?
Vous en serez les témoins, nous dit Jésus Christ. Nous sommes envoyés comme témoins du ressuscité dans le monde. C'est notre mission de croyants. Un témoin est quelqu'un qui laisse passer le Christ à travers son être et son agir. Un témoin est quelqu'un qui prend par la main et conduit à Jésus Christ par attirance et non par obligation. Un témoin ne défend pas une doctrine ou des façons de faire, mais laisse découvrir quelqu'un qui est AMOUR. Jésus ressuscité est là présent au coeur de la vie de tout être humain. Il s'agit simplement de le faire découvrir pour que les chrétiens apprennent à vivre en communion avec Lui. Jésus ressuscité est une présence, une force dans ma vie, ceci ne s'explique pas avec des mots, mais se vit et se révèle. Un témoin donne le goût de Jésus Christ. Soyons témoins de Jésus Christ avons-nous chanté. Bon dimanche en témoin.
Jésus vient bavarder doucement avec nous ce matin et il nous dit en Mathieu 12, 46: Tu es mon frère, tu es ma mère, ma soeur. Jésus fait partie de ma famille, de ma vie. Je peux ne pas y croire, je peux le laisser de côté, lui sera toujours là prêt à m'accueillir le jour où je me tournerai vers Lui. Il est mon grand frère et ce que j'aime de lui, c'est qu'il me respecte dans mon cheminement, mes doutes et ma foi fragile. Il est là au détour du chemin lorsque je fais un faux pas pour me soutenir. Nous devons nous convertir au Dieu présent au oeur de nos vies. Le ciel est là à l'intérieur de nous et le Seigneur y habite. Il n'est pas en l'air assis sur un nuage, les pattes dans le vide pour nous surveiller. Il est sur la même route que moi et vit avec moi les mêmes espérances, les mêmes déceptions. Il est force au coeur de ma vie. Aujourd'hui laissons le Seigneur nous dire: Tu es ma soeru, tu es mon frère, tu es ma mère, tu es mon père. Bonne journée.
Jésus se retrouve dans le désert avec une foule immense et le panier de pique-nique est vide. Les disciples sont bien embêtés. La batterie du cellulaire est à plat et aucun transport en commun pour ramener cette foule à la maison. Il y a un jeune garçon avec cinq pains et deux poissons, mais c'est très peu pour tant de monde.
À l'époque de Jésus, les enfants n'avaient pas d'importance. Nous sommes devant une situation très inspirante pour nous. C'est l'enfant qui permet de nourrir la foule. Comme me disait quelqu'un: c'est l'envers du bon sens. Est-ce que c'est mieux aujourd'hui? Comment écoutons-nous les jeunes? Comment écoutons-nous les pauvres? Je viens de terminer la lecture d'un livre sur la vie des filles mères et des orphilinats au Québec. La mentalité n'était pas meilleure qu'au temps de Jésus. Le message de cet Évangile n'est pas il me semble le miracle de la multiplication des pains, mais un message de changer de mentalité. Un message de descendre de nos "grands chevaux" d'adultes pour écouter les personnes. Les enfants sont de grands évangélisateurs par leur émerveillement et leur absence de préjugés. "Si vous ne redevenez comme des petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume." Le royaume de Dieu appartient aux enfants et à ceux qui leur ressemble, dira encore Jésus. Il ne s'agit pas d'imiter l'enfant, mais de nous inspirer de sa simplicité pour avancer. Combien d'enfants sont morts dans leur coeur, dans leur être intérieur parce que n'avons pas appris à les écouter. Adultes, ils feront des coups pendables parce qu'ils ont été punis au lieu d'être éduqués. Jésus nous demande de changer de mentalité.