Demain la liturgie nous fera célébrer la fête communément appelée Fâte du Sacré-Coeur de Jésus. comme québécois, nous sommes beaucoup centrés sur les dévotions et cette fête en est une. la dévotion au coeur de Jésus.
Fêter le Sacré-coeur, c'est reconnaitre la profondeur d el'amour du christ pour chacun et chacune de nous. Chaque page de l'Évangile nous raconte la grandeur extraordinaire de l'amour de Jésus Christ pour l'humanité. Nous sommes le fruit de l'amour et l'objet continuel d el'amour du >christ à notre endroit. Notre premeir mouvement est un geste de reconnaissance et d'action de grâce à l'égard du Christ qui se donne continuellement pour nous acocmpagner. Il nous a montér la fidélité à lui-même en acceptant la mort plutôt que de se renier pour plaire aux autorités de son temps. il se donne à nous chaque jour par une présence spirituelle d'accompagnement et il se donne d'une façon sacramentelle dans l'Eucharistie comme une force pour nous aider à bien vivre notre vie de fille et de fils de Dieu.
Ainsi fêter le Sacré-coeur n'estpas un acte de dévotion mais une vie de communion dans l'amour aavec la source mêm de notre amour. L'amour de Dieu est en nous comme nous sommes en lui.
Les feux de forêt me donne l'occasion de parler de l'Eucharistie, ce don merveilleux donné par Jésus. Jésus vivant veut rester présent à nos vies pour accomplir sa mission, d'une part et d'autre part, il nous laisse à notre propre responsabilité de travailler à sa mission. Le jeudi saint Jésus est passé de la communication à la communion. Jésus n'est plus là visible à l'oeil nu, Il est là visible avec l'oeil du coeur. Ce soir-là, Jésus nnous dit continuez ma mission, je serai avec vous comme un pain, une nouriture, une force pour la vivre.
Quand je vois des gens travailler avec force et courage des heures et des heures de suite pour protéger leurs biens, quand je vois tant de générosité et de fraternité entre les personnes au prise avec tant de difficulté, quand je vois les gens de Chibougamou et de Roberval lors de l'évacutaion de la ville en une nuit, je me dis: C'est ça aussi l'Eucharistie et le Christ est là pour accompagner et soutenir ces personnes. Un jour ils iront à l'église célébrer dans l'action de grâce ce vécu chrétien au coeur de la vie.
Nous avons réduit la messe à une célébration: Allez la messe est dite, disions-nous autrefois. Le don de Jésus christ est une mission de faire connaitre l'amour du Père et de rassembler en communauté. La communion donne la force de persévérer même quand c'est difficile., comme c'est le cas dans les feux de forêt aujouird'hui. Ce que nous voyons autour de nous comme fraternité, générosité, entraide, c'est l'Évangile vécu sur le terrain.
C'est le printemps, période du grand ménage. Ce matin, Jésus entre dans mon temple intérieur pour le nettoyer. Dans sa marche à Jérusalem, Jésus entre au Temple et chasse les vendeurs, les commerçants qui se sont inventé une forme de prière qui ne convient pas à ce lieu.
Par cet exemple, Jésus me dit qu'il entre chez moi pour faire du ménage. Il veut chasser ce petits vendeurs installés dans les recoins de mon temple intérieur. Ces petits commerçants que sont la colère, la vengeance, la haine, l'injustice, la jalousie et que sais-je encore. Il y a toujours un peu de place pour en mettre un nouveau. Il s'agit simplement de les remplacer par la bonté, le pardon, le partage etc ... Ne faisons jamais le vide. Il ne s'agit pas de mettre ces petits commerces dehors et laisser un vide; il est important de faire le plein de bons commerces et les autres vont déguerpir. Rien ne résiste à l'amour et la grâce du Seigneur.
Le mois de mai se meure, demain il sera au salon funéraire. Aujourd'hui il nous parle de Marie qui visite sa cousine Élisabeth. Nous saluons Marie femme de la route, femme à l'écoute de la vie. Marie nou sinvite à l'action de grâce. Nos prières sont souvent négatives alors qu eMarie nous apprend à rendre grâce: Mon âme exalte le Seigneur, mon esprit exulte en Dieu mon Sauveur. À l'écoute de Marie nous pourrions apprendre cette dimension d'action de grâce dans notre rapport avec le Seigneur. C'est dans la maison de Nazareth que cette prière retentit. La maison est notre premier temple pour la prière. Marie nous donne l'exemple du pasteur à l'écoute de la vie. Laissons-nous imprégner de cette présence de Marie pour apprendre à prier comme elle.
J'ai du temps en quantité pour me poser des questions. Je réfléchissait sur la façon de nourrir ma vie psirituelle. Avec la Bible, j'ai un plat quotidien de grande qualité dans mon assiette chrétienne et spirituelle. En plus je me permets d'accueillir des visiteurs (des livres) qui complètent ma formation. J'aime beaucoup des visions nouvelles, des choses qye je n'ai jamais entendues ou qui n'avaient pas d'intérêt pour nous hier.
Je pensais à mes retraites annuelles auxquelles j'ai pârticipées longtemps. Aujourd'hui ces moments de retraits ne me rejoingnent presque plus. Elles sont animées soit par un prêtre, un religieux, un Évêque; nous restons toujours dans le même discours et le même giron. Je souhaite que nos retraites soient animés par un laïc ou une laïque et que des chrétiens viennent témoigner de leur foi et de leur façon de voir le prêtre dans le milieu. Ce serait intéressant d'écouter d'autres personnes que des religieux car trop souvent nous radotons toujours les mêmes choses spirituelles. quelque chose qui nous remettrait les deux pieds sur la terre.
J'ai invités, il y a une couple d'années, de jeunes parents, pour me dire ce qu'ils pensaient de l'Église, de la pratique, de la foi, et de la présence du prêtre dans le milieu. Ce fut un partage très enrichissant et qui anime ma foi et ma pensée aujourd'hui encore. Ces gens sont sur le terrain et nous y font descendre. Souvent ils sont plus au niveau de l'être chrétien que nous qui sommes trop souvent au plan de la pratique religieuse. Il faut s'instruire parfois à l'Université du Bon dieu.
Vous serez mes témoins, nous dit Jésus dans le texte des Actes des Apôtres. Jésus ne dit pas de "faire" mais "être" témoins. Je demaqndais un jour à un enfant à l'école: C'est qui ça un témoin. Il me répond: "C'est quelqu'un qui laisse passer la lumière." Il avait vu dans une église, des vitraux avec des saints, des témoins qui laissaient passser la lumière. Un témoin est quelqu'un qui laisse passer le Christ. Être témoin au7jourd'hui, c'est laisser passser le Christ à travers nous.
C'est le grand défi face à notre monde aujourd'hui, c'est le défi de l'évangélisation. Dans les religions on apprend à faire et pas souvent à être: Aller à la messe, se faire baptiser, aller à confesse, etc... Jésus nous invite à être et le monde aussi. quand des jeunes font l'expérience de l'amour, ça parait dans leur agir. Il en est ainsi dans l'exprience du Christ. a parait dans notre qualité de présence.
Nous avons un bpon avocat, même un excellent juge et c'est en plus un ami du ministre Barrette. Jésus nous dit ce matin: Je vous enverrai un défenseur d'auoprès du Père. Un défenseur dans la bible signifie un "avocat" dans notre langue. Jésus ne nous laisse pas seul. Il dépose en nous un Esprit de vérité qui nous accompagne, nous écliare et nous permet de prendre les bonnes décisions si nous savons l'écouter. Nous sommes conscients que l'une des difficultés de notre vie chrétienne et en Église est d'écouter la voix de l'Esprit à l'intérieur de nous.
Et poourtant c'est la recommandation donnée au peuple dans le désert: Écoute Israël le Seigneur ton Dieu. Écouter, ce n'est pas seulement entendre, mais savoir méditer et prendre la route avec l'Esprit en nous. Dans le silence du coeur savoir faire nôtre la Parole de Dieu qui nous est adressée. Écouter, c'est se laisser habiter par la Parole de Dieu de sorte que nous devenons parole à la suite du Christ. Dieu je n'en parle pas, je le vis; disait Maurice Zundel. La foi est une vie et non seulement une connaissance ou les articles d'un credo.
Cette présence fait de nous des témoins non des haut-parleurs. Nous voulons convrancre par des énoncés doctrinaux, des obligations, des lois, mais la vie chrétienne se fait pas attirance et non par obligation. Je ne vais pas à la messe oou d'autres formes de pratique à cause d'une loi sous peine de péché mortel, Je le fais par attirance de mon Dieu et d ema communauté. Je le fais pour nourrir ma vie psirituelle et faire communauté avec les autres chrétiens et chétiennes. Je suis témoin avant d'être partiquant.
Ce n'est pas vous qui m'avez chois, c'est moi qui vous ai chosis et établis afin que vous alliez et portiez du fruit. Avons-nous bien mesuré dans notre vie ce que signifie être choisi par le Seigneur pour servir en sa présence e tporter du fruit? C'est extraordinaire quand nous y pensons vraiment. J'ai l'impression que nous sommes venus sur terre en mission: Vivre et révéler par notre témoignage l'orignine et l'Auteur de notre vie. Nous n'avons pas besoin de nous chercher du travail, il nous fut donné à notre naissance, il s'agit de le découvrir et de le vivre. Et cette mission est l'amour. aimez-vous le suns les autres comme je vous ai aimés.
Le monde a de la difficulté à aimer et pourtant c'est une loi inscrite au fond du coeur de chaque être humain. Mais aimer vraiment aujourd'hui, c'est presque marcher à contre courant du monde. Nous sommes engagés dans des rouages où priment l'ambition, la jajousie, la réussite à tout prix, la renommée, la possession, et la personne qui marche à côté de ce mouvement fait presque cavalier seule. L'Évangile de Jésus Christ me donne une façon de surmnter ce problème et c'est l'amour de soi et des autres. Accepter l«,autre avec ses blessures, ses misères pour cheminer avec lui. Nous avons tous des blessures et notre éducation qui changent notre façon d'être avec les autres. Connais-toi, toi-même pour mieux connaitre l'autre et l'accepter tel qu'il est. Il n'y a pas de recette magique mais c'est une m,agnifique aventure que de se découvrir avec ses plaies et ses beutés, ses richesses et ses pauvretés. Alors partons à l'aventure. Inspiré de Jean 15, 12-17.
Les Actes des Apôtres nous présentent les débuts de l'Église et comment les Apôtres ont répondu aux besoins de la communauté naissante. Les apôtres étaient missionnaires dans le monde envoyés faire connaitre le plan de Dieu avec les hommes. La communauté naissante et grandissante leur présentait des besoins de vie auxquels ils ne pouvaient répondre sans délaisser leur mission. Alors ils décidèrent de choisir des aides qui répondraient à ces besoins. Ils les appelèrent des diacres, des aides précieux, des collaborateurs importants. À leur façon ils exerçaient le sacerdoce de leur baptême. C'est le message du texte des Actes de demain dimanche.
Le baptême nous fait participer au sacerdoce du Christ qui s'étale dans la communauté dans une panoplie de services aussi importants les uns que les autres. Ces services sont donnés au niveau du sens du ministère et du service et non dans un ordre de dignité qui rend les uns subordonnés aux autres. L'Église n'est pas une échelle qu'il faut gravir pour attendre plus de pouvoir ou de dignité. Celui qui est le plus grand doit être le serviteur de tous. Le pouvoir dans l'Église est un service d'autorité. L'autorité est un service qui rassemble et met en communion.
Ne sommes-nous pas aujourd'hui un peu comme les Apôtres où nous devons commencer à rassembler les chrétiens dans l'amour et rebâtir des communautés chrétiennes et retrouver la force du sacerdoce baptismal. L'Église n'est pas un pouvoir qui descend d'en haut mais une force qu monte d'en bas. Nous avons perdu la force depuis longtemps et restons avec le pouvoir. Nous devons remettre l'Église à l'endroit et rebâtir des communautés chrétiennes. Vous êtes une descendance choisie, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple destinée au salut. Voila la mission que S. Pierre nous donne aujourd'hui.
Il y a 100 ans, un premier Évêque traversait en chaloupe la Baie de Gaspé à travers les gleces pour accoster à son nouvea diocèse. Demain un nouvel Évêque traversera la Baie en limousine pour arriver à son évêché. Aujourd.hui nous ne pouvons que saluer et accueillir avec reconnaissance et amour cet homme, Mgr Claude Lamoureux, missionnaire et courageux qui arrive comme pasteur dans notre Église diocésaine. L'Évêque est comme un père de famille qui accueille, écoute, aime et rassemble dans la diversité des dons et des caractères de chacun. J'ai eu dans le passé la joie de participer à cees fêtes en Église; aujourd'hui je ne peux que prier silencieusement dans mon "igloo" et de rendre grâce en communion avec l'Église de Gaspé.
Je veux simplement remercier Mgr claude pour son amour de l'Église qu'il vient partager avec nous. Je prierai en communion avec lui et mon Église diocésaine pour qu'ensemble nous fassions grandir la foi et la vie chrétienne chez nous.
Plus...
Aujourd'hui, dimanche du Bon Pasteur, appelé aussi dimanche des vocations. Moi, je préfère parler du dimanchye de la Vocation. À mes yeux, il n'y a qu'une vocation, celle de la vie chrétienne, vie de disciple du Christ et d'enfant de Dieu. Les vocations sont des appels à servir la Vocation, à servir la communauté chrétienne. Ces vocations sont des choix de l'Esprit au coeur de la communauté que celle-ci reconnait et que l'Évêque authentifient. Une communauté chrétienne a besoin de ces vocations particulières pour la rassembler et l'animer. L'Esprit suscite dans chaque communauté les engagements dont la communauté a besoin pour sa survie.
À mes yeux la Vocation chrétienne est trop faible pour répondre aux besoins de service de la communauté d'une part, et d'autre part, je crois que le vie cléricale de l'Église n'a jamais favorisé ou encouragé la prise en charge des communautés et les chrétiens ont fui la communauté pour s'engager dans différents services en faveur de la vie. Notre prière aujourd'hui doit s'orienter vers cette vocation chrétienne qui est le fondement de toute vocations en Église. Esprit Saint viens réchauffer notre Église du terrain à ton image afin qu'elle fasse émerger les pasteur et pasteures dont elle a besoin. merci
Les souvenirs de plusieurs décennies d'engagement dans l'Église gaspésienne refont souvent surface et me questionnent. Nous avions voulu vivre plus pleinement le sacerdoce du baptême, sacerdoce des chrétiens qui est le fondement de l'Église. Nous avons imaginé des structures nouvelles: des zones pastorales d'abord avec des équipes pastorales de zone; plus tard nous avons imagin.é des secteurs pastoraux et des équipes qui devaient être coresponsables avec les prêtres de la vie de la communauté. Nous avons connus des agents et agentes de pastorales qui présidaient au baptême, faisaient homélies, animaient des célébrations de la parole de Dieu en paroisse, et présidaient à des mariages. Tout cela est disparu et nos églises sont vident et changent de vocation. Quel regard jeté sur tout cela. Je pose humblement le mien qui fut artisan avec beausoup d'autres de cette vision ecclésiale.
Primo, nous nous sommes attaqués â une structure et une structure ne change presque jamais, elle préfère mourir. Et aujourd'hui j'ai le sentiment que involontairement nous avons continuer la même structure avec des chrétiens et moins de prêtres.
Secundo, le cléricalisme était trop fort dans l'Église pour permettre que se dé.veloppe une telle volonté de retrouver la force du sacerdoce baptismal. Beaucoup de chrétiens sont repartis déçus et ont pris leur distance de l'Église. Il nous faudrait sans doute revoir la question du sacerdoce tant du baptême que céricale.
Tertio, le peuple chrétien, surtout avec la participation des femmes, n'était pas préparé à cet engagement et à la lutte nécessaire pour y arriver.
Aujourd'hui je crois que nous avions commencé par en haut en descendant et l'Église part d'en bas pour faire communauté. Nous n'avions pas mis suffisamment l'accent sur la communauté et les personnes.
Dans ma réflexion une phrase de Jésus est montée en moi: "Allez en Galilée, c'est là que vous me verrez." Nouas avions cherché Jésus à Jérusalem et Il nous attendait en Glalilée. Au coeur de tous ces chrétiens naissent aujourd'hui des engagement très variés au service des pauvres, des mal gommés de la société. Des fondations voient le jour et de petites communautés se forment au coeur de la pauvreté dans toutes ses dimensions. Les femmes luttent de plus en plus pour se faire reconnaitre comme des personnes entières en Église. Se vit de plus en plus cette voix de Jésus: "Ce que vous faites aux plus petits d'entre les miens, c'est à moi que vous le faites." Jésus nous attend encore en Galilée.
Nptre glise doit subir une cure de rajeunissement pour s'ajuster au monde d'aujourd'hui. Le Pape François nous y invite dans "La Joie de l'Évangile." Il parle beaucoup de l'évangélisation et l'une des caractéristiques de l'évangélisation est le kérigme, l'annonce de Jésus Christ et la découverte de son message. Une grande catastéristique de l'évangélisation est la découverte de soi. Nous sommes des êtres spirituels remplis de l'Esprit du Seigneur et avant d'apprendre à faire, il nous faut apprendre à être. Découvrir ce que signifie être un enfant de Dieu rempli de son Esprit Saint.
Le chrétien est un être sociale et communautaire, de là l'importance de la communauté. C'est au coeur d'une communauté que la vie chrétienne fleurira le mieux. Paul Vi affirmait qu'il faut veiller au développement de tout l'être humain tant individuel que social et communautaire.
Une autre dimension importance est l'écoute des témoins de l'Évangile. Ces témoins nous redisent le message de Jésus pour aujourd'hui. Évangéliser, c'est se laisser renouvler par le Christ, c'est acquérir une visin nouvelle du monde, une façon neuve de vivre le message du Christ. C'.est un appel constant à la conversion. Relisons avec amour "La joie de l'Évangile" du Pape François.
Qu'est-ce que cela change dans ma vie que Jésus soit là en moi ce matin? Moi, je crois que Jésus n'est pas ressuscité parce que Dieu ne peut mourir. Il a toujours été vivant et les apôtres ont fait l'espérience de cette nouvelle forme de présence. Jésus était présent sous une forme de communication et Il est passé à son état normal sous forme de COMMUNION. C'est l'expérience que les apôtres ont fait et que nous devons vivre nous aussi. C'est passé de la communication à l'amour et à la foi dans la communion.
Devant un Jésus vivant et présent en moi, j'ai à retrouver son message et sa mission. Jésus sort du tombeau et m'invite à sortir avec lui. Jésus nous envoie en Galilée. La Galilée du quotidien où les gens prient, luttent, souffrent, espèrent, c'est là que vous me verrez nous dit le Christ. Au tombeau vide, c'est l'amour qui porte la nouvelle en ces femmes venues près de Celui que leur coeur aime. Jésus nous envoie semer l'amour autour de nous. Seul l'amour peut rendre compte de la présence du Christ et nous faire réaliser que nous sommes "des êtres éternels," comme dit le philosophe.