Ce matin en Luc 9, 57, Jésus invite quelqu'un à le suivre. Celui-ci réplique: "Laisse-moi saluer mes parents." Laisse-moi enterrer mon père." Jésus réplique: "Laisse les morts enterrer les morts et suis-moi." Est-ce qu eje peux mâcher de la gomme et marcher en même temps. Jésus ne se situe pas au niveau des actes à poser, mais des sentimentsà entretenir.
Suivre le Christ, c'est se mettre à son école, se laisser instruire par lui. Je peux en même temps prendre soins de ma famille et me laisser instruire par le Christ. Le Seigneur ne me demande pas d'abandonner les miens pour le suivre. C'est à l'intérieur de ma vie quotidienne dans mes relatiosn journalières que je dois être témoins de l'amour et de la présence du Christ. Ce n'est pas normal que la suivance du Christ me fasse abandonner les miens; il n'est pas normal aussi que l'appartenance à ma famille ou mes amis me fasse abandonner la suivance du Christ ressuscité. Dans ma vie de chrétien les deux vont de pairs.
Jésus nous demande d'abandonner des liens enfantins qui nous empêchent de la suivre. Jésus me demande d'être adulte dans ma vie quotidienne comme dans ma foi pour m'engager à sa suite. Je suis capable de mâcher de la gomme et de marcher en même temps. Bonne journée.
Jésus pose cette question à ses disciples: "Pour vous qui suis-je?" Jésus m'envoie la même question ce matin. Notre réponse ne doit pas être simplement des mots, ce serait trop facile. Nous devons répondre par notre agir quotidien: Regarde ma vie, mon engagment au service des autres, de ta Parole, de ton amour, de ta paix. C'est notre engagement et notre façon d'être avec les autres qui répondent le mieux à la question de Jésus.
Nous pouvons aussi retourner la question: Pour toi, Jésus, qui suis-je? Il répondrait surement: Tu es mon frère, ma seour bien-aimée en toi j'ai mis tout mon amour.
Il y a 50 ans dans une paroisse où j'étais pasteur, le sous-sol de l'église était habité par des groupes communautaires. Les marguilliers ne faisaient pas payer une location. Ils disaient: chez-nou snous ne payons pas loyer mais nous veillons tous à l'entretien de la maison. vous êtes chez vous et devez veiller à l'entretien de la maison. Chaque anée vous ferez des activités communautaires pour contribuer aux besoins de la maison. Aini les marquilliers voulaient responsabilisés les gens envers leur église et de plus développé des liens de communauté aprces activités communautaires.
Quelques années plus tard, je reviens et les groupes communautaires paient loyer. Un jour le chauffe-eau d'un groupe se brise. On en place un neuf et la facture est envoyé à la fabrique. Nous payons loyer, nous ne sommes plus chez nous, que le propriétaire s'occupe de l'entretien. La relation frabrique et groupes communautaires s'est détériorée. La facture est renvoyée au groupe communautaire. On paie la facture en disant: Nous ferons un don à la Fabrique. Nous ne sommes plus chez nous et responsables. On paie un loyer comme à une compagnie.
Un autre indice du changement de mentalité est que la plupart des groupes communautaires sont parties ailleurs et le sous-sol est occupé par un marché aux puces, un magasin. la vie a cédé la place à l'argent à cause des besoins urgents de la Fabrique. L'évolution des mentalités s'est détériorée rapidement, l'église s'est vidée. Nous sommes passés dans un autre monde et le vieux monde a des difficultés énormes à survivre.
Nous avons à redécouvrir l'Église qui est communauté, communion de personnes au quotidien. Cette vie communautaire se célèbre par ses membres pour souder les liens et trouver ensemble la force de mieux vivre cette communion. Nous avons un long chemin intérieur de compréhension de la situation pour cheminer vers une nouvelle image de l'Église. Nous devons écouter beaucoup les plus jeunes, qu'est-ce qu'ils ont besoin comme nourriture spirituelle et comme vie d'Église. Ils sont l'Église et nous ne les avons pas écouter, alors ils sont partis. Nous le disons, mais nous ne savons pas bien quoi faire pour avancer.
L'Évangile de Luc 8, 4-15, nous parle de la semence que Dieu a jetée dans notre terre. La semence de sa parole et de sa présence. Le Pape Frnçois nous dit que la parole de Dieu est essentiel à notre vie chrétienne, mais qu'elle est la plus méconnue. Nous parlons beaucoup dans notre Église du Québec des maisonnée; ce petits groupes de partage de la Parole. Des personnes intéressées par la parole de Dieu se rassemblent pour partager sur le message de Jésus.
Mais dans notre contexte de pauvreté spirituelle, nous avons tout une pente à remonter. Il faudra de la psychologie pour parvenir à la parole de Dieu. Le premier pas à faire à mes yeux sera d'écouter ce que les gens ont a nous dire. Pourquoi ils ont délaissé la pratique sacramentelle, de quoi ont-ils besoin aujourd'hui pour cheminer. "Les gens vivent Dieu sans le savoir," écrivait quelqu'un. Alors notre mission sera de partir de ce qu'ils vivent pour leur faire découvrir la présence et l'action de la divinité dans leur vie. Évangéliser ce n'est pas donner aux gens des choses que nous avons et qu'ils n'ont pas, mais leur faire découvrir ce qu'ils ont, découvrir que le Divin est en eux.
Une autre démarche importante est une démarche de conversion. La personne qui veut accompagner une maisonnée doit d'abord se convertir à la Parole et êtrec convaincu que notre première démarche est de vivre l'Évangile avan de la célébrer. Si nous conservons notre volonté d'amener les gens à l'église, nous risquons un échec. La vie chrétienne mieux comprise et mieux vécue conduira les gens à célébrer.
Tout cela pour dire que la parole de Dieu n'est pas d'abord dans la Bible, le livre, mais dans notre coeur et que c'est là que nous devons la laisser monter. "J'inscrirai ma loi au fond de leur coeur" nous dit le Seigneur par la bouche du prophète. Depuis 1977, j'ai toujours eu des maisonnées pour le partage de la Parole. Mais ces maisonnées doivent devenir des communautés de partage, de vie et de célébration. Faire d'abord des disciples qui aiment se rencontrer et ensuite célébrer. Chez nous quand nous labourions, nous placions les chevaux toujours devant la charrue et jamais en arrière. Bonne journée.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Le signe de ralliement du peuple chrétien est la croix portant un christ ressuscité, un Christ glorieux. Le temps du Christ ensanglanté et fouetté est passé, il a duré une journée. Le Christ glorieux dure depuis plus de 2000 ans et encore aujourd'hui Il est avec nous sur la route, Il nous enseigne la fidélité dans les difficultés et la joie de la résurrection.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
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Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Hier j'ai mangé des carottes, des fèves jaunes et vertes, de la viande et des fruits, ces choses n'ont rien ajouté à mon identité, j'étais et je suis resté un homme avec le même nom, mais cette nourriture a ajoutéé des forces pour ma santé, elles m'ont donné des calories pour conserver ma santé. La nourriture me permet de mieux vivre ce que je suis.
C'est un peu ce que fait le sacrement. Ils n'ajoutent rien à mon identité: je suis toujours un être humain, enfant de Dieu, rempli de l'Esprit Saint. Le sacrement me donne des forces, des calories pour mieux vivre ce que je suis et bien réaliser la mission que le Christ m'a donnée. La rencontre du Christ dans le baptême me permet de mieux vivre ma vie d'enfant de Dieu à travers les vicissitudes de la vie. L'Eucharistie me permet de mieux vivre mon être de communion avec les autres et avec le Seigneur. Je vais célébrer parce que je suis enfant de Dieu, être de commuion, etc. .. et que cette rencontre du Christ me permet de mieux vivre ce que je suis. C'est ce que nous appelons la grâce dans la vision "chosifiée des sacrements"..
Dans un sacrement, il y a deux aspect: Un temps et un moment. Le temps est ma vie, le sacrement est d'abord une vie. Le moment est la célébration. Je vis le sacrement et je le célèbre en communauté. Je suis baptisé et je l'ai célébré tel jour et telle année. La pandémie nous a fait réaliser avec plus d'acuité encore que nous avons mis l'accent sur la célébration et perdu beaucoup de la dimension vie. Nous jugeons les chrétiens à partir de leur présence à la liturgie. Nous avons une Église sectionnée en deux: Une partie qui met l'accent sur le MOMENT, et l'autre sur le TEMPS. C'est ainsi que nous sommes parvenus à préparer les enfants aux sacrements et non à la vie par les sacrements. Nous avons là un grand sujet de réflexion pour quelques années.
Nous venons de vivre un temps difficile pour tous, celui des confinements; nous avons beaucoup déploré la fermeture des églises, l'absence de messes et surtout que la réouverture ne s'est pas faite sur un plan d'égalité avec d'autres lieux de rassemblement. Mais il y a des leçons que ce temps nous oblige à méditer.
Mgr Grech de France nous fait voir que la pandémie a fait ressortir avec plus de rigeur la pauvreté spirituel du peuple chrétien. durant le confinement nous nous sommes plains de l'absence de messe et nous nous sommes garauchés dur les moyens virtuels pour reproduire la messe laissant de côté d'autres moyens de transmettre la foi. Ce qui a fait dire à de bons théologiens que l'Église était spécialisée en liturgie et devenue l'Église du temple. La fermeture des églises était un moment prophétique pour développer des approches d'évangélisation hors de l'église et par d'autres moyens que les sacrements . Nous les avons ratés en général. L'église bâtiment est devenu le lieu du service religieux comme tout autre service dans la communauté et trop souvent la vie chrétienne se résume à une présence à l'église.
Ce temps de confinement aurait permis la création de piste de formation chrétienne autour de la Parole de Dieu, préparer de nouvelles formules de célébrations plus vivantes et mieux adaptées à notre psychologie. Nous avons oublié, je pense, que l'homme de la rue, du quai, de la brasserie est aussi l'Église de Jésus christ , pas seulement l'homme dans l'église pour la messe. Quand les églises seront fermées par manque de ressources et de chrétiens qu'adviendra-t-il?
Ceci remet en question le rôle du prêtre dans la communauté. L'Église est un peuple en marche et comme prêtre je dois marcher au coeur de cette communauté pour l'accompagner sur la route et non plus être en avant pour lui dire quoi faire. L'Église aujourd'hui nous entraine sur un chemin de conversion. L'Évangile de Luc de dimanche prochain nous indique un chemin.
À la fin de la lecture de ce livre: L'Église autrement, je crois utile et profitable que des groupes de chrétiens s'arrêtent pour réfléchir et méditer certains témoignages enrichissants. J'aimerais aussi que nous écoutions le chrétien de la rue, du quotidien afin de savoir ce sont il a besoin.
À vin nouveau outre neuve. Voila un vieux message que l'on répète depuis des siècles. Il revient dans l'Évangile de ce jour. Je fais le joint avec la pandémie. La pandémi enous a fait prendre conscience de la fragilité de nos relations humaines et de notre grand besoin d'en prendre soin. La pandémie a changé le monde et nous amène des questions nouvelles. D'autre part elle nous fait prendre conscience combien il est difficile à un système de changer pour s'adapter à une nouvelle façon de vivre et de célébrer.
Le retour à la pratique religieuse a diminué dans bien des paroisses à la suite de la pandémie. La société dans son ensemble a fait des efforts pour s'adapter à ce renouveau, mais ne Église nous sommes restés figés sur la liturgie et surtout le rite eucharistique. Les églises se vident, sont vendues ou fermées simplement et nous attendons un miracle.
le vin nouveau de la société est là devant nous et il attend les outres neuves. Le premier chemin important est notre conversion comme vieux chrétiens pratiquants du dimanche. Notre exigence actuelle n'est pas très forte, avoir notre messe du dimanche et revenir à notre fauteuil jusqu'au dimanche suivant. La situation des personnes âgées dans les résidence ne semble pas déranger bien des chrétiens, pourvu que j'ai ma messe dimanche. L'intimidation, la colère, la violence autour de nous ne semble pas déranger non plus, si j'ai ma messe.
Je me rends compte de plus en plus que nous avons développé une Église liturgique et de rites au détriment de la vie et de la mission. L'Eucharistie n'est pas une fin en soi, elle est une force pour vivre la mission. Elle est un ciment pour faire communauté au service des miséreux et des pauvres, des gens dans le besoin. L'Eucharistie est un dynamisme pour sortir des églises sur la route avec le Christ pour défendre les sans voix, la malades,.. Jésus nous dit si vous voules travailler à la mission, il vous faut manger. Il ne faut pas enfermer Jésus christ dans le tabernacle ou dans l'hostie comme dans un tombeau. Il nous dit Allez en Galilée, c'est là que vous me verrez. N'von-nous pas fait de l'Eucharistie un acte de dévotion personnelle et nous l'avons vidée de sa puissance en vue de la mission. L'Eucharistie est avant tout une mission sur le terrain. Nous avons un long chemin de conversion à vivre. bonne route.