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Homélies, réflexions et spiritualité

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Filtrer les éléments par date : septembre 2021
jeudi, 30 septembre 2021 14:29

C'est quoi l'important?

Au Paradis Terrestre, les gens vivaient heureux jusqu'au jour où ils se sont regarder de l'extérieur. Vu comme être humain, ils étaient tous semblables, façonnés par la main de Dieu et remplis de sont Esprit. Le jour où ils se sont regardés de l'extérieur avec leurs différences, le bordel a commencé. Ils se sont fait des masques pour se protéger. Ils ont commencé à se conter des histoires au lieu de la vérité et la discorde s'est installée. C'est notre histoire à nous.

Mon jugement sur les autres est toujours basé sur l'extérieur soit des défauts, des agissements qui me déplaisent. Si je regardais de l'intérieur, je verrais un enfant de Dieu façonné des maisn du Créateur souvent blessé par la vie ce qui conditionne son agir. Jésus est venu dire que l'important est la personne non seulement son agir. Jésus a remis les pendules à l'heure mais nous sommes restés à l'envers. Les gens blessés sont de plus en plus nombreux dans notre monde, les gens qui ne gobent plus n'importe quoi sont aussi de plus en plus nombreux aujourd'hui. La vérité est parfois dure à encaisser mais elle crée la liberté. "La vérité vous rendra libre." Sur la montagne de la transfiguration, Jésus a enlevé son masque pour se faire connaitre tel qu'il était. Il nous invite aussi à enlever nos masques pour nous découvrir dans notre identité parofonde d'enfant bien-aimé du Père tatoué de son Esprit Saint.  Bonne journée.

 

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mercredi, 29 septembre 2021 14:45

Je suis contre.

Le gouvernement propose  un projet pour préserver la vie du virus et la majorité sont contre, et même on accepte de mourir pltôt que de changer d'idée,  on propose un projet pour l'environnement, on est contre. Même nos Évêques proposent une démarche en Église et beaucoup sont contre. Nous avons développé une mentalité contre. Contre l'avortement, contre l'aide médicale à mourir, contre l'aide sociale, etc .. on est contre.

Jésus nous apprend à être POUR. Il ne s'agit pas d'être contre l'avortement, mais d'être pour la vie et faudrait commencer par la qualité de vie des individus. Nous pourrions penser à la qualité de vie des infirmières, des travailleurs dans les usines, des personnes âgées parquées dans des résidences, ensuite nous pourrions en vérité plaider pour lutter contre l'avortement etc ... Mgr Blanchet a écrit un magnifique texte il y a quelques années dans ce sens.

Comme je l'écrivais sur ma page facebook, nous souffrons d'un manque profond de leaders sur tous les plans. Depuis la révolution tranquille qui a connu  ses leaders, on dirait que le monde est rentré dans ses terres laissant place à une sorte de "je m'en foutisme" déprimant. Les réeaux sociaux sont un bel exemple de notre insignifiance. Nous avons oublié l'Évangile avec ses messages percutant sur le respect de la vie, des personnes, de la liberté, de l'amour, du pardon, ainsi de suite. Nous avons mis l'accent sur les dogmes à croire, des liturgies à regarder, des lois à observer au détriment de l'essentiel.  Dans l'Évangile, Jésus regarde la personne avant l'agir, il regarde le verre à demi plein et non à demi vide. Il part toujours de ce qui est bon dans l'être humain pour avancer. Nous avons besoin de revenir à l'Évangile, il est un parole universelle que tous accueillent et peut guérir bien des maux.  Bonne journée à toutes et tous.  

 

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mardi, 28 septembre 2021 14:42

Le projet de Dieu. Mc 10, 1-12.

Jésus est en route vers la Judée et sur la route il rencontre des Pharisiens qui ne partagent pas ses opinions et veulent lui tendre un piège. Ils lui posent une question  embarassante: Est-il permis à l'homme de répudier sa femme? 

Jésus sort de ce niveau problématique pour s'élever au plan du projet de Dieu. quand le créateur a créé l'être humain, il les a créé homme et femme, deux personnes égales en dignité et complémentaires dans leur agir. La femme n'est pas l'objet de l'homme dont celui-ci peut disposer à sa guise.  Ceux-ci deviendront une seule chair a l'image de la Trinité. Ils demeurent des êtres autonomes mais unis en communion dans un projet commun. Ne séparez pas ce que Dieu a unis. L'homme n'a pas à se croire supérieur et propriétaire de l'autre face à lui. Force nous est d'admettre que nous avons encore bien du chemin à parcourir. 

Jésus envoie ces gens sur un autre terrain: Que vous prescrit Moïse? Il nous a permis de renvoyer la femme à certaines conditions. C'est à cause de la dureté de votre coeur qu'il l'a fait. Et Jésus va plus loin: La femme qui répudie son mari est aussi adultère. Jésus rétalit  l'égalité.  Mais ces paroles sont dures et difficiles à entendre.

Je me permets une petite visite à mon ami Osée. Ce prophète établit la relation du peuple avec Dieu comme celle de l'homme et de la femme et parlera d'infidélité et d'adultère. Il dira: Mon peuple est malade de son infidélité. Je vais le guérir de son infidélité.  Cette infidélité du peuple est vue comme un adultère et de la part d eDieu comme une maladie. Le prophète dit au nom de Dieu: Je le guérirai de son infidélité. Je le guérirai de sa maladie. Dieu comprend que son peuple est en croissance, qu'il peut vivre des échecs,  et qu'il a besoin de guérison pour vivre pleinement le projet de communion avec Lui. Il ne condamne pas, il ne met pas à l'écart, il accompagne pour guérir son peuple et que la nouvelle façon de vivre la relation devienne stable.  

Jésus dans l'Évangile d'aujourd'hui ne condamne pas, ne parle pas de punir. Il fait référence à l'incapacité de certaines personnes  à vivre  ce projet de communion proposé. L'échec de l'être humain dans sa relation avec Dieu ne change rien du côté de Dieu, il va changer quelque chose que côté de l'être humain. L'échec va lui permettre d'intensifier sa foi et sa relation à Dieu. L'être humain manque sa cible d'être heureux à cause de bien des raisons, Dieu l'accompagne pour guérir sa vie et lui permettre de retrouver la route du bonheur. Pensons au fils cadet qui revient à la maison après avoir vécu un échec de son effort de liberté. Le père accueille l'enfant et le guérit de sa peur. C'est ce que Osée dit: Je le guérirai de sa difficulté. Pour Dieu l'important est la personne non d'abord ce qu'il a fait. L'échec du mariage ne change rien à l'indissolubilité de l'union; les personnes sont placées devant une situation de vie qui pour bien des raisons   devient impossible mais place l'être humain devant une démarche de guérison qui le conduira à une autre relation sur une nouvelle route du bonheur. Le Dieu de Jésus Christ est un Père miséricordieux qui accompagne au lieu de condamner, qui guérit au lieu de  punir ...

Les chrétiens qui vivent un échec dans leur union doivent trouver dans l'Église une communauté d'accueil, d'écoute, de miséricorde et d'acompagnement vers une union durable. C'est la raison d'être de l'Église communauté d'e demeurer sur la route des hommes et des femmes l'auberge de la miséricorde où comme pour les disciples d'Emmaüs, chacune et chacun puisse trouver la route du bonheur. Le plan de Dieu est un idéal qui dépasse souvent nos capacités humaines, les uns auront toujours besoin de la présence du Christ et de l'esprit pour le vivre; d'autres auront besoin de la présence du Christ guérisseur pour repartir sur une nouvelle route de bonheur. Jésus nous en a laissé la preuve dans l'Eucharistie qui est le pain de la route.

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mardi, 28 septembre 2021 14:21

Un patrimoine.

Étienne Berthold: L'intervention sociale comme patrimoine. Les Soeurs du Bon-»Pasteur de Québec 1850-2020. Ed. INRS. Nous parlons beaucoup de patrimoine concernant les édifices religieux et nous oublions trop souvent le patrimoine social et religieux laissé par les communautés religieuses et l'Église. L'auteur fait l'étude de l'intervention des religieuses du Bon-Pasteur au secours de la vie d'un nombre considérable de jeunes filles comme le "filles mères", les jeunes filles abandonnées souvent par les familles ou avec des troubles de comportement. Ces femmes ont vécu la révolution tranquille et le phénomène de la laïcité de la socitété, ce qui a marqué profondément leur action. Devant ces communautés vieillissantes et peut être menacées de s'effacer nous oublions trop souvent l'apport qu'elles ont apporté dans la vie de notre société québécoise. C'est un patrimoine qu'il nous faut aussi conserver. Bonne lecture. 

 

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lundi, 27 septembre 2021 14:50

L'histoire.

Il y a quelques années l'étude de l'histoire me laissait assez indifférent. J'ai appris avec le temps l'importance de l'histoire pour comprendre le présent et savoir d'où l'on vient. Il faut éviter de regarder l'hisoire pour juger. L'étude de l'histoire nous fait comprendre que souvent nous partons de loin et que depuis un certain nombre d'années nous avons fait un bon bout de chemin même si la route est encore longue dans certains domaines. Je pense ici aux pensionnats aucthotones, à la place de la femme dans la société et dans les Églises,  le droit des enfants à une éducation et non à un dressage, etc ... Nous avons à découvrir la spiritualité dans notre Église et aussi la place des chrétiens comme Églises et non seulement spectateurs. L'histoire m'apprend pourquoi on pensait de telle façon à l'époque.Je pense à l'omerta face à la pédpphilie tant dans la société que dans les Églises. L'histoire nous fait découvrir aussi le travail de nos ancêtres dans des conditions difficiles de pauvreté et d'abandon souvent. Des communautés religieuses ont acomplis un travail de géant pour soulager la misère humaine dans des conditions de vie inhumaines. Il en est ainsi de la parole de Dieu qui éclaire notre histoire si nous apprenons à la lire d'une façon symbolique et non seulement logique.  Le meilleur est à venir. Bonne journée.

 

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samedi, 25 septembre 2021 16:51

Un histoire d'amour.

Michel Jean: Le vent en parle encore.  Ed Libre Expression.  Un roman basé sur du réel. C'est une histoire vécue dans les pensionnats autochtones, histoire qui se termine d'une très belle façon et profondément émouvante. C'est l'histoire de Marie, Virginie et Charles que les autorités ont enfermés dans les pensionnats à Fort George où ils ont vécu l'horreur. "Une histoire où l'amour et l'amitié offrent les seuls remparts contre les agressions et la violence." Ce roman est d'autant plus pénible qu'il est basé sur des faits vécus.  Cette lecture m'a arraché quelques larmes. Bonne Lecture.

 

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jeudi, 23 septembre 2021 19:21

Il cherchait à le voir. Lc 9, 9.

Monsieur Hérode tellement étooné de ce que faisait Jésus cherchait à le voir.  Imaginons un monsieur important comme Hérode veut voir Jésus. Pour Hérode, c'était facile, il n'Avait qu'à se rendre  au lieu où Jésus prêcheit. si je disais l amême chose aujourd'hui: Je veux voir le christ. Où irai-je? Dans l'Église? Il est caché au tabernacle.  Hier je m archais sur la promenade à Ste-Anne et je l'ai rencontré. Il étai tlà devant moi sous les traits de bon grand père qui me parlait de sa famille, d'une petite femme qui me rappelait sa mère mourante. Jésus était là sur la promenade et m'avait devancé. Jésus n'est pas seulement et d'abord dans des actions élatantes et merveilleuses mais surtout dans le coeur des gens qui l'on rencontre au hasard de la route.  Aujourd'hui où allons-nous le rencontrer? Nous le verrons ce soir. 

 

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mardi, 21 septembre 2021 16:14

Ouf!

Un jour, j'étais vicaire à la paroisse cathédrale de Gaspé, j'aivais connu un jeune couple au terrain de jeux. Un soir, comme un bon prêtre, je vais veiller avec eux. Ils avaient deux charmants ptits enfants. Le lendemain matin, au déjeuner, je raconte ma soirée avec mon curé. Il me dit tout simplement: Ils ne sont pas mariés, ne paient pas de dimes, on n'a pas à s'occuper d'eux, qu'ils s'arrangent. Je suis resté estomaqué. Je ne comprenais pas cette réaction.

C'est ce qui est monté en moi en lisant l'Évangile de la célébration d'aujourd'hui.  Pourquoi votre maitre mange-t-il avec les publicains et les péheurs. Et Jésus de répondre: Ce sont les malades qui ont besoin du médecin.  Les mentalités ont peu changé. Nous parlons beaucoup aujourd'hui de  libérer la parole, d'écouter ce que les gens ont à dire. Mais passer de la  parole aux actes est difficile. Nous ne réanimerons pas la vie chrétienne en partant d'en haut pour imposer nos façons de voir, de penser et de faire. Jésus s'est assi à la table pour communier avec les gens, pour écouter leurs besoins et leur soif. Il nous invite sur ce chemin. Comme bien d'autres j'ai fréquenté des personnes vicitmes de la drogue qui sont devenus de bons père de famille, des alcooliques qui sont devenus de fervents chrétiens. L'Esprit souffle où il veut. 

 

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En ce temps-là,  Jean était de mauvaise humeur parce que des gens étrangers à leur groupe faisaient du bien à des personnes affligées de maladies. Ça n'a pas de bon sens, ils ne sont pas mandatés. L'important pour le groupe des apôtres n'est pas que l'on fasse du bien à quelqu'un,  mais qu'on respecte les coutumes. Ceci m'a rappelé un souvenir. Un jour en réunion de prêtres, un confrère avait rouspété contre un autre prêtre parce qu'il n'avait pas bien respecté certains gestes dans la liturgie. Il n'avait pas le droit de le faire. Notre évêque l'a écouté et lui a dit: "Si cela a fait prier les gens, ne serait-ce pas bon quand même?" L'important est-ce le respect d'une loi humaine ou la prière des chrétiens?  L'Évangile d'aujourd'hui vient  nous questionner au fond de nous-même parce qu'aujourd'hui encore nos mentalités n'ont pas beaucoup évoluées.

Dans le livre des Nombres de notre célébration, Moïse dit: Pourquoi arrêter ces gens de faire du bien, le Seigneur dépose son Esprit là où il veut. Notre mentalité est questionnée profondément aujoutd'hui par cette parole de Dieu. Dans nos communautés chrétiennes, la majorité pour ne pas dire la totalité des oeuvres caritatives pour aider à améliorer la qualité de la vie sont animées par des "non pratiqants."   On dit: "Ils le font par simple altruisme humain." Nous nous permettons des jugements rapides et oublions que l'Esprit souffle où il veut. Pourquoi ces gens ne seraient-ils pas animés du souffle divin? Avons-nous le monopole de l'Esprit?

Ces gens chassent les démons, guérissent les personnes et manifestent la bonté du Seigneur. Quels sont nos démons aujourd'hui? Un démon qui nous touche presque tous les jours est la colère et la violence fruit d'une frustration étouffée. Longtemps. Le peuple fut silencieux, acceptant sans mot dire le pouvoir sous toutes ses formes. Aujourd'hui ces frustrations explosent. Chasser ces démons seraient d'abord de libérer la parole, d'écouter avec le coeur et de déposer la paix et la sérénité au coeur du monde. En guérissant les coeurs,  nous pourrions guérir la violence faite aux femmes et aux enfants, aux pauvres et aux infirmes.

Un autre démon qu'il faut chasser ne serait-il pas notre idée de supériorité fruit d'une société patriarchale? L'être humain fut créé en deux personnes égales en dignité et en valeur mais avec des différences. D'où vient cette idée que l'homme est supérieur et que même parmi les hommes il y a encore des degrés de pouvoir ou de dignité. Nous avons des services ou des ministères différents selon les charismes et les besoins mais ceci ne donne pas une supériorité ou l'autre doit obéir au lieu d'être en état de communion pour bâtir le règne de Dieu comme nous dit Saint Paul. Là aussi il y a un petit diable à regarder. C'est la présence de la discrimination, du racisme, des abus de pouvoir. Même sur le plan religieux nous n'échappons pas à ce petit diable. À nous d'dentifier chachune et chacune nos petits diables qu'il nous faut enlever de nos vies. Nous avons chacun les nôtres.

  Alors Jésus utilise une parabole pour éclaire rnotre lanterne. "Si ton oeil est occasion de péché, coupe-le, de meme avec ton pied, ta main." Si ta façon de regarde l'autre te porte à juger et à condamner convertit ton regard pour y voir un enfant de Dieu rempli de l'Esprit Saint. Si ta main se ferme pour tout garder et laisser l'autre dans la misère, ouvre-la pour donner. Si ton pied te fait avancer sur des routes mauvaises, laisse-toi éclairer par l'Esprit Saint pour prendre le chemin de l'Évangile et de l'amour.

L'Évangile d'aujourd'hui nous invite à regarder autour de nous pour y déceler les actions de l'Esprit Saint au coeur de la vie de notre monde. Le télé nous en apporte souvent dans notre salon des exemples édifiantes pour notre vie. Des femmes et des hommes, des adolescents se consacrent à développer des services pour aider les personnes vulnérables, les enfants à améliorer leur qualité de vie. L'Esprit du Seigneur souffle où il veut. Nous voyons naitre des prophètes, des pasteures et pasteurs, qui ne répondent pas toujours à nos critères, mais soyons assez chrétiens pour les reconnaitre et les accepter  au coeur de nos communautés. Ne plaçons pas les lois et les rites avant les personnes. que ce soit notre prière aujourd'hui.

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vendredi, 17 septembre 2021 14:40

Des guérisons.

Luc ce matin nous présente Jésus en compagnie de ses apôtres et de quelques femmes. Ce qui m'étonne est que Luc sent le besoin de nous dire que ces femmes ont été guries d'esprits mauvais.  Elles n'ont pas été guéries de maladies comme tout le monde, mais d'esprits mauvais. Pourquoi cette précision pour les femmes et pas pour les hommes? Je poserai cette question à Luc un jour si je le rencontre. J'y vois la mentalité du temps face aux femmes. Une mentalité qui n'est pas totalement disparue. Cette affirmation me ramène à la situation vécue aujourd'hui. Hier je rencontrais des gens d'un secteur très étendu qui ne voit pas le prêtre très souvent surtout les petites paroisses. Et c'est normal à cause de l'étendue du territoire et de petites communautés paroissiales.

J'écoutais les gens me parler de ce qu'il faisaient dans la communauté pour animer des services au profit de la vie. Je me disais, il y a ici des leaders vaillants et capables pourquoi ne sont-ils pas au service de la communauté chrétienne en plaçant la dimension spirituelle à l'intérieur de leur engagement? Pourquoi rester au plan humain et ne pas découvrir l'action de l'Esprit à l'intérieur de cet engagement?  Qu'avons-nous fait du sacerdoce du baptême et des charismes que l'Esprit déposes au coeur de nos communautés? Pourquooi ne pas donner de responsabilités à ces perosnnes engagées? Il faut prendre des initiatives au profit de la vie. Ces chrétiens auraient-ils besoin d'être guéries d'esprits mauvais? Je suis un vieux grincheux.

 

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