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Homélies, réflexions et spiritualité

Textes de réflexion

Filtrer les éléments par date : décembre 2020
mercredi, 16 décembre 2020 15:21

Une belle page à méditer.

Des gens vont voir Jésus pour lui demander: Es-tu bien celui que l'on attend? La réponse de Jésus est magnifique: Regardez bien ce qui se passe: les boiteux marchent, les aveuglent voient, les sourds entendent. Lc 7, 18-23. Jésus ne définit pas sa mission avec de belles théories ou des dogmes de foi, mais avec un agir. Il éclaire la route des gens qui ne voient pas ou ne comprennent pas, il soutien le pas de celui qui doute et ne sait plus où aller, il ouvre la main de celui que ne sait plus donner, il réchauffe le coeur de celui qui se ferme sur lui-même et oublie un frère ou une soeur en besoin.  La mission de Jésus est sur la route au service de l'autre. 

Cette page d'Évangile est d'une grande actualité en ce temps de confinement. Ce temps est difficile pour plusieurs, c'est devenu redondant de le dire. Comme Jésus soyons sur la route avec les moyens dont nous disposons pour soulager le coeur des autres. Le temps des fêtes sera encore plus difficile pour plusieurs, nous aurons moins de célébrations, les rencontres seront plus rares, c'est là que nous aurons l'occasion de nous inspirer de l'Évangile pour aider les boiteux,. les aveugles, les sourds à avancer sans trop de souffrance. Après les fêtes nous pourrons dire: C'est ça aussi Noël. Faire naitre Jésus au coeur de nos solitudes. Bonne journée.

 

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mardi, 15 décembre 2020 19:57

Un temps de crise.

Tout le monde le dit: Nous vivons un temps de crise à cause de la panfémie. Un  temps de crise au niveau de la santé, au niveau des relations humaines, crise économique. C'est un temps difficile. Mais pourquoi ne serait-il pas du même coup un temps bénéfique?  Crise vient de Krisis, c'est à dire passer au crible. le crible, le tamis permet de trier ce que l'on veut garder.  Nous entendons souvent des personnes à la télé nous dire comment le confinement leur avait permit de passer leur vie au crible et de se délester de bien des choses, des activités inutiles pour retoruver la valeur inestimable de la rencontre; rencontre avec eux-mêmes, rencontre avec leurs enfants et leur propre famille et rencontre avec des amis. Je crois que ce temps de crise va nous permettre de retrouver l'essentiel.

Développer une culture de la rencontre nous dit le Pape François, c'est réaliser tout ce que  l'autre peut me donner. Réaliser l'importance de la rencontre, c'est aller vers l'autre avec cette ouverture d'esprit et de coeur qui enlève tout préjugé et me permet d'accueillir l'autre dans tout ce qu'il est et non dans ce que je pense qu'il est. Le temps de l'Avent nous présente des personnes qui établissent des rencontres: Isaïe, Marie, Jean Baptiste, et la qualité de leur rencontre nous fait découvrir la merveille du projet de Dieu avec nous.  Toutes ces personnes nous envoient à une autre rencontre, cele de Jésus Christ. L'avenir de notre Église passera aussi en bonne partie par la qualité des rencontres que nous saurons établir les uns avec les autres dans le respect de chacun. Ce serait peut être intéressant de passer notre vie chrétienne et vie d'Église au crible pour garder ce qui est bon pour nous aujourd'hui. Bonne journée. 

 

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mardi, 15 décembre 2020 19:57

Un temps de crise.

Tout le monde le dit: Nous vivons un temps de crise à cause de la panfémie. Un  temps de crise au niveau de la santé, au niveau des relations humaines, crise économique. C'est un temps difficile. Mais pourquoi ne serait-il pas du même coup un temps bénéfique?  Crise vient de Krisis, c'est à dire passer au crible. le crible, le tamis permet de trier ce que l'on veut garder.  Nous entendons souvent des personnes à la télé nous dire comment le confinement leur avait permit de passer leur vie au crible et de se délester de bien des choses, des activités inutiles pour retoruver la valeur inestimable de la rencontre; rencontre avec eux-mêmes, rencontre avec leurs enfants et leur propre famille et rencontre avec des amis. Je crois que ce temps de crise va nous permettre de retrouver l'essentiel.

Développer une culture de la rencontre nous dit le Pape François, c'est réaliser tout ce que  l'autre peut me donner. Réaliser l'importance de la rencontre, c'est aller vers l'autre avec cette ouverture d'esprit et de coeur qui enlève tout préjugé et me permet d'accueillir l'autre dans tout ce qu'il est et non dans ce que je pense qu'il est. Le temps de l'Avent nous présente des personnes qui établissent des rencontres: Isaïe, Marie, Jean Baptiste, et la qualité de leur rencontre nous fait découvrir la merveille du projet de Dieu avec nous.  Toutes ces personnes nous envoient à une autre rencontre, cele de Jésus Christ. L'avenir de notre Église passera aussi en bonne partie par la qualité des rencontres que nous saurons établir les uns avec les autres dans le respect de chacun. Ce serait peut être intéressant de passer notre vie chrétienne et vie d'Église au crible pour garder ce qui est bon pour nous aujourd'hui. Bonne journée. 

 

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mardi, 15 décembre 2020 18:01

La Maison de Dieu. Sam. 7, Lc 1, 26-38.

La liturge de l'Avent nous présente des témoins, de personnes qui laissent passer quelqu'un. Aujourd'hui, 4e dimanche de l'Avent, nous écouteront Samuel et Marie  qui nous livrent un messae des plus importants dans notre vie chrétienne et d'Église actuelle. Je crois qu'il nous faut éviter de nous arrêter seulement aux personnes, méditons  un aspect de leur pessage.

Le Seigneur dit au prophète Samuel: "Je te ferai moi-même une maison."  Et à Marie, l'envoyé de Dieu lui dit: " L'Esprit viendra sur toi et celui qui naitra de toi sera appelé fils de Dieu."   Notons bien que Dieu vient bâtir sa maison parmi nous et que cette maison,  sa famille, n'est pas l'oeuvre de l'homme mais de l'Esprit Saint. Notons aussi la réponse de Marie: "Que tout se passe comme tu l'as dit." quand dans la Bible on parle maison, on fait référence à une descendance, une famille. Dieu vient dresser sa tente parmi nous. Cette tente est l'oeuvre de l'Esprit. C'est l'Esprit qui a accompagné le peuple dans le désert. C'est l'Esprit qui aujourd'hui  accompagne le peuple de Dieu dans sa mission de dresser la tente de Dieu parmi nous.  

La naissance de Jésus n'est pas seulement la naissance d'un homme, elle est le symbole de toutes les fécpondations que l'esprit opère dans nos vies et notre monde. Marie est l'image de tous les chrétiens, de notre vie chacune et chacun de nous où l'Esprit veut créer du neuf. Dieu nous choisit malgré nos pauvretés pour réaliser en nous et avec nous son eouvre de guérison.

Aujourd'hui dans notre monde, la Maison de Dieu est en difficulté, que ce soit notre maison personnelle ou celele du peuple de Dieu. La Maison de Dieu est notre propre vie quotidienne et celle de nos communautés chrétiennes.  La maison de Dieu a besoin d'être rénovée. Ce travail n'est pas notre oeuvre mais celui de l'Esprit en noous at vec nous. L'Esprit ne travaille pas seul. Il nous faudra apprendre à dire avec Marie: "Que tout se pase en nous et avec nous comme tu l'as dit." Le grand message de Marie aujourd'hui est de nous révéler cette grande docilité à l'Esprit Saint en nous. Il ne s'agit pas de réaliser nos projets mais de découvrir le grand projet de l'Esprit avec nous.

 La première attitude que Samuel et Marie nous propose est l'écoute et l'accueil du souffle de l'Esprit Saint en nous. Méditons l'attitude de Marie qui entre dans un projet qui la dépasse. Elle ne peut dire OUI à un tel projet, elle dit simplement sa disponibilité à travailler avec l'Esprit pour le réaliser. Notre vie chrétienne et une communion au Seigneur et ausi notre oeuvre en  communion avec l'Esprit Saint. Le renouveau de l'Église comme des communautés religieuses et chrétiennes  est l'oeuvre de l'Esprit avec nous. Nous devons apprendre de Marie et de Samuel, cette attitude du coeur qui nous fait entrer dans le projet du Père et non pas bâtir nos propres projets. La Maison de Dieu n'est pas la nôtre pour Dieu, mais celle de Dieu avec nous et pour nous. L'Esprit nous couvrira de son  ombre et ce qui naitra de nous viendra de Dieu. Ce n'est pas seulement une action passée il y a 2000 ans, elle se vit encore aujourd'hui dans le peuple chrétien. Parfois nous commes portés à nous décourager devant la lenteur à raéliser les changements dans l'Église et que la Maison semble vouloir s'effrondée; L'Esprit a "les deux mains sur le volant" soyons docile à cette présence, nous sommes en sécurité.

Notre prière aujourd'hui est d'espérer que naisse une plus grande docilité  à l'Esprit Sant,  et je parle de docilité et non de disponibilité. La docilité est plus proche du contenu, au niveau d el«,être qu«,au niveau de l'agir  comme  l'est la disponibilité. Notre prière aussi est que naissent dans nos communautés chrétienens de petites communautés de foi, de partage de la Parole, de fraternité afin que grandisse la présence des témoins, espérant que ces témoins  puissent donner le goût de Jésus Christ. Si Marie laissa passer Jésus en visitant Élisabeth, c'est qu'elle avait d'abord laissé passer l'Esprit en elle. Bon Noël à vous toutes et tous.

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lundi, 14 décembre 2020 15:04

Une homélie.

Une bonne homélie, disait un vieux maitre, doit contenir une idée, un sentiment, une image.  Pape François. En lisant ce mot, ça m'a rappelé la difficulté de faire homélie au risque de parler dans le vide, ajoute François. Des jeunes m'ont souvent dit de lâcher mes grandes idées pour leur parler et leur expliquer l'Évangile. J'ai assisté à des célébrations dans la nef avec les gens spécialement pour percevoir l'homélie avec le peuple et j'ai souvent perçu le vide de l'homélie et donc la difficulté pour nous de faire homélie. J'ai souvent réalisé qu'une agente de pastoral professeur ayant de la pédagogie  passait le message plus facilement que moi. Et les gens me disaient: Fait lui faire homélie. Nous ne pouvons pas avoir tous les talents et souvent des prédicateurs ont un bon talent d'anesthésistes. D'où l'importance de reconnaitre les charismes de l'Esprit déposés dans la communauté. Ne faisons pas taire l'Esprit.

 

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lundi, 14 décembre 2020 14:38

Un message en Marc.

Ce matin, j'aimerais m'arrêter un moment auprès de Monsieur Marc pour méditer un court message, Mc 3, 7-35. Plus nous avançons dans l'Évangile de Marc, plus nous sentons monter d'un cran l'opposition entre le milieu religieux et Jésus. 

Dès l'appel des diciples, v. 13, sa famille arrive pour le ramener à la maison pensant qu'il est fou: "Il a perdu le sens," dirent-ils. Le comble est que les spécialistes de la religion vont le traité de béelzéboul, v. 22.  Jésus va faire une révélation dérangeante, sa vraie famille ce sont les personnes qui écoutent sa parole, ceux et celles qui font la volonté du Père. Jésus est vraiment dérangé, faut l'envoyer consulter au plus vite.

Dans ces gestes et enseignement, Jésus va montrer la puissance de l'Esprit qui l'habite et qui habite chacun et chacune de nous, 3, v. 28 et 29. Faire taire l'Esprit, c'est faire taire Dieu le Père et se priver de l'éclairage de la parole de Dieu en nous. Faire taire l'Esprit, c'est aussi éviter le pardon de Dieu au v. 29, et les disciples iront jusqu'à remier Jésus au moment de sa condamnation. L'Esprit parle par les prophètes, il dérange; faire taire les prophètes, c'est faire taire l'Esprit. D'où l'importance pour nous aujourd'hui de discerner l'action de l'Esprit avant de faire taire les personnes. Il y a encore bien des prophètes aujourd'hui dans notre monde qui parlent par leurs actions au coeur de la communauté. Ne soyons pas seulement des spécialistes de la religion mais surtout des disicples du Christ  à l'écoute de son enseignement et de son témoignage.   

 

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dimanche, 13 décembre 2020 15:28

Notre Pasteur François.

Nous avons dépassé cette ancienne opposition entre Parole et Sacrement. La Parole proclamée, vivante et efficace, prépare à la réception du Sacrement et dans le Sacrement cette Parole atteint son efficacité maximale.  La Joie de l'Évangile, no 175. La Parole écoutée et célébrée nourrit la foi et permet une meilleure participation à la vie sacramentelle.  Nous avons trop longtemps négligé la place importante de la Parole dans nos vies chrétiennes.

 

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dimanche, 13 décembre 2020 15:05

Le dimanche de la joie.

Aujourd'hui, 3e dimanche de l'Avent, la liturgie nous fait célébrer le dimanche de la joie. En ce temps de pandémie, de confinement, il est peut être téméraire de parler de la joie. vous avez sans doute le goût de m'envoyer promener. La joie est un état intérieur de force, de valeurs qui  nous permet de vivre même des moments difficiles sans se laisser écraser, de garder son calme, sa sérénité et même si le sourire est un peu crispé parfois, le joie intérieure et la sérénité demeurent vivantes. Parce que la joie ne tient pas nécessaire à des causes extérieures. La joie monte du dedans et elle est plus forte que la tristesse. Prenons le temps de regarder toutes les raisons qui nous invitent à la joie aujourd'hui dans nos vies personnelles, dans nos rencontres, dans la force de la souffrance, de la solitude. Rien ne peut nous enlever notre joie du coeur. Cette joie vient aussi de la satisfaction de bien faire notre possible  dans les circonstances de notre vécu. Comme dirait le Pape François: Ne nous laissons pas voler notre joie. La joie vient aussi de cette rencontre profonde avec le Christ dans sa parole. Cette joie du Christ est comme la braise qui sommeille sous la cendre attendant le moment de jaillir.  Comme chrétiens, comme disciples de Jésus Christ, nous devons être des témoins de la joie de la présence du Christ dans les coeurs. Le Pape François nous a donné un magnifique texte: La Joie de l'Évangile. Bonne journée.

  

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samedi, 12 décembre 2020 15:25

Une invitation.

Marie se mit en route avec empressement vers la maison de Zacharie.       

Lc 1, 39. Marie avait deux raisons de partir visiter sa cousine Élisabeth. D'abord elle voulait partager sa joie d'être mère et surtout mère de Jésus, et d'autre part, elle permettait à Jésus d'aller rencontrer Jean avant même sa naissance.  Marie ne reste pas à la maison en adoration  goûter son bonheur seule, elle voulait partager sa joie avec Élisabeth elle aussi enceinte. Marie fut le premier tabernacle vivant. Suis-je consciente, conscient que je suis moi aussi porteur de Dieu, je suis un tabernacle vivant, le divin habite en moi, je suis tatoué de l'Esprit même de Dieu; Marie m'invite à aller partager ma joie autour de moi.  Je dois posséder cette joie de dire Jésus autour de moi. Est-ce que ma joie est assez forte pour me donner le goût de la partager? On me dit souvent que les gens ne connaissent pas le Seigneur Jésus. Comment le connaitront-ils si nous ne le leur disons pas.  Avant de les amener à la messe, faisons-leur connaitre le Christ et celui-ci fera le reste. C'est là notre première mission. Méditons bien cet événement de Marie  pour nous en imprégner  et qu'elle devienne notre passion.

Un autre point qui m'apparait important est que Marie à partager sa joie et à laissé Jésus faire sa rencontre à lui. Marie n'a pas dit à Jésus quoi faire. Elle a fait sa part et Jésus a fait la sienne. Chacun avait son ministère a exercer. Quel bel exemple! Ce n'est pas mon projet que je dois vivre mais celui du Christ ressuscité. Ce n'est pas ma mission, mais celle donnée par le Christ. C'est toujours tentant de vouloir que les autres soient au même niveau que moi, qu'ils célèbrent les sacrements comme moi, qu'ils récitent leur prière comme moi, mais ce n'est pas ma mission, mais celle de Jésus. Le Christ respecte la cheminement des personnes.   Laissons passer le Christ.

Cette image de MArie s'inscrit dans le mouvement proposé par notre Évêque de Gaspé sur les petites communautés. Allez vers les personnes pour leur faire découvrir qui ils sont pour les conduire ensuite à célébrer cette merveilleuse réalité.  "L'avenir des paroisses dépend de la naissance de ces petites communautés de foi qui , tout en restant autonome et sous la responsabilité de leurs membres, loin de s'isoler et refusant d'être marginaliser, (...) C'est seulement dans ces patites communautés homogènes où les êtres se connaissent qu'on peut aider à progresser spirituellement." Mgr Proulx. Mettons-nous en route comme Marie, partageons notre joie et laissons passer le Christ ressuscité.  "Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je sui sau milieu d'eux." Mth 18,20.

 

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vendredi, 11 décembre 2020 15:42

Et pis! Après?

Après la pandémie, ce ne sera plus pareil dit-on. J'ai bien hâte de voir. Nous avons tous hâte de reprendre notre vie normale. J'entends bien des gens à la télé nous dire comment la pandémie leur a fait reéaliser l'importance de prendre plus de temps avec les enfants, de se donner du temps pour eux-même afn de mieux apprécier la vie; dire aussi combien manquait la vie sociale, les rencontres. Nous avons davantage pris conscience que la vie rapide, bousculée par la volonté d'être efficace, de performer, de gagner toujours plus, nous avaient éloignés de l'essentiel. Au plan chrétien qu'en est-il? De quoi avons-nous manquer?

Demain sera fait de ce que nous faisons l'aujourd'hui de nos vies. Des prêtres m'appellent et me demandent si je dis ma messe, c'est pas mauvais; de vieux chrétiens se plaignent de ne pas avoir de messes, c'est pas mauvais non plus. Mais nous n'avons pas encore découvert l'Eucharistie au quotidien. Quand je communie au Christ à l'Eucharistie, je communie au corps du Christ assis à mes côtés, au corps du Christ souffrant dans les hôpitaux, au coprs du Christ au service des malades, des mal gommés de la société, sinon je ne fais que recevoir une hostie. Alors je peux communier tous les jours à Jésus Christ sans la messe. je peux le faire aussi dans sa  Parole. Nous pouvons vivre l'Eucharistie en attente de la célébrer.  Cela aussi la pandémie nous aura permis de le découvrir. Comme disait un vieux théologien: Il y a la messe et l'Eucharistie. Je fais le rêve que ce temps de pandémie nous fera passer de la cérémonie à la célébration et au vécu. Continuons de méditer.    

 

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