L'ami Paul vante beaucoup les thessaloniciens pour leur foi et leur engagement. Il est vrai que ces gens ont bien répondu aux cris de Paul. Que dirait-il de nos paroisses d'aujourd'hui avec nos églises vides, les participants sont viellissants, sdes églises se vendent. Pouvopns-nous n'être que pessimistes devant cette réalité? Est-ce que nous pourrions y voir un appel, une invitation à aller plus loin, aller ailleurs versd 'autre réalités, un autre vécu.
La question pou moi n'est pas de se demander qu'allons-nous faire? Mais à quoi sommes-nous invités à vivre? Nous voulons inviter les gens et surtout les jeunes à vivre la foi chrétienne; alors demandons-nous qu'est-ce qu'ils ont besoin? il ne s'agit pas de leur donner ce qu enous voulons, mais ce dont eux ont besoin. Évangéliser, c'est accompagner, donner le goût, faire découvrir... Les gens sont avides de spiritualité, alors...
À un bébé qui demande du lait, nous ne donnons pas un steak. Je crois que nous réfléchissons trop à partir de ce que nous avons vécu et notre parole tombe dans le vide. Nous devons aussi apprendre la patience: Semer et laisser germer même si c'est lent. Nous sommes invités à retourner à l'essentiel. C'est un virage à 380 degrés à la Parole de Dieu que nous devons faire et ce virage est exigeant. L'importa«nt c'est la personne et non d'abord la pratique ou les dogmes. Méditons le texte de Jérémie de dimanche prochain.