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Homélies, réflexions et spiritualité

Textes de réflexion

Jos. Deschênes

Jos. Deschênes

jeudi, 14 septembre 2023 14:43

La croix.

Aujourd'hui, 14 septembre, fête de la croix glorieuse. Ma méditation devant la croix du Christ est à double tour. D'abord sur ce gibet, le Christ a souffert la passion; voulait-il apaiser le colère de Dieu, j'en doute.  Dieu ne connait pas la colère comme nous, à moins d'avoir une graine d'humanité. Jésus a souffert pour nous faire comprendre la cruauté de l'être humain. L'homme est prêt éliminer celui qui ne pense pas comme lui. souvent nos traditions et nos coutumes sont si ancrées que nous sommes prêts à donner la mort plutôt que de se convertir. Jésus avait tellement dérangé les chefs religieux juifs que ceux-ci voulurent s'en débarraser; et aussi il avait déçu l'espérance du peuple qui le voyait comme un libérateur du peuple de l'emprise des romains. Alors comme Jésus n'était pas à  notre taille, on l'a supprimé.

Jésus a souffert sa passion pour nous indiquer sa fidélité à sa mission. Trop souvent nous acceptons de tergiverser ou de changer d'avis pour éviter le rejet ou la souffrance. Jésus a voulu rester fidèle à lui-même et à sa mission mpeme devant la mort et la souffrance. Ceci me rappelle Martin Luther King, Louis Riel, Mgr Ramero et combien d'autres qui n'ont pas voulu renier leur être profond et leur mission et ont subit  la mort.  Devant la croix accueillons le message d'amour et de fidélité du Christ Jésus.

 

mercredi, 13 septembre 2023 17:06

le Pardon. Mth 18, 21-35.

De nos jours, la vie devient plus difficile, on dirait que les relations humaines s'étiolent et que les différents se règlent avec la force et la colère. Aujourd'hui dans l'Évangile Jésus vient nous donner une façon de bâtir des relations réussies. Pierre le chef des apôtres se croyait un bon disciple en demandant combien de fois je dois pardonner.  D'autnt plus que le chiffre sept dans Bible est un chiffre parfait. Donc ce petit monsieur Pierre se croyait sur une bonne voie, un pardon parfait.  Jésus lui dit mon bon Pierre, ce n'est pas sept fois qu'il te faut pardonner, mais soixante-dix-sept foi sept fois. Ton pardon ne doit pas être seulement parfait, mais plus que parfait. Le pardon est l'une des pierres fondamentales d'une bonne relation chrétienne. Jésus nous dit le pardon n'est pas un calcul, combien de fois je dois pardonner,  mais un élan du coeur. Le pardon est un don gratuit  et non un exercice arithmétique. Une des conditions premières pour qu'une communauté chrétienne vive de bonnes relations est que le pardon ne connaisse pas de limite. Il est évident que nous avons tous nos susceptibilités et que le mal qui nous est fait peut créer des blessures profondes et qu'au lieu de pardonner nous ayons le goût d'étouffer la personne, mais ce n'est pas la logique de Jésus. Pour Jésus le pardon ne se limite pas a la quantité,  mais comme il  participe au pardon divin, il doit être un élan du coeur.  La réponse de Jésus a Pierre s'adresse aussi à moi et à chacun d'entre nous. C'est notre façcon de vivre en chrétien fidèle à l'enseignement du Christ.

 Jésus ne donne pas seulement un enseignement théorique, il joint une petite histoire à son enseignement verbal. Un maitre remet une énorme dette à son serviteur incapable de payer. Mais ce dernier  aussitôt sortit de chez son maitre va faire emprisonner un débiteur qui lui doit une petite somme. Le premier débiteur doit dix mille talents à son maitre, c'est une somme énorme pour l'époque et que le débiteur ne pourra jamais rembourser. Alors le maitre lui remet sa dette. C'est l'image de notre dette envers le Seigneur; nous ne pourrons jamais rembourser notre dette devant le Seigneur. Imaginons tout ce que nous avons recu gratuitement: la vie, la nature, les talents, les dons très variés. Ceci nous est donné gratuitement par le Seigneur, jamais nous ne pourrons rembourser.

Alors si tant de choses nous sont données, que n'avons qu'à les accueillir et s'en servir malgré parfois nos écarts de relations, combien plus devons-nous avoir la même façon de faire envers nos frères et soeurs en humanité.  Pour y arriver, nous devons entrer en nous-même pour reconnaitre la force de l'Esprit qui nous habite.  Allons nous asseoir devant un pépin de pomme. Ce petit pépin est rempli d'une force qui lui permet de produire un arbre et des pommes. Il a cette force intérieure, même tout petit, de réussir un vrai tour de force pour produire un arbre et des fruits. Il en est de même pour nous. Nous avons en nous cette force de l'Esprit Saint, cette présence divine qui nous  permet de produire des fruits de bonté et de pardon qui conduisent à de bonnes relations.  Notre relation au Seigneur et aux autres est conditionnée par notre capacité de découvrir en nous la présence et la force de l'Esprit qui nous anime à l'image du petit pépin de pomme. Ce n'est pas à l'extérieur de nous que nous le découvrirons. Notons que Jésus ne nous remet pas notre dette par pitié, mais par amour. Si nous arrivons à goûter la richesse et la tendresse du pardon de Dieu, nous arriverons plus facilement à le vivre et le transmettre. C'est là un des grands rôle de l'Eucharistie. L'Eucharistie nous fait communier à cette tendresse de Dieu pour nous et nous donne la force de la vivre et de la communiqer.

mercredi, 13 septembre 2023 17:06

le Pardon. Mth 18, 21-35.

De nos jours, la vie devient plus difficile, on dirait que les relations humaines s'étiolent et que les différents se règlent avec la force et la colère. Aujourd'hui dans l'Évangile Jésus vient nous donner une façon de bâtir des relations réussies. Pierre le chef des apôtres se croyaient un bon disciples en demandant combien de foiss je dois pardonner.  D'autnt plus que le chiffre sept dals Bible est un chiffre parfait. Donc ce petit monsieur Pierre se croyait sur une bonne voie. Jésus lui dit mon bon Pierre, ce n'est pas sept fois qu'il te faut pardonner, mais soixante-dix-sept foi sept fois. Ton pardon en doit pas être seulement parfait, mais plus que parfait. Le ppardon est l'une des pierres fondamentales d'une bonne relation chrétienne. Jésus nous dit le pardon n'est pas un calcul, combiende fois je dois pardonner,  mais un élan du coeur. Le pardon est un don gratuit  et non un exercice arithmétique. Une des conditions premières pour qu'une communauté chrétienne vit de bonnes relations est que le pardon ne connaisse pas de limite. Il est évodent que nous avons tous nos susceptibilités et que le méfait peut créer des blessures profondes et qu'au lieu de pardonner nous ayons le goût d'étouffer la personne, mais ce n'est pas la logique de Jésus. Pour Jésus le pardon ne se limite pas a la quantité parce qu'il participe au pardon divin.  La réponse de Jésus a Pierre s'adresse aussi à moi et à chacun d'entre nous. C'est notre façcon de vivre en chrétien fidèle à l'enseignement du Christ.

 Jésus ne donne pas seulement un enseignement théorique, il joint une petite histoire à son enseignement verbal. Un maitre remet une énorme dette à son serviteur uncapable de payer. Mais ce derneir va aussitôt sorit de chez son maitre faire emprisonner un débiteur qui lui doit une petite somme. Le premier débiteur doit dix mille talents à son maitre, c'est une somme énorme pour l'époque et que le débiteur ne pourra jamais rembourser. Alors le maitre lui remet sa dette. C'est l'image de notre dette envers le Seigneur; nous ne pourrons jamais rembourser notre dette devant le Seigneur. Imaginons tout ce que nous avons recu gratuitement: la vie, la nature, les talents, les dons très variés. Ceci nous est donné gratuitement par le Seigneur, jamais nous ne pourrons rembourser.

Alors si tant de choses nous sont données, que n'avons qu'à les accueillir et s'en servir malgré parfois nos écarts de relations, combien plus devons-nous avoir la même façcon de faire envers nos frères et soeurs nn humanité.  Pour y arriver, nous devons entrer en nous-même pour reconnaitre la force de l'Esprit qui nous habite.  Allons nous asseoir devant un pépin de pomme. Ce petit pépin est rempli d'une force qui lui permet de produire un arbre et des pommes. l a cette force intérieure, même tout petit, de réussir un vrai tour de force pour produire un arbre et des fruits. Il en est de même pour nous. Nous avons en nous cette ofrce d el'Esprit Saint, cette présence divine qui nous  permet de produire des fruits de bonté et de pardon qui conduisent à de bonnes relations.  Notre relation au Seigneur et aux autres est conditionnée par notre capacité de découvrir en nous la présence et la force de l'Esprit qui nous anime à l'image du petit pépin de pomme. Ce n'est pas à l'extérieur de nous que nous le découvrirons. Notons que Jésus ne nous remet pas notre dette par pitié, mais par amour. Si nous arrivons à goûter la richesse et la tendresse du pardon de Dieu, nous arriverons plus facilement à le vivre et le transmettre. C'est là un des grands rôle de l'Eucharistie. L'Eucharistie nos fait communier à cette tendresse de Dieu pour nous et nous donne la force de la vivre et de la communiqer.

lundi, 11 septembre 2023 19:42

Communion avec Dieu

Neale Donald Walsch: Communion avec Dieu. Un dislogue hors du commun. Ed. Ariane. L'auteur part de nous, nous sommes èa l'image de Dieu, Le divin n ous habite et c'est en nous qu'il faut le découvrir et entrer en communion avec lui. Dieu n'est pas celui qui récompense et punit, mais celui qui donne gratuitement. A partir de notre agir nos avons inventer un dieu qui punit, chasse du paradis terrestre, qui demande des sacrfiices pou rêtre en bon terme avec nous, Dieu donne gratuitement, il s'agit pour nous de le reconnaitre et d'être en action de grâce. Nous croyons en Dieu, mais croyons-nous en un Dieu qui CROIT EN NOUS. Bonne Lecture.

 

mardi, 05 septembre 2023 17:49

Seul à seul. Mth 18, 15-20

Si Jésus était québécois, il aurait parlé des "j'auais don du" dans l'Évangile d<,ajourd'hui.  Devant le détresse de mon frère,  J'aurais donc dû parler plutôt.  Souvent devant des relations difficiles, on se dit: Je devrais lui parler, lui faire voir son problème, mais nous ne le faisons pas par peur de blesser, de ne pas être à la hauteur  et nous laissons la situation se gâter et alors nous disons en nous-même: J'aurais donc dû parler quand c'était le temps. Les "j'arrais don dû" sont trop nombreux aujourd'hui.

Jésus nous dit dans l'Évangile: Si ton frère fait quelque chose contre toi, vas le voir seul à seul. autrement dit, ne convoque pas une assemblée pour parler de lui mais vas parler avec lui. Vas le voir seul à seul dans une relation de confiance, d'amitié et de tendresse. Ne vas pas le juger, mais éclairer sa vie pour l'empêcher de se dégrader davantage. Trop souvent nos mauvaises actions sont le fruit de blessures ou de frustrations refoulées qui peuvent conduire très bas. Vas lui dire: Devant ta situation, je ne peux rester indifférent parce que je t'estime trop. Aimer c'est aider l'autre à avancer sur la route de la vie même si les courbes sont parfois prononcées et demandent de l'habileté. Vas seul à seul  pour établir une relation de confiance et de tendresse qui permette un dialogue franc et productif. C'est le rappel du Bon Pasteur qui prend la brebis égarée sur ses épaules, ou encore le regard de Jésus à  Zachée grimpé dans son sycomore.

Mais Jésus nous envoi eplus loin; il nous envoie à la communauté. Les relations réussies peuvent être aussi réalisées avec l'aide de la communauté chrétienne. Prends deux ou trois étmoins avec toi.  La communauté doit aussi prendre soin des pauvres, des petits, des personne sen difficulté de relation. Mais la communauté doit également faire en sorte que le pardon soit illimité. Les personnes qui vont t.accompagner dit Jésus doivent être au même diapason de l'amitié et de la tendresse. L'homme qui a blessé n'est pas en colère, il souffre intérieurement et il a besoin d'une bonne dose d'amour. Jésus a dit un jour: Lorsque deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là au milieu d'eux. Ne ne devons jamais oublié cette présence amoureuse du Christ ressuscité à notre vie au quotidien.

Alors Jésus ajoutera une autre phrase importante: Tout ce que vous aures lié sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce qu evous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel. Donc tout ce que vous aurez guéri sur la terre dans vos rencontres et nvotre vie quotidienne,   sera guérit pour l'éternité. Ainsi ce que vous aurez laisser en poanne sur la terre le sera dans l'Éternité; on pourrait ajouter à moins que vous n'en soyez pas responsable. S'aider à guérir mutuellement, c'est faire passer l'Esprit du Christ dans notre vie et celle de la communauté.

Quand je vais à l'Eucharistie, je vais chercher davantage l'Esprit du Christ et la force de le rendre présent au quotidien de la vie. Nous sommes habitués de dire, Je vais à la messe, mais faudrait mieux se dire, je vais faire communion avec le Christ et mes frères et soeurs et travailler à faire des rencontres réussies. L'euchsristie n'est pas un rite auquel j'assiste, mais une communion de vie que je dois réaliser avec Jésus Christ dans mon quotidien. 

  

mardi, 05 septembre 2023 14:25

En lisant.

Frédéric Lenoir: coeur de Cristal, Ed.  Robert Lafont, 2014.  Je viens de terminer la lecture de ce petit livre qui date un peu mais est une lecture fort intéressante. Il s'agit d'un conte qui nous laisse des messages nourrissants. Même le plus froid et le plus endurci des coeurs ne saurait resté sourd au chant du pur amour. Ne donne à personne le pouvoir de te rendre heureux ou malheureux. Et parfois nou scherchons loin de nous ce qui est tout près de nous.  Bonne lecture.

 

samedi, 02 septembre 2023 14:18

J'ai lu.

Yves-Marie Blanchard: Contr le cléricalisme, retour à l'Évangile. Salvator, 2023. L'auteur fait l'étude de textes bibliques dans le but dfe mntrer comment les apôtres et Paul on vécu les débuts de l'Église. Ils étaient des frères et soeurs, des compagnons, des apôtres. Il y avait davantage la dimension de communauté différent d'aujourd'hui. À l'étude de ces textes nous pouvons comprendre la dérive du pouvoir clérical  implanté en Église et aussi la place des femmes. L'auteur termine en nous envoyant visité la synodalité. Bonne lecture.

 

mardi, 29 août 2023 21:26

Dieu.

Frédéric Lenoir Dieu, petites ety grandes questions pour athées et croyantsa.  Ed. Robert Lafond. L'auteur historien et psychologue, et mystique ne veut pas mlontrer l'existence d eDiu, il fait l'histoire de la découverte  de Dieu dans l'histoire et comment cette découverte s'est structurée jusqu'à nous. Cette histoire s'est écrite à travers différents religions ou façon de l.approcher. C'est une lecture enrichissante même que parfois diffici;r à suivre pour un profane. Bonne Lecture. 

 

Le prophète Jérémie nous fait part d'une belle expérience de Dieu  qui doit être la source et l'origine de toute vie chrétienne.  Il nous dit: Seigneur, tu m'as séduit, et j'ai été séduit.  (...) Ta parole est comme un feu brûlant dans mon coeur.  Voila où Jérémie nous conduit aujourd'hui. Il veut nous faire comprendre que l'expérience d eDieu ne se faitpas avec des théorie ou des dogmes, mais par une expérience intérieure et que la Parole du Seigneur est comme un feu intérieur qui nous motive à agir. Pascal écrira: C'est le coeur qui sent Dieu et non la raison.  "C'est dans leur coeur qu eles croyants rencontrent Dieu et leur foi n'est pa sle fruit  de raisonnement intellectuel mais d'une proximité du coeur." Nous retrouvons le smêmes expression dans l eprophète Osée: 2,14: C' est pourquoi, je vais la séduire, Je la conduirai au désert et parlerai à son coeu, je te fiancerai à moi dans l'amour et la fidélité et tu connaitras Yahvé. 

Ce message apporté par les prophètes et reprit pas Jésus n'a pas été suffisamment méditer. Dans notre monde laîcisé ce message prend toute sa valeur. Ce n'est  pa sen plaçant  l'accent sur des théories sibelles soient-elles que la connaissance de Dieu se fait d'abord, mais par une expérience du coeur dans le silence. Notre partique religieuse devient le fruit de cette amour intérieure et ne découle plus d'une loi qui oblige sous peine de péché. Un mystique alsacien écrivait: "Voici que l'homme se recueille et pénètre dasns son temple intérieur dans lequel in trouve Dieu vivant et opérant.  Alors l'homme arrive éà fair el'expérience de Dieu, il le goûte  comme quelque chose venant du fond du coeur."  Ainsi on ne cherche plus Dieu dans le ciel, loin de nous, mais on le découvre au plus intime de soi. Cette découverte, cette expérience se fera dans le silence et souvent au coeur d ela vie. Chacun le fera selon son être profond et sa capacité de méditation. Le royaume des cieux est à l'intérieur de vous, dira Jésus en lc  12.

Il nous faut noter aussi que le prophète parle de la Parole de Dieu qui en lui est comme un feu brûlant. La parole de notre Dieu est la base de notre foi, elle vient éclairer notre jugement et notre route et nous envoie à l'essentiel. Comme le dit l'Épitre aux Hébreux: (4, 12), Elle est vivante la parole de Dieu plus incisive qu'un glaive à deux tranchants, elle pénètre jusqu'au point de division de l'âme et de l'esprit.  Il est essentiel pour nous de retrouver l'importance et la lumière de la parole de Dieu dans notre quotidien. 

 Dans l'Évangile, Jésus nous donne des conditions pour le suivre. Il dira à Pierre qui veut un Jésus à sa taille et le défendre contre les ennemis. Pierre avait dit au Seigneur qui avait annoncé sa mort et sa souffrance: Cela ne t'arrivera pas.  Pierre voulait le défendre, il avait une connaissance du Seigneur trop à sa façon. Alors Jésus lui répond: Tes pensées ne sont pas mes pensées ni celles de Dieu. Celui qui veut venir à ma suite doit prnedre sa croix et me suivre.  Pierre avait une mauvaise connaissance du Seigneur faite à sa mesure humaine.  La réponse de Jésus est dure.; Prendre sa croix, c'est négatif; pour suivre Jésus nous devrions souffrir et porter sa croix. Pourquoi avons-nous garder cet aspect négatif? Je ne sais pas. Mais le terme grec que l'on traduit ainsi signifie d'abord dire non, refuser.  Devant le refus de Pierre, Jésus veut nous dire que nous ne devons pas nous approprier Dieu pour en faire un être à notre façon. Ceux qui veulent  suivre Jésus doivent l'accepter  tel qu'il  est comme un être divin et non seulement un homme.  Vous n'avez pas à me vouloir selon vos idées. Alors il faut dire non, refuseer ces façons de voir Dieu pour se laisser imprégner, se laisser séduire par le Dieu tel qu'il EST.

Jésus est plus grand que moi et je n'ai pas à le ramener à mes propres vues. Nous devons sortir de notre petit moi pour faire une  expérience vraie de Dieu. L'expérience de Dieu ne peut se fair que dans le détachement de mon égo pour me brancher librement sur la présence que le Seigneur veut vivre avec moi. Jésus veut brancher ses disciples sur une spiritualité qui laisse Dieu être vraiment Dieu et non le réduiore à notre propre vouloir. Dieu est plus grand que moi et il ne se fait connaitre que dans une expérience du coeur.  je te séduis et te fiancerai à moi dans l'amour, le tendresse et la fidélité. C'est toute la beauté, la richesse et la grandeur de l'Eucharistie.

lundi, 28 août 2023 14:22

Thessalonique.

L'ami Paul vante beaucoup les thessaloniciens pour leur foi et leur engagement. Il est vrai que ces gens ont bien répondu aux cris de Paul.  Que dirait-il de nos paroisses d'aujourd'hui avec nos églises vides, les participants sont viellissants, sdes églises se vendent.  Pouvopns-nous n'être que pessimistes devant cette réalité? Est-ce que nous pourrions y voir un appel, une invitation à aller plus loin, aller ailleurs versd 'autre réalités, un autre vécu.

La question pou moi n'est pas de se demander qu'allons-nous faire? Mais à quoi sommes-nous invités à vivre? Nous voulons inviter les gens et surtout les jeunes à vivre la foi chrétienne; alors demandons-nous qu'est-ce qu'ils ont besoin? il ne s'agit pas de leur donner ce qu enous voulons, mais ce dont eux ont besoin. Évangéliser, c'est accompagner, donner le goût, faire découvrir... Les gens sont avides de spiritualité, alors...

À un bébé qui demande du lait, nous ne donnons pas un steak.  Je crois que nous réfléchissons trop à partir de ce que nous avons vécu et notre parole tombe dans le vide.  Nous devons aussi apprendre la patience: Semer et laisser germer même si c'est lent. Nous sommes invités à retourner à l'essentiel. C'est un virage à 380 degrés à la Parole de Dieu que nous devons faire et ce virage est exigeant. L'importa«nt c'est la personne et non d'abord la pratique ou les dogmes. Méditons le texte de Jérémie de dimanche prochain. 

 

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