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Homélies, réflexions et spiritualité

Nouvelles

Jos. Deschênes

Jos. Deschênes

samedi, 06 octobre 2018 14:38

Le pouvoir

Medeleen Dubois: Le pouvoir de la bénédiction. Ed. Québécor. Cet ouvrage nous aprend le pouvoir de la bénédiction qui n'est pas réservée aux seuls minstres du culte. Bénir n'est pas seulement un signe de croix et une petite prière ou un brin d'eau. Nous devons apprendre à bénir, bénir notre journée, notre famille,  les événements de la vie. Bénissons un voisin qui nous fatigue ou nous dérange, bénissons un ennemi. Bénir n'est pas demanderr des choses ou obtenir ce que nous voulons, bénir, c'est faire surgir ce qu'il y a de mieux. Ce livre de Madeleen Dubois nou sapprend ce pouvoir merveilleux de la bénédiction,

 

samedi, 06 octobre 2018 14:28

Bénir.

Bénir quelqu'un, quelles soient les circonstances,  peremt de faire surgir le meilleur en toutes choses. Bénir invite aussi une personne à être ce qu'elle a toujours été dans son identité profonde, c'est-à-dire de nature divine. Medeleen Dubois.

 

vendredi, 05 octobre 2018 17:36

Le monde a besoin de toi.

Beaucoup de gens ont besoin de toi, disait notre Pape aux jeunes en prévision du synode des Évêques sur la jeunesse et les vocations. Et un évêque écrivait: Il nous faut apprendre le langage des jeunes. Je disais un jour à des paroissiens: Ne vous engagez pas pour moi, je n'ai pas besoin de vous; engagez-vous avec moi au service de la communauté. Il est intéressant de méditer ces expressions.

Apprendre le lnagage des jeunes, c'est d'abord savoir les écouter; non pas seulement les entendre, mais les écouter. Nous sommes à leur service pour édifier avec eux la maison de Dieu dans le monde. Apprendre à les écouter, c'est apprendre à grandir avec eux dans un échange mutuel. Nous sommes portés à leur proposer des choses, des catéchèses parce qu'ils ne savent rien et que nous possédons la vérité. Je crois qu'il nous faudrait apprendre à découvrir leur langage pour prendre le même chemin. Jésus a pris le même chemin que les disciples d'Emmaüs et les a conduit sur son chemin. Avec nos jeunes et les personnes qui ont déserté la pratique sacramentelle, nous devons prendre le même chemin qu'eux si nous voulons les rejoindre et faire un bout de route avec avec eux. 

Beaucoup ont besoin de toi, dira le Pape François. Les jeunes ont beosin d'un défi, de quelque chose d'emballant et de stimulant. J'aimerais présenter ce que nous appelons "Vocation" comme une Mission. Nous sommes appelés à vivre au coeur de notre monde une mission, celle de l'Évangfile. Interpeller les jeunes et moins jeunes, c'est les interpellés au nom d'une mission au service de l'Évangile. Je suis invité à découvrir la vocation de mon baptême et interpellé à la mission de le vivre dans le monde d'aujourd'hui. Jésus nous invite à être ses disciples puis il envoie comme missionnaire, comme apôtre dans le monde. Nous nous engageons non pour faire vivre un système, mais pour faire découvrir Jésus Christ. Écouter la voix des jeunes comme des moins jeunes, c'est découvrir leur faim et leur soif de spiritualité, leur soif de vérité, leur soif de témoins. Écouter les gens, c'est arrêter de leur porposer des enseignements et des théories si belles soient-elles pour marcher sur le même chemin qu'eux et cheminer ensemble.

Le Pape François écrit aussi: "Je voudrais voir des jeunes ambitieux, courageux, anticonformistes et révolutionnaires avec tendresse. (...) Dieu veut que les jeunes aient une misison: d'être ses prophètes et pour l'être, ils doivent se salir les pieds sur les routes." Le Pape ne veut pas de "peadler" de l'Évangile mais des témoins du ressuscité. Être ses disciples et être ses témoins, voila la mission qui nous est confiée. Le monde à "souper" de gens porteurs de belles paroles et de belles doctrines. Il nous dit à sa façon: Dis-moi ce que tu as dans le ventre. Dis-moi ce qui te fait vivre. Ça, les jeunes nous le disent et c'est à cela qu'il nous faut répondre.

Le texte de la Genèse nous livre le merveilleuxprojet de Dieu avec l'être humain qui est en même temps pour nous un merveilleux projet d'alliance entre nous. Dans la création de l'homme et de la femme, Dieu révéla l'image qu'il veut projeter de lui-même dans notre monde. Les textes de la création ne nous disent pas comment le monde fut fait, mais pourquoi il est fait.

Notons d'abord que lors de la création des animaux, L'homem leur donne un nom, mais "ne trouva aucun aide qui lui corresponde." Au moment de la création de la femme, il dira: "Cette fois, voici l'os de mes os et la chair de ma chair." Il ne lui donne pas un nom parce qu'elle serait une possession comme les animaux, il dira plutôt: Elle est mon vis-à-vis. Il s'agit d'une reconaissance. Elle complète l'êtrte humain créé à l'image et ressemblance de Dieu. Tous les deux forment l'image de Dieu.  Ils ne sont pas en compétition mais en complémentarité. 

L'homme et la femme sont donc révélés dans un état d'alliance avec Dieu et les uns avec les autres. Personne n'est supérieur à l'autre. Ils sont en complémantarité. Jésus nous dira en Mathieu: "Que l'homme ne sépare pas ce que Dieu a unit." Comme nous avons bâti une société patriarcale,  où la femme est comme l'objet de possession de l'homme, ce projet initial de Dieu s'est trouvé brisé.

 

La relation entre les êtres humains devait être une relation de communion comme celle de Dieu avec l'humanité. le regard de l'homme a changé les choses et l'homme a voulu devenir maitre à la fois de la création et de la femme. C'est pourquoi au temps de Moïse  où la femme était l'objet de possession de l'homme, celui-ci pouvait renvoyer sa femme comme un objet dont on se débarasse. Mth 5, 27.

Cette complémentarité des personnes pour révéler le projet de Dieu se vit aussi dans les commuanutés chrétiennes. De même que l'homem et la femme sont ensemble l'image et ressembblance de Dieu, de même qu'ils sont en état de complémentarité et d'alliance, de même dans la vie chrétienne. Les deux participent au sacerdoce du Christ, les deux ensemble en complémentarité et en alliance révèlent le sacerdoce de Jésus Christ. Ils sont complémentaires dans l'exercice du sacerdoce baptismal en révélant le sacerdoce du Christ. En politique, nous parlons de parité, je crois que ce n'est pas suffisant. La révélation va plus loin. Il y a là une piste de recherhce qu'il ne faut pas abandonner.

L'Évangile nous parle aussi d'adultère et nous conduit inévitablement à parler de divorce puisque cette réalité est présente dans notre société. Jésus ne parle pas de faute, mais d'échec, de brisure. Jésus ne se situe pas comme nous au niveau du droit canon ou des lois; il se situe au niveau de projet de Dieu. Un échec peut être réparé. Jésus s'en va à Jérusalem où le projet de Dieu sera brisé dans la mort sur la croix, mais réparé et divinisé dans la résurrection. Il nous dit qu'un projet brisé comme un mariage peut être rebâti par une vie heureuse. En plaçant cette péricope de l'Évangile sur la route de Jérusalem, Marc nous "donne l'espérance que même leurs échecs récèlent la possibilité d'un nouveau départ, et qu'ils pourront renaitre eux aussi, à un nouvel amour qui les rendra plus vivants." (Anselm Grun).

Notre Eucharistie nous prend sur la route du quotidien avec  nos échecs pour nous replacer dans le porjet de communin et d'alliance voulu par le créateur dès les origines du monde. Marcher vers la communion,  et communier debout, à l'eucharistie,  veut signifier mon état de ressuscité et ma volonté de construire chaque jour le projet de Dieu révélé en Jésus christ. Quand je tends la main pour recevoir l'hostie, je viens dire que j'offre ma main au Seigneur pour le chantier de la justice, de l'amour, du respect des personne  dans leur complémentarité et le porjet d'alliance. A l'Eucharistie, le chrétien n'est pas un être à genoux en adoration, il y a des temps pour ça, je suis un être debout en habit de travail pour bâtir le règne de Dieu dans les coeurs. Et redonner à la femme sa place au coeur du porjet de Dieu fait partie de ma mission de baptisé.

samedi, 29 septembre 2018 16:59

Pensée.

"Je suis optimiste parce que je suis très marqué par la nature. Dans la nature, la lumière est plus forte que les ténèbres, le jour est plus fort que la nuit, l'arc-en-ciel est plus fort que tous les orages, le tonnerre et les éclairs, le bien est plus fort que le mal, l'amour est plus fort que la haine ...  Benoit Lacroix.

 

samedi, 29 septembre 2018 14:45

Un service ...

En me balladant, hier, j'ai rencontré trois charmantes dames qui m'ont présenté un service que je ne connaissais pas. Alors, je me suis dis, peut être que d'autres personnes comme moi ne le connaissent pas. J'ai dons décidé de faire un petit topo.

Il s'agit de la Commission des droits de la personne et des drotis de la jeunesse du Québec. "Cette commission est un organisme indépendant qui a pour mission de veiller à la promotion et au respect des droits prévus dans la charte des droits et libertés de la province de Québec."

"Elle a également pour mission de veiller à la protection des l'intérêts de l'enfant et au respect des droits reconnus par la loi sur la protection de la personne." On nous présente un service offfert pour la protection des droits des jeunes et des personnes âgées sur le territoire de la Gapésie et des Iles de la Madeleine. Ce service se réalise à travers des programmes d'information, de recherche et d'enquête, interventions auprès des tribunaux et des recommandations au gouvernement. Je dirais que c'est un peu comme la voix des sans voix.

On nous offre un beau Guide d'information à l'usage des parents, un autre guide pour les jeunes qui partent en appartement. On fait aussi un clin d'oeil aux services des personnes âgées en établissement. En utilisant mieux ces services, ça pourrait nous éviter de "chiâler" parfois ou de souffrir en silence. Ça rend la vie plus belle.

vendredi, 28 septembre 2018 22:27

Une Églsie dehors ou en dedans.

Nous parlons souvent aujourd'hui de l'Église en sortie et c'est devenu presque un lieu commun. Nous pensons alors à une Église qui sort des murs, des structures, des rites pour aller vers les périphéries. Ne faudraitil pas penser davantage d'une Église de l'extérieur vers l'intérieur. Une Église qui sort de ses pratiques, ses enseignements, ses rites pour aller à l'intérieur des personnes faire une expérience du ressuscité. Nous avons appris des réponses de catéchisme par coeur, nous avons pratiqué une religion, mais où avons-nous mis Jésus Christ? C'est beau de parler d'une Église en sortie, mais encore faut-il savoir d'où l'on sort et où on veut aller. Voila sur quoi je vais dormir ce soir.

 

mercredi, 26 septembre 2018 14:28

Un intérêt marque.

Depuis quelques années le nombre de publications et d'études sur les textes bibliques est en progression marquée. On dit même que la Bible est le livre le plus lu au monde. Des groupes de partage de la Parole naissent dans nos communautés chrétiennes et commencent à influencer les mentalités, Moi-même j'ai développé un goût de plus en plus marqué pur l'étude des textes bibliques et ce goût m'est venu surtout depuis que des femmes biblistes ont commencé à publier.  Ce matin, j'ai médité sur ce sujet et je partage quelques idées m'inspirant d'un écrit de Walter Vogels.

La Bible ne donne pas de recettes de vie, elle est le contenu du témoignage de foi de "croyants et de croyantes et pour des croyants." Elle est un livre inspirant pour la vie.

Notre société vit présentement un phénomène grandissant de violence. La télévision nous en apporte chaque jour des exemples dans nos salons. L'Ancien Testament nous en livre aussi tout un arsenal. Cependant les textes bibliques peuvent nous apporter un autre son de cloche. Si je regarde les textes de la création, nous avons mis l'accent sur la révolte de l'homme, la chute et la punition entrainant le péché originel dont nous sommes tous victimes. Ceci a développé une image de Dieu qui surveille, punit et qu'il faut adoucir par des pénitences et des sacrifices. Ces textes de la création ne nous présentent-ils pas un être humain créé à l'image de Dieu, créé en état d'alliance et de communion avec son Dieu et avec les autres. Un être libre de choisir et qui vit une crise de croissance en faisant un mauvais choix. Un être qui au lieu d'accepter les différences comme une richesse décide de les annuler en prenant possession de l'autre. L'être humain est toujours un être en croissance, en recherche de sa propre identité et qui doit composer avec les différences. La violence est souvent ce refus des différences et le désir de posession alors que fondamentalement nous osmmes des êtres d'alliance et de comunion. Nous aurions peut être intérêt à développer cette dimension au lieu de mettre l'accent toujours sur le péché. C'est ce que Jésus a voulu nous rappeler et nous l'avons tué "Créés à l'image et ressemlbance de Dieu." Nous aurons l'occasion d'y revenir.

Le mouvement féminisme a développé une autre vision de la place de la femme dans la société et dans l'Église. Les textes de la création nous rappellent la complémentarité des personnes. Longtemps ces textes nous ont révélé la supériorité de l'homme sur la femme. Dans la Bible la femme est souvent présentée comme objet de l'homme dans le vécu quotidien. Jésus est venu mettre ce monde à l'endroit et on l'a tué. "Que l'homme ne sépare pas ce que Dieu a uni."  Nous nous sommes privés d'une richesse tout en commettant une injustice à l'égard d'une moitié de l'humanité. La Bible apporte un autre éclairage qui suscite de l'intérêt pour la lecture des textes bibliques.

Un changement de perception de l'homoséxualité dans la société nous a aussi conduit à une relecture des textes bibliques. Nous avons appris là comme dans d'autres domaines que derrière cette réalité, il y avait des personnes humaines. Un malade ne devrait pas exister, un homoséxuel ne doit pas exister dans nos mentalités. La Bible nous apprend qu'il n'existe qu'une personne malade, une personne dont l'orientation sexuelle est tournée vers une personne de même sexe. La Bible nous envoie toujours au niveau des personnes et nons des différences.

En lisant et méditant la bible, nous pourrions sans doute mieux comprendre ce qui se passe dans notre Église aujourd'hui et peut être y apporter un regard positif qui assure un lendemain. La Bible n'est pas un livre de recette, elle est une source d'inspiration pour un vécu chrétien aujourd'hui.

 

mardi, 25 septembre 2018 16:02

question de regard. Mc 9, 38-48.

"Maitre, nous avons vu quelu'un expulser des démons en ton nom, nous l'avons empêché car ils n'est pas de ceux qui nous suivent." Les gros méchants dirions-nous aujourd'hui. Jésus leur répond: "Si ton oeil est pour toi une occasion de chute, arrache-le." Autrement dit, vous n'avez pas le monopole du travail de l'Esprit.

Le regard du disciple de l'Évangile est celui du pouvoir, de la conformité. Les disciples veulent garder le monopole du bien. Ce n'est pas bien que d'autres agissent sans notre permission. Nous avons la meilleure religion, nous avons encore des relents de mentalité d'avant Jésus Christ.  Souvenr même à l'intérieur de la même religion, il existe des chasse-gardées qui briment les relations. L'Esprit du Seigneur dépose dans nos communautés chrétiennes des charismes et des dons variés au service de la communauté. L'exercice des ces charismes est souvent brimé par le pouvoir. Jésus dit: "Change ton regard."

Si quelqu'n agit au nom du Christ et fait le bien, il ne peut être contre nous. Notre manie de contrôler la vie doit prendre la route avec le Christ pour se laisser convertir. Quelqu'un écrivait: si tu marches avec le Christ comme compagnon de route, tu finiras par regarder le monde avec ses yeux. Ton regard se convertira, ainsi tu pourras accueillir les autres sans les juger.

Jésus va plus loin encore et nous demande de couper la main qui provoque la chute. La main doit s'ouvrir pour accueillir et partager. Elle se referme trop souvent pour garder ou menacer. Si ta main fermée devient un poingt menaçant, si ta main fermée veut tout garder même au détriment des pauvres, coupe-la. C'est un appel à la conversion. Une main qui se ferme dans le  refus d'accueillir ou de donner n'est pas la main d'un chrétien.

Jésus va plus loin toujours et nous demande de couper un pied qui est occasion de chute. Le pied est le symbole du pouvoir. Dans l'Église de Jésus Christ, il n'y a pas de pouvoir mais de l'autorité. Le pouvoir écrase et décourage, l'autorité fait grandir. Pour Jésus et ses disciples, le seul pouvoir est le service.  Le Pape François nous le rappelle souvent et affirme que nous n'avons pas à dire aux autres quoi faire, mais à les accompagner dans ce qu'ils vivent. Tous les ministères en Église sont des services de la vie, des personnes, de la charité

Ce texte de Marc nous dit, il me semble, ce qu'est une communauté chrétienne. Elle doit être un lieu qui donne la vie et fait grandir la vie. L'Église de Jésus Christ n'est pas confinée aux frontières des Églises visibles, elle les dépasse pour rejoindre tout être humain qui s'ouvre à l'Esprit. C'est pourquoi nous sommes invités à nous convertir, à changer notre regard sur les autres, à ouvrir notre coeur et nos mains pour accueillir et servir, à convertir notre pouvoir en autorité afin de laisser l'Esprit du Seigneur agir en toute liberté.

L'Esprit dépose dans toutes les communautés les charismes de prêtres, de prophètes et de pasteurs dont nous avons besoin. Trop souvent nos structures et nos conformités nous empêchent des les voir et de les laisser travailler au nom du Seigneur et nous vivons ainsi de grandes pauvretés. Notre Eucharistie nous permet de suivre le Christ sur la route de la conversion qu'il nous propose, nous sommes disciples du Christ et non d'un groupe. Le Livre des Nombres avec Moïse nous présente la même situation. Une communauté n'est pas un groupe fermé qui monopolise tout. Nous méditons dans ce texte de Marc le rêve de Jésus. Offrons-nous dès maintenant l'Église dont nous rêvons. Est-ce que mon rêve est celui du Christ ou le mien? Nous devons être une Église prophétique, nous avons besoin de prophètes, alors ne tuons pas nos prophètes.

 

 

vendredi, 21 septembre 2018 21:12

On nous écrit.

Walter Vogels: Le petit reste dans la Bible. Cerf. 2018. Ce professeur émérite de l'Université S. Paul trace une comparaison entre le petit reste dans la Bible et celui que nous vivons aujourd'hui en Église. Comme les causes qui ont produit ce petit reste ne sntpas les mêmes aujourd'hui, sera-t-il possible à notre petit reste de revitaliser l'Église? Il termine sont étude en passant du désastre à l'espoir. Il sera possible que ce petit reste de revivifier l'Église si il se convertit à l'Évangile. Les causes de notre petit reste viennent de l'intérieur - comme si notre se refroidissait par en dedans comme un frigidaire- il appartiendra donc à nous le fidèle à nous convertir. Comme nous le dit le «pape François: devenir contemplatifs de la Parole et du monde. Cette lecture est interpellante et vivifiante. Bonen lecture.