nouvelles2

Homélies, réflexions et spiritualité

Nouvelles

Jos. Deschênes

Jos. Deschênes

mardi, 02 février 2021 15:14

Identifier sa fièvre. Mc 1, 29-39.

En lisant ce texte de la guérison de la belle-mère de Pierre, je me suis rappelé un événement vécu il y a quelques années. Une maman n'acceptait pas que son garçon marie sa bien-aimée. Elle a refusé de venir au mariage et chaque fois que le couple allait à la maison, la maman se retirait dans sa chambre. Elle vait une fièvre intérieure qui brisait la relation avec ses enfants. Plua tard cette femme a vécu une situaiton difficile et avait besoin. Sa belle-fille est allé à son secours et  la relation a changée. 

Nous avons tous ces maladies intérieures, ces maladies du coeur  ou maladies spirituelles qui brisent les relations et parfois des personnes. les miracles de guérisons de Jésus sont des occasions de nous renvoyer à notre for intérieur pour comprendre nos comportements. Ces guérisons décrivent notre état intérieur tel  que nous le cachons sous des apprences d'une vie réussie.  Elles noou sencouragent à nous regarder tels que nous sommes en toute honnêteté. Cette guérison de la belle-mère de Pierre vient me  questionner pour me faire découvrir ma propre fièvre qui brise mes relations ou les rend difficiles.   

Nous sommes habitués à voir l'acte extérieur et à le nommer péché. Mais cet acte est toujours la conséquence d'une maladie intérieure, maladie de l'âme qui change mon comportement. Il ne s'agit plus d'un acte extérieur qui me laisse un sentiment de culpabilité, mais d'une maladie intérieure qui demande une guérison. Il  ne s'agit pas simplement de demander pardon pour un acte extérieur, mais travailler à la guérison de mon mal intérieur qui me fait mal agir.  Dans ces actes de guérisons, Jésus Christ ne nous invite pas à nous laisser écraser par le poids du péché, de la culpabilité, mais à entrer dans l'appel à la guérison et la joie de la liberté retrouvée. Nous avons tous et toutes un jour ou l'autre connu  de ces moments de guérisons qui nous ont conduit à la joie intérieure. Cette guérison intérieure nous conduit à un dialogue avec le Christ dans l'Esprit Saint et ainsi nous fait goûter l'amour inconditionnel du Christ Jésus comme l'a vécu le fils cadet dans la parabole du Père en Luc 15..  Notons que Jésus arrive de la synagogue où il a prêché et son enseignement fait avec autorité dérange  les gens et provoque de la fièvre.. À la maison, Jésus va parler à la dame et la guérit.  D'où l'importance d'une écoute personnelle de Jésus Christ ou dans la rencontre d'un témoin qui m'adera à guérir mon mal intérieur.

Un moyen important de guérison est de nommer notre maladie spirituelle. Nous ne devons pas rester à l'extérieur, à l'acte posé: la colère, la rancune, la vengeance, etc ... Ces actions sont le fruit d'un mal en dedans qui fait mal agir.  C'est ce mal que nous devons nommer. Aller à la cause de nos comportements. Combien de fois ai-je entendu des personnes dire: Je vais à confesse souvent, mais c'est toujours à recommencer, ça ne change jamais. C'est que nous restons à la surface à l'acte que nous nommons péché et donc coupable. Jésus nous invite à dépasser cette écorce pour entrer dans notre monde intérieur et guérir les blessures, ces maladies spirituelles, maladies de l'âme qui me font mal agir. Comme l'Écrit Maurice Zundel, c'est apprendre à enfanter Dieu.

Alors aujourd'hui, je m'arrête un instant pour identifier et nommer ma fièvre qui rend mes relations difficiles. Pourquoi telle personne me tombe sur les nerfs? Pourquoi je suis toujours en colère avec telle autre? Ainsi je partirai sur la route de la guérison intérieure dans un franc dialogue avec mon Seigneur. C'est se connaitre intérieurement et demander au Seigneur: Guéris-moi de la fièvre qui m'empêche d'être un témoin authentique de ton amour.

mardi, 02 février 2021 14:09

au Temple.

Aujourd'hui, 2 février, nous célébrons la présentation de Jésus au Temple. Cet événement me parle ce matin. les parents de Jésus viennent au temple pour répondre à une loi qui demande de présenter tout premier-né mâle au Seigneur.  les parents viennent respecter une loi. Lc 2, 22. Nous le retrouvons au temple pour suivre la loi du pèlerinage, Lc 2, 41. Nous le retrouverons à la fin de sa vie pour faire le grand ménage. Lc 19, 45. Jésus ne fréquente pas le temple, mais la synogogue, petit lieu de rassemblement, petite communauté de partage, de communion, de fraternité. Jésus devenu adulte ne se soumet plus aux lois du système religieux du temps.

Ne serait-ce pas  ce que nous vivons un peu aujourd'hui? Les jeunes devenus adultes ont quitté la pratique du temple mais ils n'avaient pas de synagogue. Ces petites fraternités de partage et de communion., ce que nous appelons aujourd'hui "Les Maisonnées."  Dans notre contexte d'Église et de société, ces petites communautés de partage sont devenues une nécessité. Dans ces petites communautés nous verront naitre et prendre forme les ministères du baptêm; il y aura des personnes douées pour animer la prière, d'autres pour le partage de la parole, l'enseignement  et d'autres pour la charité, le rassenblement. Naitra aussi des presbutres pour l'Eucharistie et la communion entre ces petites communautés de vie et de partage. C'est l'objet de ma prière ce matin afin que le Seigneur ouvre nos yeux et nos oreilles aux besoins et aux cris de nos frères et soeurs dans la foi.

 

lundi, 01 février 2021 20:05

Nommer.

En Genèse, il est dit que l'homme nomma les animaux. Gn 2, 20. Les Pères de l'Église affirme que les animaux désignent  nos bêtes intérieures, c'est-à-dire nos déviations,nos perversions, donc nos maladies spirituelles. Il nous invitait à reconnaitre e ta nommer nos mouvements intérieurs étrangers à ce que nous sommes ocmme fille et fils du Père. Ce que certains appellent nos maladie sintérieures, spirituelles qui nous font agir du façon ocntriare à notre être profond. C'est ce que nous faisons dans une rencontre avec un médecin ou un psychologue, nous allons cerner la cause de notre maladie. Si j'ai mal à la tête, le médecin ira vérifier ce qui cause cette douleur. Il en est ainsi dans le monde spirituel. Si je suis colérique ou menteur, j'irai vérifier ce qui me fait agir ainsi. Mon agir n'est pas seulement un acte à pardonner, il est aussi et surtout  l'acte d'une maladie intérieure à guérir. La parole de notre Dieu nous révèle à nous-même au plus profond de notre être.  Guérir ses maladies intérieures, c'est trasvailler à sa paix et à la qualité de ses relations humaines et avec le Seigneur.   

 

dimanche, 31 janvier 2021 16:03

Kukum

Michel Jean: Kukum, Ed. libre expression. "Relaté sur un ton intimiste, le parcours de cette femme exprime l'attachement aux valeurs ancestrales ses innus et le besoin de liberté qu'éprouvent les peuples nomades, encore aujourd'hui." Ce livre raconte l'histoire de cette femme blanche qui épousa un homme innu et vécu leur vie nomade et de liberté au coeur de la nature. Nous rencontrons ces gens de l'intérieur avec leur respect de la vie et de la nature et nous fait mieux comprendre la tragédie qu'ils ont vécue lors de l'arrivée des blancs qui ont bouleversé complètement leur culture, leur valeur et leur façon de vivre et cela sans ménagement et je dirais sans respect des personnes. Ça nous fait lire l'histoire avec d'autres yeux. bonne lecture.

 

dimanche, 31 janvier 2021 15:42

Jésus visite mon capharnaüm.

Jésus et ses disciples entrèrent à Capharnaüm Mc 1, 21. ce matin, dimanche 31 janvier 2021, Jésus entre dans mn capharnaüm.  Un capharnaüm est un lieu embarrassé: ma mère me disait souvent va faire du ménage dans ta chembre, c'est un vrai capharnaüm. Ma vie chrétienne est parfois un capharnaüm toute remplie de pratiques et de dévotions qui encombre le terrain. L'Évangile et le temps de confinement me retournent à l'essentiel. Ma vie chrétienne est une vie de communion profonde avec le divin qui m'habite et avec mes soeurs et mes frères autour de moi. Ma vie spirituelle se nourrit de la parole de Dieu et de la communion vécue autour de moi. J'y ai mis beaucoup d'accidentel, ce m'était nécessaire un temps, mais avec les années, on entre plus avant dans notre monde intérieur où puiser la nourriture qui fait vivre. En faisant du ménage, nous découvrons que la loi du Seigneur est écrite au fond de nous-même et qu'elle monte du dedans. La prière devient ce moment de communion avec ce qui monte du dedans. La vie devient notre chant de louange. Je me rappelle le prophète Osée: Je te conduirai au désert (un temps de confinement) je parleriaà ton coeur, je te finacerai à moi dans l'amour, la tendresse et la fidélité. Bon dimanche. 

 

samedi, 30 janvier 2021 15:25

Passons sur l'autre rive. Mc 4, 35-41

Passons sur l'autre rive, est l'invitation que le Seigneur donne à ses disciples et nous lisons dans le texte que la traversée fut orageuse. La tempête s'est élevée sur le lac et Jésus est intervenu pour calmer le vent. En lisant ce texte, je me revoyais, il y a cinquante ans passés lors du Concile et de la révolution de la société du Québec. Il me semble que ces changements étaient l'invitation de Jésus de passer sur l'autre rive. Le Concile comme la révolution au Québec nous invitaient à revoir nos coutumes, nos traditions pour revenir comme nous le disait le Père Congar, revenir à la grande Tradition de l'Église.  La tempête sur le lac me faisait revivre les tempêtes vécues à l'époque. La vie ecclésiale comme notre vie personnelle a connu des moments de grand vent, de groasses vagues. J'étais jeune prêtre à l'époque et j'ai fait face à bien des tempêtes, c'était normal et je prenais exemple sur nos animaux de ferme. Quand la tempête arrivait, les animaux se tournaient le dos au vent et attendaient que ça finisse. Avons-nous atteint l'autre rive? Nous sommes toujours sur la traversée, je crois; mais beuacoup de passagers ont quitté la barque. 

Jésus s'est levé dans la barque et a apaisé le vent et la barque est entrée au port. Le Christ est toujours là dans notre barque ecclésiale; parfois nous le pensons endormi ou silnecieux comme s'il ne savait  pas quoi faire. Mais je crois qu'il nous attend simplement. La barque n'arrivera pas au rivage sans nous et le Christ respecte notre liberté et notre rythme de croissance. Mais nous courons le risque que les chrétiens qui ont quitté la barque arrivent au rivage avant nous. Puissions-nous comme Jésus Christ en arrivant au rivage trouver la foule de ceux qui ont quitté en attente  d'une parole et d'un accueil qui fassent grandir la foi, l'amour, l'entraide, la miséricorde, qui fassent grandir la VIE. Bonne journée.

 

vendredi, 29 janvier 2021 15:34

La force de la vie.

Le semeur est sorti pour semer ... Le règne de Dieu est comme une graine de moutarde qui devient un grand arbre.  Mc 4, 26. Hier soir j'entendais une mère de famille raconter ce q'elle a vécu lors de la naissance de son fils. J'y ai vu la force de la vie et de l'amour, ces petits graines semées au coeur de l'être humain et qui devient un grand arbre. Son beau message est qu'elle n'était pas comtre  l'avortement, mais pour la vie. Je me rendais compte que nous avons évacué la religion de la place publique, mais nous n'évacurons jamais Jésus Chirst et son Esprit de vie et d'amour. les gens ne le disent pas avec des mots parce qu'il ne le  connaissent pas, ils le disent par leur vécu quotidien.

Ce matin j'ai eu une autre vision de notre monde. Un couple avec huit enfants se trouvent sans toit. Comment se fait-il que dans une société comme la nôtre qui fait pourrir des argents dans les paradis fiscaux et laissent des familles sans toit pour les préserver du froid. Où sont les communautés chrétiennes qui ne s'occupent pas de leur monde? Ce que vous faites au plus petit d'entre les miens, c'est à moi que vou sle faites." Je me revoyais dans mon "petit" presbytère à Ste-Anne, seul dans une maison de 11 chambres à coucher avec 9 salles de bain. Il y a là un questionnement, c'est un héritage gênant.

En écoutant ces témoignages de vies. Et j'ajoute celui de Jean-Marie Lapointe avec la famille venue du Mexique, j'entendais Jésus dans Mathieu 11, 25: Tu es béni, Père, Seigneur du ciel et de la terre, tu as révélé aux tout-petits les mystères du royaume et tu l'as caché aux savants." Je crois que le Seigneur est en train de nous convertir, de nous évangéliser par le monde qui nous entoure. Seigneur donne-nous la force et la lumière nécessaires pour reconnaitre ta parole révélée, écrite dans notre monde d'ici.    

jeudi, 28 janvier 2021 15:12

Le Christ m dit.

Une lampe n'est pas faite pour être mis sous le boisseau mais sur le lampadaire. Mc 4, 21.  C'est à chacun et chacune de nou sque le Seigneur dit cela ce matin: Tu as une lumière en toi, lumière de ta foi, de tes talents, de ton amour, de toutes tes valeurs ne les laissent pas dormir en dedans de toi, mais éclaire. Un jour Montalembert faisait un discours et l'horloge de la salle s'est mis à sonner onze coups. L'homme s'est arrêté et à la fin de la sonnerie, il a dit: sa mission est de sonner les heures, quand votre tour viendra de sonner faites-le. Ne laisser personne vous empêcher de réaliser votre mission. 

tout être humaina une mission à réaliser, il a les talents nécessaires pour le faire. Dans notre monde, il y a trop de gens que nous laissons dormir sur un trésor ou que nous obligeons à dormir pour ne pas qu'il dérange.  L'Esprit a déposé en nous et dans nos communautés tous les dons, charismes dont la vie a besoin pour grandir. Parfois nous avons peur de les exercer parce nous dérangeons les systèmes, les coutumes établies. Jésus me dit: Ne laisse pas ta lampe sous le boiseau de la peur, de la paresse et éclaire. Nos communautés chrétiennes ont tout ce dont elles ont besoin pour animer leur vie de foi et de prière, ne laissons pas dormir sous le boisseau tous ces charismes. Il y a là une piste de discernement et de méditation très intéressante. Bonne journée.

 

mercredi, 27 janvier 2021 15:10

Un pasteur.

Le témoignage de Saint Paul nous révèle la force et le sens du ministère du pasteur. Nous sommes tous pasteurs de par notre baptême. Alors quand Paul témoigne du pasteur, il parle de chacun de nous. Les époux sont pasteurs l'un pour l'autre et pour leurs enfants, et les enfants pour leurs parents. Les professeurs pour les élèvent et l'inverse. Toute personne qui vit une relation vraie avec quelqu'un devient pasteur pour cette personne.  Allons méditer cela avec notre ami Paul.

Le pasteur est quelqu'un qui a fai tune rencontre personnelle avec le Christ ressuscité et présent en lui. "Ce n'est plus moi qui vit, c'est le Christ qui vit en moi". Il a l'odeur du Christ.

Le pasteur aime profondément et accompagne les personnes avec qui il travaille et vit. Il est un serviteur et non un maitre ou un propriétaire. Il a l'odeur des brebis.

Le pasteur est un contemplatif: contemplatif du Christ vivant et contemplatif du monde dans lequel il s'insère. C'est ce que le Pape François nous recommande. Contempler, c'est se laisser imprégner et transformer par Jésus Christ le Bon Pasteur, et par le monde avec ses besoins, et comme première résidence du Christ resusscité. C'est devenir l'homme des béatitudes.

Le souci du pasteur est de conduire les gens à une rencontre personnelle avec le Christ dans le respect du cheminement de chacun.

Il est un être de prière qui conduit à l'action missionnaire. Il est le serviteur de la communauté.  Il est un amoureux des communautés chrétiennes qu'il rassemble dans l'amour, la paix et la joie. 

Continuons de méditer et bonne journée.

 

mardi, 26 janvier 2021 15:20

Sors de cet homme. Mc 1, 21-28.

Marc met Jésus en face d'un malade possédé par un esprit mauvais. L'évangéliste veut nous montrer d'une part le ministère de guérison de Jésus, et d'autre part que la maladie est tooujours une forme de possession. Jésus est venu libérer l'être humain de tout ce qui l'empêche d'être adulte et libre. Ce démon qui possède cet homme représente toutes nos idées fixes, nos compulsions, nos complexes qui nous figent dans des positions   durcies qui emprisonnent notre liberté d'être humain. Toutes ces idées et ces théories qui brisent l'idée de Dieu et de l'être humain en nous. Aujourd'hui encore Jésus doit nous libérer de ces idées fixes et de fausses conceptions de Dieu qui entravent notre liberté.

Le texte nous dit: "Jésus parlait avec autorité non comme les scribes. Les scribes sont des gens instruits qui répètent ce qu'ils ont appris. Jésus parle avec le coeur et parle de son vécu. Il est un témoin et non un haut-parleur. J'ai déjà écrit que mon meilleur porfesseur de religion fut celui de mathématique. Il nous parlait de son expérience, il parlait avec son coeur et non seulement à nous faire répéter des choses apprises. Cela vient du dedans et c'est pour cela que les gens en sont bouleversés et imprégnés. Les gens sentent que Jésus partage une expérience du Père, comme dira Paul; "Ce n'est plus moi qui vit, mais c'est le Christ qui vit en moi."

Lorsque l'esprit quitte l'homme,  celui-ci est pris de transes et de convulsions. Lâcher prise est toujours un moment difficile. Nous le vivons souvent dans nos vies à l'occasion de changement ou d'échec, les sentiments de colère, de peur se font jour en nous. Nous sommes pris de convulsions. Nous libérer de nos fausses images de Dieu,  de l'enfer, du péché provoquent souvent un phénomène soit de rejet, de colère, d'impuissance qui nous terrassent. Beaucoup de chrétiens aujourd'hui devant les changements de la société et dans l'Église vivent des transes et des convulsions. Cela leur parait difficile à accepter. Le petit diable des structures et de nos éscurités nous brasse la cage. Pour nous guérir de ces démons nous avons besoin de l'Esprit du Seigneur. Comme pour Sant Paul, il nous est nécessaire de tomber de notre "cheval" et parfois nous tombons de haut. Redevenir nous-même, libre et guérit de nos démons est le travail de l'Esprit avec nous.    

Dans le deutéronome, le Seigneur dit qu,il fera surgir un prophète parmi le peuple et "Je mettrai dans sa bouche mes paroles."  Ce prophète est venu en la personne de Jésus. Ce prophète vient encore aujourd'hui, il est là présent au coeur de nos vies pour nous guérir de nos petits diables et faire de nous des chrétiens et des témoins du Christ ressuscité. Nous avons sans doute besoin d'être guéris des démons qui nous empêchent de rejoindre les hommes, les femmes et les jeunes d'ici aujourd'hui. Nos petits démons des idées fixes, des structures,  de nos sécurités. Le prophète qui peut réaliser tout cela est au coceur de nos vies Laissons-nous transformer par ce prophète au coeur de pasteur.  Et surtout reconnaissons-le en nous et dans nos soeurs et frères chrétiens.

Page 73 sur 246