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Homélies, réflexions et spiritualité

Filtrer les éléments par date : décembre 2015
vendredi, 18 décembre 2015 16:51

Une bonne lecture.

André Myre: Venez voir Jésus de Nazareth. Novalis 2015. Avec son expérience de professeur et sa qualité de bibliste érudit, l'auteur nous brosse un tableau du Jésus de Nazareth. En ce temps des Fêtes, les textes sur la naissance de Jésus et ses premiers pas  dans la sphère publique sont très nourrissant et libérant. Nous avons un regard sur ces moments qui libère de certaines croyances et nous approche du Jésus de Nazareth dans une perspective de foi adulte. Cette lecture nous garde dans un état de contemplation tout au long du livre. Je vous souhaite d'excellents moments spirituels. 

Publié dans Nouvelles
jeudi, 17 décembre 2015 18:08

La miséricorde a-t-elle un visage?

Nous sommes dans l'année de la miséricorde demandée par notre Pasteur François. La miséricorde est-elle un mot? un thème de dissertation? Ou a-t-elle un visage?

Le premier visage qui me vient à l'esprit est sans contredit celui de Jésus Chirst. Il s'arrête à Naïm près de la veuve réduit à la mendicité et lui redonne son fils, sa capacité de vivre; il lui permet du même coup de retrouver sa dignité de femme. Il donne à manger aux foules qui l'ont suivi et sont devenues affamées. Il accueille dans son paradis le larron crucifié auprès de lui. Et combien d'autres exemples encore ....

D'autres visages aussi s'alignent sur la route de ma mémoire. Je vois le visage de cette maman qui durant de longues années avec beaucoup d'amour prend soin d'un enfant malade. Le visage de parents qui accueillent avec tendresse leur fils revenu brisé par la drogue, l'alcool et l'aident à se guérir. Le visage de tous ces gens qui avec la guignolée redonneront de la joie à beaucoup d'enfants à Noêl. La miséricorde a beaucoup de visages autour de nous.

Apprenons à célébrer la miséricorde là où elle montre son visage: dans nos centres de bénévolat, dans les maisons d'accueil pour femmes victimes de violence, les personnes qui accompagnent en fin de vie, etc ... Jésus Christ est présent là d'une présence réelle comme dans l'Eucharistie. Quand nous aurons vécue, reconnue ces visages de la miséricorde nour pourorns ensemble célébrer en vérité la miséricorde du Seigneur qui s'exprime au quotidien dans nos porpres vies personnelles.

La miséricorde n'est ni un mot, ni une théorie, ni une célébration, elle est un visage qui se manifeste à nous chaque jour, qui convertit notre propre visage pour que nous devneions aussi VISAGE DE MISÉRICORDE.

Publié dans Spiritualité
mercredi, 16 décembre 2015 15:20

Babel.

   "La terre entière se servait de la même langue et des mêmes mots. On sedéplaçait vers l'Orient. (...) Allons moulons des briques, bâtissons-nous une ville¸et une tour dont le sommet touche le ciel. (...) Dieu brouilla leur langue et ils se dispersèrent." Gn 11, 1 sss.

Les êtres humains utilisaient la même langue et demeuraient enfermés dans un même lieu. Ils avaient créé l'uniformité du lieu comme de la langue. Cette uniformité avait aboli les différences et ils voulurent abolir même les différences avec Dieu en se bâtissant une tour pour atteindre le ciel.

Au Paradis terrestre, dans une crise de croissance, les êtres humains voulurent faire disparaitre les différences entre eux et avec Dieu. Ils voulaient être des dieux. a Babel, les gens veulent aussi abolir les différences et être des dieux. Ils doivent faire l'expérience de leurs différences, c'est pourquoi ils se dispersèrent. Ils comprirent que l'on n'atteint pas Dieu par la force ou ne voulant être comme Lui, mais par l'amour et la communion. Ils comprirent aussi que l'uniformité était néfaste à la vie et qu'ils devaient recherché l'unité dans la diversité, l'unité dans les différences. Babel est une crise de croissance où le peuple fait l'expérience de l'importance de la communion dans la diversité. Les gens sont partis selon leur langue ou leurs talents bâtir le réegne de Dieu. Comme un parterre n'a pas une seule fleur mais sa beauté vient de la diversité des fleurs.

Ne serait-ce pas un peu ce que nous sommes en train de vivre? Nous avons connu l'uniformité, même langue, même comportement, etc ... Notre pratique religieuse comme certains énoncés dogmatiques étaient un peu comme cette tour de Babel où nous étions certains de rejoindre Dieu  Un jour les chrétiens ont voulu vivre leur propre identité. Ils sont partis expérimenter leur propre façon de vivre l'Évangile. Ils ont voulu briser l'uniformité pour vivre les différences. Et la beauté du monde commence à s'exprimer. Les chrétiens ont voulu vivre leur relation à Dieu selon ce qu'ils étaient et non selon ce que nous leur demandions d'être. Dieu vient créer l'unité dans cette diversité. C'est là le défi qui nous est lancé comme chrétiens de bâtir la beauté du règne de Dieu dans cette diversité voulue par la Créateur.

Ce serait aussi mon voeu de Noël que nous apprenions ensemble à bâtir l'unité dans la diversité des dons, des talents, des langues, des pensées, dans le respect de chacun et chacune.

 

Publié dans Textes de réflexion
mardi, 15 décembre 2015 19:32

Heureuse rencontre.

Réjouis-toi terre de chez nous car de toi sortira ton berger. Voila la merveillesue nouvelle du prophète Michée pour nous aujourd'hui. Ce berger est né depuis deux mille ans et continue de naitre chaque jour dans le coeur de chacune et chaucne de nous.

Ce berger, Marie est allé toute joyeuse l'annoncer à Élisabeth. Et lors de cette visite, Jean a tressailli dans le sein maternel. Voila aussi la merveillesue nouvelle que Marie nous apporte aujourd'hui. Par Marie, Jésus est allé visiter Jean avant sa naissance. Par nos Marie d'aujourd'hui, Jésus continue d'aller visiter les Jean de ce monde.

C'est Noël chaque jour chantons-nous à chaque année. C'est Noël chaque fois qu'on essuie une larme, chaque fois qu'on oublie une injure, que l'on visite un malade. Car Noël, c'est l'amour.  Jésus continue de naitre dans chaque être humain fruit de ces gestes d'amour donnés. A l'exemple de Marie, nous sommes invités à porter cette joie autour de nous.

Marie m'invite à être comme elle un porteur de Dieu, un tabernacle vivant qui présente le Christ. Non un tabernacle de bronze fermé à double tour, mais un tabernacle vivant ouvert qui donne et fait tressaillir le monde. Nos Jean Baptiste ont besoin de rencontrer le Seigneur, d'être accueillis par la tendresse et l'amour de Dieu. Nos Jean Baptiste sont assoiffés de spiritualité et de liberté, sont assoiffés d'être reconnus et acceptés comme ils sont sans jugement et avec amour. Notre présence, nos visites doivent faire tressaillir  le petit jean dans le coeur des autres autour de nous. Notre monde a besoin de ces Marie d'aujourd'hui qui savent porter Jésus au monde.

Nous sommes entrés dans l'année de la miséricorde, moment important de grâce où nous pouvons accueillir et manifester la tendresse de Dieu. Réjouis-toi car ton berger vient te visiter, ton berger t'invite à chanter: Mon coeur est à la tendresse parce qu'il a goûté la tendresse de son Seigneur.

Joyeux Noël à vous tous.

Michée 5, 1-4, Luc 1, 39-48.

Publié dans Homélies
dimanche, 13 décembre 2015 14:07

Un Noël pas comme les autres.

Un jour, chargées de bagages, des familles partirent à pied à travers bois se tracer une route, se bâtir un campement et commencer à vivre. C'était une naissance, naissance d'une nouvelle paroisse en Gaspésie. C'était la naissance d'un lieu de vie, lieu de travail, lieu de lutte pour l'avenir. Lieu où des hommes et des femmes ont exprimé leur foi en la vie, foi en l'être humain et foi en Dieu.

En ce temps-là on ne comptait pas sur les subventions du gouvernement, ça n'existait pas. On mettait la main à la hache, on jouait de la sciotte, on se laissait piquer par les maringuoins et on avançait allègrement dans la vie.

Les gens avaient une richesse. Ils avaient de vraies nuits avec des étoiles en abondance. Pas des nuits éclairées par les réverbères qui cachent la beauté. Dans ce temps-là aussi on se plaçait sous la protection d'un saint soit par foi où par superstition. Ce nouveau lieu de vie on la plaça sous la protection de St-Bernard.

Dans ce nouveau lieu, c'était noël souvent. Les enfants naissaient nombreux et c'était Noël presqu'à l'année durant. Mais un jour doucement, sans faire de bruit, les lumières se sont étentes les une après les autres. L'oeil des maisons s'est fermé. L'oeil de l'église a cligné une dernière fois. La cloche n'appelait plus personne pour les célébrations. Les gens étaient tous partis vers un monde rêvé comme meilleur. Noël n'était plus là. Il avait déménagé. Là-bas dans la montagne, c'était le silence. Il n'y avait plus que la lune et les étoiles. Noël était allé naitre ailleurs.

Publié dans Nouvelles
vendredi, 11 décembre 2015 17:25

Une redécouverte essentielle.

Richard Guimond écrivait: "L'Église est née autour de la table dans un cadre domestique. Elle ne renaitra pas autrement. Elle ne sera pas refondée autrement."

Aujourd'hui, nous fermons des églises et malheureusement nous demandons aux chrétiens d'aller chercher les services religieux à la paroisse voisine.. Les commerces font la même chose. Notre Église est -elle devenue un simple fournisseur de services religieux que nous prenons là où ils sont offerts.

La fermeture des églises dans les petites communautés spécialement est l'occasion privilégiée de retrouver l'Église comme lieu de communion et de fraternité. Le problème le plus grave de notre Église n'est pas la baisse de la pratique dominicale, mais l'absence chronique de communauté. "En fermant les lieux de la prière commune, de la parole commune,  de la joie et de la peine communes, on oublie l'aspect essentiel du christianisme: LA COMMUNAUTÉ."

Il est essentiel d'assurer que les chrétiens de ces petites paroisses continuent de se rassembler pour la prière et la parole communes et bâtir ensemble des communautés à taille humaine. L'accent doit être mis sur la communauté, sur la rencontre de fraternité avec ou sans Eucharistie et animée par des chrétiens. L'important n'est pas tant le rite ou la façon de faire que la prière, la communion et la fraterntié.  C'est là qu'un jour naitront les pasteurs dont la communauté a besoin.

Il nous faut favoriser les repas de fraterntié qui sont repas de communion et deviennent repas de prière et d'action de grâce. Madeleine Delbrel écrit: "En face de l'Évangile, ce n'est pas d'être peu nombreux qui est grave, c'est d'être immobiles  et de marcher comme des vieillards."

Ces repas de fraternité feront naitre l'Église de demain et sont la responsabilité des chrétiens. Ces repas de fraternité autour de la parole et de la prière nous ferons passer de la paroisse territoire à la paroisse communauté et communion. Ces nouvelles paroisses feront surgir leur pasteur et assureront leur pérennité. L'Église est née autour de la table dans un cadre domestique et renaitra dans ce même décor.

Collectif: Le repas aujourd'hui ... en mémoire de Lui. Médiaspaul. (encore d'une très grande actualité).   

Publié dans Spiritualité
vendredi, 11 décembre 2015 14:16

Nous avons perdu ...

Nous avons perdu Monsieur Jésus Christ, avait dit Guy Paiement. Et oui! Il n'y a plus de crucifix dans les écoles et les places publiques, les enfants arrivent à la catéchèse sans connaitre Jésus, très peu de gens disent le chapelet ou vont à la messe, et plusieurs cherchent un sens à leur vie. Nous avons perdu Monsieur Jésus Christ.

Des personnes se sont réunies et ont décidé de le chercher. Après une semaine de recheche, on n'avait pas retoruver les crucifix, même que dans plusieurs maisons il n'y avait pas de crucifix. Les chapelets étaient mêlés et impossible de s'en servir. C'était désolant.

Un bon jour, une dame arrive et s'écrie: J'ai trouvé Monsieur Jésus Christ. Hier j'ai vu une maman qui depuis 40 ans soigne avec amour un enfant devenu comme un légume, j'ai croisé au magasin des personnes qui cueillaient des denrées pour les pauvres afin de leur donner de la joie à Noël, j'ai entendu quelqu'un prendre la défense des femmes humiliées, maltraitées et même tuées; J'ai compris que Jésus Christ était vivant au milieu de nous. J'ai compris que nous cherchions Jésus Christ là où il n'était pas. Jésus Christ n'est plus sur la croix, il est ressuscité. Nous l'avions oublié! Nous avons trouvé Monsieur Jésus Christ au coeur de la vie, au coeur du monde. Quelle belle journée de communion et d'action de grâce nous avons passé avec Jésus Christ marchant avec nous sur le trottoir de notre petit village au coeur de notre quotidien. Ce soir, ma prière sera un merci pour ta présence chaude au coeur de ma vie.

Nous devons arrêter de regarder ce que nous perdons pour accueillir ce que nous retrouvons. Nous perdons des signes extérieurs importants sans doute mais ce vide nous permet de revenir à l'essentiel. Ma loi est inscrite au fond de votre coeur nous dira le Seigneur en Ezéchiel. Ne cherchons pas en  dehors ce que nous avons en dedans. Nos prières, nos signes extérieurs seront l'expression de ce que nous avons en dedans. Ils auront la chance d'être plus vrais et plus durables.   

Publié dans Textes de réflexion
mardi, 08 décembre 2015 15:36

Anée jubilaire de la miséricorde.

Aujourd'hui, 8 décembre 2015, s'ouvre dans le monde entier une année jubilaire de la miséricorde demandée par notre pasteur le Pape Fançois. Ce sera pour nous chrétiens l'occasion de contempler le Père miséricordieux pour devenir chez nous témoins de miséricorde.

Notre Évêque de Gaspé nous invite à vivre cette année comme:

Une année pour contempler Jésus, visage de la miséricorde de Dieu notre Père.

Une année pour devenir nous-mêmes miséricordieux comme le Père.

Une année pour que nos familles soient toujours plus des lieux d'amour et de paix dans la miséricorde  vécue au jour le jour.

Une année pour que nos communautés chrétiennes deviennent en vérité des ilots de miséricorde où chaque personne se sente accueillie, respectée et aimée.

A cette invitation j'ajoute ma propre invitation: Prendre le temps d'aller contempler sur le terrain comment aujourd'hui se vit la miséricorde dans les  familles et nos communaués paroissiales. Nous y trouverons certes des motifs d'action de grâce et des exemples édifiants.

On nous invite aussi à ouvrir une porte de la miséricorde. Il y en aura certes une dans chaque diocèse. Il devra y en avoir une dans chaque personne. La première porte à ouvrir est celle du coeur. Les autres n'en seront que le signe ou le symbole.

La parabole à méditer parmi tant d'autres est celle de la joie du fils retrouvé dans Luc 15. Jésus nous présente la joie du père qui retrouve son fils parti à l'aventure. Le Père nous révèle la joie de retrouver son fils, de retrouver ses entrailles de père pour l'accuillir. Dans sa joie, il fait la fête. Nous pourrions apprendre à l'imiter quand un chrétien parti vient demander un service à notre communauté. Sommes-nous heureux de retrouver un fils ou une fille même s'il ne célèbre pas à l'église? Sommes-nous prêt faire la fête?  N'oublions jamais qu'après ces paraboles, Jésus  nous a dit: "Je vous ai donné l'exemple pour que vous fassiez de même." Cette année de la miséricorde sera aussi pour nous et pour nos communautés chrétiennes une année de conversion profonde. Le Pape François nous invite aussi à devenir des contemplatifs du monde dans son texte sur la Joie de l'Évangile. Dans nos communautés chrétiennes se vivent des moments et des actes de profonde miséricorde qui passent ignorés. Il faudra éviter frères et soeurs chrétiens que cette année ne soit qu'une année de prière et de rites liturgiques. Marie partant vers Élisabeth nous entraine avec elle vers les  frontières, sur les routes de la Galilée de nos paroisses pour faire tressaillir le Christ au coeur de la vie. Devenir des pèlerins et des contemplatifs de la miséricorde.

Publié dans Textes de réflexion
mardi, 08 décembre 2015 14:43

Soyez dans la joie.

Le thème de notre dimanche nous invite à la joie. Il me semble difficile de vivre joyeux devant tout ce qui arrive de terrible dans notre monde. Cependant la joie vient-elle de l'extérieur ou de l'intérieur? Regardons de plus près.

Être dans la joie, c'est être bien en dedans. Être dans la joie, c'est être heureux en dedans. C'est vivre ce qui nous semble le meilleur pour nous. Être heureux, c'est la satisfaction d'avoir fait ce qui nous semblait le mieux. Ce que Jean Vanier appelle "vivre selon la musique de son être."

Je crois que les textes de notre liturgie nous invitent à cet état intérieur de beauté. L'Évangile nous dit: "Ne faites de tort à personne, ne demandez pas plus que ce à quoi vous avez droit ou besoin." Nous sommes des êtres créés à l'image de Dieu donc des êtres faits pour aimer et partager. Être dans la joie, c'est de vivre au mieux ce que nous sommes. Sophonie dira également:  Soyez dans la joie car le Seigneur est proche et vous révèlera à vous mêmes. Il révèlera le fond de votre coeur. Le Seigneur assure que rien ne pourra nous enlever notre joie parce que c'est lui qui nous la donne et elle fait partie de nous même.

Devant ce qui se passe dans notre monde, nous pouvons être triste, cependant ce qui vient de l'extérieur ne peut m'enlever ma joie de vivre intérieurement. Si j'agis selon mon coeur, selon ma conscience, ce qui extérieur ne peut m'enlever ma satisfaction personnelle et ma joie intérieure. Ma joie vient de la qualité de mon coeur et de mon agir en conformité avec ce coeur.

Être dans la joie intérieur devant les difficultés du monde, c'est un peu comme la fleur qui pousse au milieu des mauvaises herbes. Doucement la fleur s'épanouit grâce à la main du jardinier qui a permis à la fleur de s'épanouir pleine de bonheur même entourée de mauvaises herbes. Être dans la joie, c'est être capable de s'épanouir comme être humain et chrétien au milieu des vissiscitudes du monde.  Être dans la joie selon l'Évangile, c'est aller au fond de soi-même chercher ses beautés et ses forces pour permettre de s'épanouir au milieu des mauvais coups de la vie autour de nous.

Seigneur donne-nous la force de nous épanouir dans la joie aujourd'hui et ainsi de resplendir de ta pésence. Et vivons dans l'action de grâce en ce premier dimanche de l'année de la miséricorde. Sophonie 3, 14; Luc 3, 10-18.

Publié dans Homélies
lundi, 07 décembre 2015 17:32

La compassion

Bernard Ugueux: La compassion, j'y crois. Bayard. Un missionnaire nous fait part de son expérience de compassion en Afrique. Nous y découvrons un pasteur près des souffrants, des pauvres, des mal gommés de la société. Ce n'est pas l'histoire d'un homme qui a regardé la misère et s'est contenté de prier; c'est l'histoire d'un pasteur qui a engagé sa vie pour aider, soutenir et défendre les opprimés de ce monde. C'est "une réponse aux effets déshumanisants de la violence et de la guerre." Bonne lecture.

Publié dans Nouvelles
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