Spiritualité

Homélies, réflexions et spiritualité

Spiritualité

Jos. Deschênes

Jos. Deschênes

mercredi, 02 novembre 2022 17:51

2 novembre.

Aujourd'hui, nous parlons de célébrer la commmoration des défunts. Cette fête nous invite à passer du souvenir à la mémoire.

Le souvenir nous garde dans le passé, on se souvient des événements vécus, des moments de bonheur avec nos défunts.

La mémoire nous envoie davantage aux valeurs laissées,  aux liens qui nous unit à eux, à l'énergie de poursuivre le chemin tracé avec eux. Il s'agit de faire mémoire des valeurs qui étaient les leurs pour les vivre encore aujourd'hui. Ainsi au lieu d'être prisonnier du passé, nous sommes lancés dans la vie et l'avenir.

mardi, 01 novembre 2022 14:53

Le chemin de l'Amour. Luc 20, 27-38.

Comment parler de résurrection aujourd'hui dans un monde tellement étranger à cette question? C'est le diemne devant lequel nous sommes. On ne peut simplement répéter nos mots d'hier parce que la parole de Dieu prend un accent différent selon les temps où nous nous situons. La parole de Dieu s'ajuste aux besoins et à la spiritualité des temps que nous traversons. Elle est vivante et s'adapte aux nouvelles réalités. 

Dans l'Évangile d'aujourd'hui, des messieurs Saducéens se croyant intelligents demandent à Jésus: La femme qui a eu sept maris, duquel sera-t-elle la femme au Paradis. Et la réponse de Jésus, je la traduirais: Vous ne connaissez rien des Écritures. Vous n'avez pas lu les écritures. Nous sommes, nous aussi, dépourvus de réponses parce que nous ne lisons pas les Écritures. La Parole de Dieu explique beaucoup de choses si nous savons nous arrêter et prendre le temps de la méditer.

La vie avant la naissance est très différente et nous n.avons pas de souvenirs de ce temps.; seul notre subconscient conserve des impressions. La vie après la mort est ainsi faite. Nous ne la comprenons pas et ne pouvons l'imaginer. Est-ce une raison pour se dire qu'il n'y a rien? "Une personne qui meurt n'est pas un mortel qui disparait, mais un  immortel qui commence, disait Doris Lussier. Je cois que la vie a couté trop cher à Jésus Christ pour finir dans un tombeau. 

 Chaque être humain dès sa naissance est sur le chemin de l'Amour et l'Amour divin qui nous habite est éternel. L'amour que nous portons aux autres ne s'explique pas, il se transmet, se vit et se donne. Et l'amour en moi est la réponse à l'amour de Dieu pour moi, il est la réponse à l'amour du christ dans ma vie. Il en est ainsi de la foi. La foi ne s'explique pas. elle se vit, se partage et se donne.  Et la foi que je porte "est la réponse de la foi que le christ porte à l'être humain. Le premier qui aime est Dieu, le premier qui a la foi est Dieu." Jésus Christ nous a montré sa foi en l'être humain dans sa rencontre avec Zachée, le paralytique, le choix des disciples, etc. 

Saint Augustin disait, il n'y a pas deux amours, c'est celui de Dieu qui se partage en nous et par nous. Ainsi il n'y a pas deux fois, celle de l'homme et celle de Dieu C'est la foi de Dieu en l'homme qui se manifste et se vit. "Celui qui dit aimer Dieu et n'aime pas son frère est un menteur" Jn 4, 20. Ainsi celui qui dit croire en Dieu et ne croit pas en l'homme est un imbécile, écrit Jean-Marie Petitclerc. Nous croyons en un Dieu qui croit en l'homme.

Alors ce Dieu en Jésus Christ nous parle de résurrection, c'est à dire que la vie ne finit pas avec la mort. Elle est trop importante pour finir ainsi. Notre Dieu est le Dieu des vivants, le Dieu de nos pères, de ceux qui nous ont précédés. L'Évangile nous le dit que le Seigneur n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Je crois que la vie s'est transformée jusqu'à l'apparition de l'être humain, cette vie ne peut pas finir dans un tombeau. Nous le croirons en allant en Galilée, c'est là que nous le verrons. Descendre dans la Galilée de nos vies, dans le creux intérieur de notre coeur pour que grandisse notre foi en cette vie éterenelle dans laquelle nous sommes embarqués.  C'est notre prière aujourd'hui.

 

 

mardi, 01 novembre 2022 14:25

La Toussaint.

Aujourd'hui, premier novembre, l'Église nous fait célébrer la fête de tous les saints et saintes. C'est pourquoi je commence ma méditation en vous souhaitant bonne fête à vous toutes et tous qui me lirez aujourd'hui. J'aime beaucoup me rappeler Saint Paul qui écrivait à ses communautés en leur disant: Paul apôtre de Jésus christ de par la volonté de Dieu aux saints et fidèles d'Ephèse, ou de Colosse ou de Philippe. Paul saluait les saints de ses communautés. Nous sommes des saints sur la route de la perfection. Nous n'avons pas cette bonne habitude de Paul pour se saluer en communauté. 

La Toussaint est aussi un fête de la reconnaissance pour tous ceux et celles qui nous ont précédés et ont contribué à faire ce que nous sommes. Pensons à nos parents, nos amis et toutes les personnes qui ont eu une influence dans nos vies. Ils continuent d'être présents à nous d'une autre façon et de veiller sur nous. "Les morts cessent d'être vivants quand les vivants les oublient."

L'Évangile nous fait relire les béatitudes qui sont, selon un bibliste, le vêtement nuptial de la Nouvelle Alliance. À l'instar de Moïse, Jésus gravit la montagne pour enseigner les béatitudes. Il nous indique d'une part qu'il est dans la continuité de l'Ancien Testament qu'il porte à sa plénitude, et d'autre part, il nous invite à prendre un peu de hauteur spiriteulle face au monde pour bien comprendre son enseignement. Jésus prend le temps de s'asseoir pour enseigner. C'est important ce qu'il vient dire et il prend le temps. C'est l'invitation qu'il nous lance au milieu des trépidations de la vie. Prendre le temps de s'asseoir pour rencontrer les autres.

Son enseignement commence par ce mot: "Heureux." Oui, heureux es-tu si tu te mets en route vers la pauvreté du coeur....  Les béatitudes sont comme une collection de verres qui s'emboitent les uns dans les autres et la première contient toutes les autres. Les pauvres de coeur sont des gens "à bout de souffle" qui ne peuvent plus rien par eux-mêmes et qui comptent sur le Christ. Nous sommes invités à être ces pauvres de coeur dont la seule richesse est le Christ Jésus vivant en nous. Bonne journée.

 

jeudi, 27 octobre 2022 14:51

Descend de ton sycomore.

Zachée, à cause de sa petite taille, était grimpé dans un sycomore, aujourd'hui on dirait un sapin ou un érable. Pauvre petit homme, il avait besoin d'un escabeau pour voir Jésus. Jésus va rompre avec les coutumes ou histoires du pays et lui dit: Pauvre Zachée, descends vite car non seulement je veux te voir, mais je veux aussi prendre un repas avec toi, c'est à dire, je veux communier à toi; je veux te rencpntrer.  Zachée était au niveau des yeux et Jésus le fait descendre au niveau du coeur. Jésus lui fait découvrir la qualité de son coeur.

C'est une belle mission qui nous est donnée aujourd'hui: découvrir la beauté et la bonté du coeur des personnes qui nous entourent. Dans notre sycomore, nous jugeons trop souvent sans connaitre le coeur et l'histoire des personnes.  Il faut nous arrêter, faire silence et écouter battre le coeur de Dieu près de nous. Il y a des coeurs bons et pleins de tendresse comme il y a des coeurs blessés qui saignent encore et qui ont besoin d'une oreille attentive. Nous jugeons les autres à partir de l'agir alors que Jésus voit le fond des coeurs.

Jésus nous conduit sur la route de la conversion. Il nous dit: Je suis là  près de toi et j'attends. Je suis là près de toi dans le jeune qui ne vient plus à l'église parce qu'il ne trouve pas ce dont il a besoin pour nourrir sa vie de foi; je suis là près de toi dans ces femmes violentées, ces enfats mal aimés qui ne trouvent plus à l'église la parole dont ils ont besoins pour panser leurs plaies.  Beaucoup de nos soeurs et frères dans la foi attendent et ont besoin du regard de Jésus pour transformer leur vie. C'est à nous de le leur donner.  Nous sommes souvent sur le sycomore de nos lois liturgiques, de nos pratiques sacramentelles, de nos belles théories et nous oublions d'écouter et de regarder comme Jésus. Identifions nos sycomores er descendons au niveau de la vie pour que nos Eucharisties retrouvent la force et la profondeur que le Christ a voulu. Non pas un rite, une célébration, mais une vie donnée, une vie d'amour partagée, une vie d'écoute et de guérison.  Jésus  veut que non seulement nous voyions les autres, mais que nous les rencontrions. Changeons notre regard pour le mouler sur celui de Jésus.

 

mardi, 25 octobre 2022 14:12

Oh! Ce regard. Luc 19, 1-10.

Oh, ce regard, je ne l'oublierai jamais, chantions-nous autrefois. Nous pensons au regard de Jésus posé sur Pierre au moment de son reniement chez Pilate, ce regard posé sur le jeune homem riche, et aujourd'hui à ce regard levé vers Zachée dans son sycomore. Ce regard qui transforme, guérit et mat en route.

Zachée était ce petit homme à l'extérieur mais grand en dedans. Poussé par la curiosité et peut être aussi par un mouvement intérieur plus prtofond, il court monté dans un sycomore pour voir Jésus parce que la foule l'empêche de le voir. Pauvre Zachée, il va faire la découverte qu'il ne suffit pas de grimper dans un arbre pour montrer son postérieur aux gens afin de rencntrer Jésus. Jésus se reconnait au quotidien de la vie, au ras du sol et non dans les nuages.  Zachée est un collecteur d'impôt qui n'est pas très bien vu du peuple, mais notre texte ne le dit pas. Sans doute, pense-t-on,  que Jésus va aller manger chez monsieur le curé ou le maire, des gens dignes de l'accieillir. Mais coup de théâtre...

Jésus lève les yeux, voit notre ami dans son sycomore et lui dit: Descends vite: Aujourd'hui, il faut que j'aille demeurer dans ta maison. Vite il descendit et le reçut avec joie. Jésus lève les yeux et le fais descendre de son piedestal. Zachée était venu avec un brin de curiosité et le voila l'hôte privilégié de Jésus. Jésus lève les yeux, ce regard de Jésus change tout le cours de la vie de notre bon Zachée. Une fois à la maison, Zaché dit à Jésus: Je fais don aux pauvres de la moitié de mes biens et si j'ai fait du tort à quelqu'un, je vais lui rendre quatre fois plus. Notons la réaction des gens autour: Il est allé manger chez un pécheur. Quel scandale!

Zachée est sans doute l'image de toutes ces bonnes gens méprisées auour d'eux mais remplies de blessures et de bonne volonté comme nous en connaissons sans doute. Ces pauvres de coeur et matériellement aussi qui sont affublées trop souvent d'épithètes pas très flateuses. Jésus n'a pas fait un sermon à Zachée, il ne lui fit aucun reproche, IL LÈVE LES YEUX. Jésus le regarde et le fais descendre à son niveau, sur le chemin. Aujourd'hui Jésus lève son regard vers moi sur le sycomore de mes pratiques religieuses, de mes prières, du respect des obligations pour me dire: Descends, je veux entrer chez toi pour diner. C'est au ras du sol, au quotidien de la vie que je veux te rencontrer d'abord. Comme Jésus a dit au matin de la résurrection aux siens. Allez en Galilée, c'est là que vous me verrez. Dans le contexte d'Église que nous vivons, il nous est facile de grimper dans notre sycomore de nos pratiques, pour regarder les autres de haut et les regarder passer.

Jésus a changé la vie de Zachée avec un regard chargé d'amour. Ce regard a éveillé chez lui une volonté d'être meilleur, de changer de vie. "Oh ce regard, je ne l'oublierai jamais."  C'est ce à quoi nous invite le pape François dans "la joie de l'Évangile." le Pape nous invite à avoir un coeur de mère dans nos exhortations. Zachée est aussi un chercheur de Dieu comme beaucoup de nos contemporains. Souvent un regard chargé d'amour suffit pour transformer un coeur de pierre souffrant en un coeur de chair aimant. Nous sommes invités à expérimenter la puissance de notre regard Il vaut souvent de long discours. Le Seigneur nous dira: Aujourd'hui le salut a été découvert dans ces coeurs d'êtres humains, car je suis venu aimer  ce qui semblait perdu.  Bon dimanche.

 

vendredi, 21 octobre 2022 14:52

Inviter à changer. Lc 12, 54.

Quand vous voyez un nuage monter au couchant, vous dites aussitôt qu'il va pleuvoir, et c'est ce qui arrive. Aujourd'hui nous pouvons prévoir la pluie quelqies heures à l'avance. Nous savons lire la nature. En poussant plus loin cette réflexion, je me dis: Quand je vois nos églises vides le dimanche et les familles sur les terrains de jeu avec les enfants, je me dis: Il faut changer notre façon de vivre et célébrer notre foi.

Nous avons grandit dans un monde rural où les gens étasient à la maison en famille presque tous les jours de la semaine, alors la pratique du dimanche était normale. Aujourd'hui dans un monde industrialisé où les famille ne se voit presque plus la semaine, le dimanche devient le jour de vie familliale. Alors notre pratique devient plus difficile. Avec un changement de mentalité, le contenu et le vocabulaire de nos célébrations sont souvent inadéquats pour traduire la foi aujourd'hui, c'est tout un changement que nous devons envisager.

Alors je reviens à la phrase du début. Nous sommes capables de comprendre la nature, mais non les besoins humains. Je crois qu'aujourd'hui nous avons à méditer profondément notre vie en Église. Il ne suffit pas de changer des structures, d'en placer de nouvelles; notre édifice religieux n'a pas de bases (footing) comme disait mon père. Nous ne sommes pas à l'ère de parler de Jésus Christ, nous devons d'abord le faire connaitre, permettre aux chrétiens d'en faire l'expérience, ensuite nous pourrons fsaire de la catéchèse. L'important n'est pas de savoir des choses sur Jésus Christ, mais de vivre l'expérience personnelle de Jésus dans nos vies. 

 

mardi, 18 octobre 2022 14:22

Quel Dieu je prie? Lc 18, 9-14.

Notre parabole met en scène fdeux hommes, un pharisien et un publicain. Luc utilise souvent cette formule: Le fils cadet et le fils ainé, le riche et le pauvre Lazare ... Et nous sommes portés à condamner le mauvais et à béatifier le bon. Nous sommes peut enclins à nous considérer nous-même comme juste, c'est à dire ajustéau plan de Dieu avec nous. Mais bien souvent nous sommes un peu des deux et avons besoin de nous bien regarder dans le miroir de notre vie.

Ces deux hommes sont sincères intérieurement. aussi bien l'un que l'autre fait part de sa vie en dedans. Ce qui saute aux yeux est le mépris avec lequel le pharisien parle du publicain. Il le regarde de haut: Moi, je ne suis pas comme cela, heureusement. "Je jeûne, je paie ma dîme, je vais à la messe, je ne suis pas comme ce pauvre publicain, un voleur et un paresseux." Il agit non pas par amour, mais pour être récompenser et reconnu supérieur. Jésus dira un jour: Le mauvais ne vient pas du dehors, mais c'est du dedans que sort les pensées mauvaises..."

Si nous nous écoutons parler, nous entendrons souvent le pharisien. On se surprend à dire que les jeunes ne croient plus en rien, que les gens ne viennent plus à la messe, alors que nous sommes présent et que nous pauyons notre dime...  Nous avons souvent un petit grain de pharisien en nous.  Comme le pharisien nous évaluons la vie chrétienne à la pratique religieuse. Le Seigneur va au fond du coeur. Nous remarquons aussi que le pharisien se tient debout à l'avant du temple et remercie Dieu de n'être pas comme les autres, c'est une prière fermée sur soi. Tanndis que le publicain est à genoux et n'ose pas lever la tête, On peut se demander quel confiance il fait en Dieu pour se sentir aussi petit. L'un et l'autre n'ont-ils pas à purifier leur image de Dieu? À quel Dieu je m'adresse dans ma priere?

Le Dieu que je prie est-il le Dieu de Jésus Christ qui m'accueille tel que je suis, marche avec moi pour me conduire plus loin? Est-il le Dieu qui récompense les bonnes actions et punis les moins bonnes? L'Être divin m'habite entièrement et chemine avec moi pour me faire grandir, pour m'aider à corriger les erreurs, à guérir les blessures et à vivre heureux. Le Dieu que je prie n'est pas d'abord un Être puissant, mais un être aimant. C'est un Dieu qui ne me doit rien parce qu'il m'a déjà tout donné. Devant ce Dieu je suis en reconnaissance et heureux d'être ce que je suis, un être fait à son image et en état de croissance; c'est le Dieu qui accueille le fils cadet sans un reproche et le rétablit dans la famille.  Le Dieu que je prie voit la sincérité de mon coeur et ne se limite pas seulement à ce que je fais mais considère ce que je suis: son enfant bien-aimé.

Il me semble qu'un des messages de l'Évangile est une invitation à me regarder tel que je suis, ni supérieur ni inférieur aux autres autour de moi. Nous sommes différends simplement. Le Seigneur veut que je me découvre tel que je suis, ni meilleur, ni moins bon: Un être en cheminement, un être en croissance et parfois un être blessé qui a besoin davantage d'amour. Les êtres humains sont tous égaux mais différents. Se diminuer en se disant un grand pécheur comme se surévaluer n'est pas faire confiance et rendre hommage à Jésus Christ et à l'Epsrit qui nous habite.

Notre communion à l'Eucharistie est le moment propice pour nous permettre d'entrer plus profondément en communion avec les autres dans l'amour et le respect. C'est ma pri;ere ce matin. Bon dimanche.

  

vendredi, 14 octobre 2022 14:31

Lampe et le boisseau. Mc 4, 21.

Saint Marc écrit: "Est-ce que la lampe arrive pour être mise sous le boisseau." La Bible Tob commente en supposant que la lampe signifierait le Christ. Alors le Christ ne vient pas pour être caché. D'autres pensent à la parole de Dieu qui vient éclairer notre route de chrétien.

Le boissseau est un instrument qui servait à mesurer le grain.  La lampe ne vient pas pour être posée sous le boisseau. La lampe qui nous fait vivre en nous éclairant n'est pas à enfermer dans un instrument de mesure, dans des limites qu'on prétendrait connaitre. Qui peut évaluer la portée d'un témoignage ou d'une prière, écrit Lytta Basset.

Souvent nous avons constater après une rencontre, un partage, que des paroles nous sont venues sans le savoir et nous nous disons: d'où cela vient-il? La lampe de la Parole est allumée au fond de notre coeur et toujours prête à éclairer selon les événements. La parole de Dieu est inscrite comme un secret au fond du coeur et elle jaillit soudain selon les besoins sans que nous y pensions. La parole n'est pas mesurable et il suffit souvent que nous cessions de mesurer ou d'espérer des résultats pour que tout déborde. C'est une bonne mesure secouée, tassée, débordante qu'on versera dans le pan de votre vêtement, lit-on en Luc. Alors laisons libre court à la parole qui produira du cent pour un. Bonne journée.

jeudi, 13 octobre 2022 14:48

Pour nourrir notre foi.

Lytta Basset vient de rééditer son livre "Méditations" déjà publié dans le passé. Ce sont de courtes méditaitons sur différents textes bibliques de nature à nous mieux faire connaitre et savourer le message de Jésus. Que ce soit sur Noël, les bergers, le figuier stérile, le fils cadet, ou bien d'autres textes, nous sommes nourrir d'une bonne lecture facile de nature à nous faire savourer la Bible. La théologienne nous invite à laisser entrer la parole de Dieu en nous et à laisser grandir notre foi. Bonne lecture.

 

jeudi, 13 octobre 2022 14:42

Méditations.

Lytta Basset: Méditations. Il s'agit de méditations simples sur différents passages de la Bible. Écrit facile et inspirant nous permetant de savourer le message de Jésus Christ. C'est un bon moyen d'évangélisation, de mieux connaitre la Bible et de nourrir notre vie spirituelle. Bonne lecture.

 

Page 22 sur 246