Spiritualité

Homélies, réflexions et spiritualité

Spiritualité

Jos. Deschênes

Jos. Deschênes

Une parabole est un message habillé. C'est un peu comme oignon, il faut enlever des pelures pour cueilir le mssage. Luc nous présente aujourd'hui une parabole qui a changé souvent de titre. On la baptisée du titre "de l'enfant prodigue," puis "du père miséricordieux," aujourd'hui  nous parlons de la"joie des retrouvailles." Suivons cette parabole de près.

Un père avait deuc fils. Le plus jeune lui demande ce qui lui revient et part à l'aventure. Il ne veut plus être un serviteur, bien nourrit mais sans avenir. Il veut faire sa vie. C'est le désir de nous tous il me semble. Combien de jeunes sont ainsi partis à l'aventure espérant faire fortune mais surtout voulant être libre et de faire leur propre expérience de la vie. Notons qu'au départ, il n'y a pas un mot de conversation avec le père ou le frère ainé. Un employé part, on lui donne son du et il s'en va.  Le fils n'a jamais appris à utiliser de l'argent, sa vie de jeunesse n'est pas faite, alors il fait des bêtises et gaspille son avoir. De sorte qu'il se trouve dans la dèche à nourrir les cochons. Notons de plus que le cochon est l'animal du conquérant romain, donc c'est une déchéance d'être réduit à nourrir l'animal de celui qui les a envahi et conquis.

Alors il réfléchit en lui-même et se dit: J'étais mieux chez mon père. Je mangeais bien, dormais en paix, etc... J'y retourne. Il se prépare une confession: J'ai péché contre le ciel et contre toi .. .  Le père de son côté avait réfléchit également et quettait le retour de son fils. Pour le père, c'est son enfant qui revenait et le voyant sur la route, il court à sa rencontre, le prend dans ses bras, n'écoute pas sa confession, et commande aux serviteurs de le revêtir de la robe blanche du fils, lui donner les sandales de l'homme  libre, de lui passe rl'anneau de l'alliance au  au doigt et fait le fête. C'est la joie des retrouvailles. Il est parti comme un employé et il revient comme un fils. Quel message Jésus me donne aujourd'hui.

J'ai en mémoire le départ d'un fils vers l'aventure et son père lui dit: "Quoique tu fasses, quoiqu'il t'arrive, sache que ta mère et moi nus t'aimons. Tu sera toujours notre enfant. Le premier message que je décode est la révélation du COEUR DE DIEU PÈRE. Pour le Seigneur quoique nous fassions, quoiqu'il nous arrive, nous serons toujours les enfants biem-aimés du Père. Pour Dieu ce qui compte est ce que nous sommes et non d'abord ce que nous faisons. Un deuxième message est que Jésus vient nous dire: C'est comme cela que vous devez vous accueillir les uns les autres. Beaucoup de chrétiens ont quitté l'Église et se sentent souvent mal à l'aise de venir demand.er un service. Et comment nous les accueillons? En faisant la fête ou en leur rappelant les lois et obligations imposées pour suivre le groupe. Nous sommes invités à revisiter l'image du Père que nous présentons à ceux et celles qui viennent demander un service.

Notons que ces paraboles de Luc s'adressent aux collecteurs d'impôt et aux pécheurs condamnés par les pharisiens, lc 15,1. Ces pauvres se savaient condamnés par les grands fonctionnaires religieux de l'époque. Jésus les appelle à la cvonversion du coeur et à travers eux, c'est à nous qu'Il adresse cet appel à la conversion. Regardons bien ce que Jésus présente dans la parabole. Le père accuille son enfant qui se sent pécheur et veut se confesser et le conduit plus loin, comme le fils bien-aimé. La miséricorde ne laisse pas la personne là où elle est, mais la conduit vers une plus grande perfection, un plus grand bonheur. Le père ne critique pas ce qui l'agir de l'enfant, il fait grandir ce qui est bon en lui. C'est notre attitude comme chrétien, et dans notre contexte d'Église aujourd'hui, vomme prêtre je suis invité à méditer plus que tous le schrétiens l'attitude du père.   Accueillir dans  la joie et faire avancer au lieu d'assommer avec des lois et des structures. Notre monde a besoin de cela.

Une autre leçon de la parabole est que le père rencontre aussi un bon vieux chrétien comme beaucoup d'entre nous. Le fils ainé ne veut rien comprendre et refuse d'entrer à la fête. L'attitude du fils ainé est malheureusement trop souvent notre attitude. "Nous, on paie notre dime, on va à la messe et donne à la quête, et on va s'occuper des autres qui ...?  etc. j'en ai entendu et j'en entends  encore aujourd'hui. Nous sommes invités aussi sur ce chemin de conversion.

Le coeur d'un père ou d'une mère n'est pas seulement un récepteur, mais surtout un transmetteur. Transmetteur de l'amour, de l'accueil inconditionnel. C'est le coeur de Dieu qui vient changer notre propre "coeur de pierre en un coeur de chair." Quand nous partageons l'Eucharistie ou la Parole, c'est à ce coeur amoureux que nous communions. Que nos Eucharisties soient toujours des fêtes de retrouvailles où ensemble nous grandissons dans l'amour du Père.

 

vendredi, 18 mars 2022 14:33

St Joseph

Le Pape François nous parle ce matin de monsieur Joseph. Le Pape rappelle que St-Joseph a pris soin de Jésus même si cela était contraire à la pensée et coutume de son temps. Il a eut le courage de créer une nouvele façon d'être en fonction des besoins du temps et de l'inspiration de l'Esprit Saint. Le Pape nous redit que nous devons avoir le courage de nous poser la question devant la diminution du nombre de prêtre et des chrétiens pratiquants: Si nous continuons de la même façon, demain nous disparaitrons. En Gaspésie, il n'y que deux prêtres gaspésien en paroisse, découvrons nos St Joseph qui ont le courage de créer de l'avenir.

La leçon de courage de Joseph nous arrive comme méditation dans un temps où nous devons nous aussi passer à autre chose si nous voulons que l'Évangile ne soit pas lettre morte. Et la Pape insiste pour découvrir et développer les charismes des chrétiens. Il pose la question: Avons-nous préparer le schrétiens à prendre leurs responsabilitées et à vivre leurs charismes? Comme Joseph, nous adevons avoir le courage créateur et dépasser les règles établies pour fair edu neuf dans un monde nouveau et ne changement. Il ne s'agit pas de faire du changement pour faire du changement, mais de répondre à de nouvelles exigences chré.tiennes. Saint Joseph doit être une source d'inspiration pour transformer notre Église au souffle de l'Espri

En Mathieu 21, 33ss. Jésus parle aux prêtres et aux anciens pratiquants deson temps, il leur rappelle l'importance du travail des laïcs en paroisse et ceux-ci veulent le faire mourir. Changer des traditions, des façons de faire, c'est difficile. Même si le «pape François nous y invitent fortement, il n'est pas certain que ça change. Le premeir changement est la conversion du coeur. Il nous faut aussi redécouvrir la vraie place du prêtre et des chrétiens dans la communauté Église. Nous avons besoin de méditer longtemps St Joseph pour y arriver. 

mercredi, 16 mars 2022 14:31

Servir.

Le Fils de l'homm  n'est pas venu pour être servi, mais pour servir. Mth 29, 17-28. Voila le nerf de la mission de Jésus: SERVIR.  C'est la mission qu'il a donné à ses apôtres et à nous tous à travers eux. Le chrétien, disicple du Christ, est un serviteur. C'est la mission du prêtre au coeur de sa communauté. Le prêtre est l'homme de la communion, du rassemblemeent, de l'amour partagé; il est le pasteur façonné à l'image du Bon Pasteur. Le prêtre est le sacrement du Christ rassembleur, du Christ homme de communion.

Un élément essentiel de sa mission, nous dit le texte du concile, est: Les prêtres ont à reconaitre sincèrement et à faire progresser la dignité des laïcs dans la mission de l'Église. (...)  Ils sauront découvrir et discerner dans la foi les charismes des laîcs sous toutes leurs formes, des modestes aux plus élevés, ils les reconnaitront avec joie et les développeront avec ardeur.  Jean-Paul 11 ajoutait que le ministère ordonné était au service des ministères des chrétiens, à partir de leur baptême, pour leur permettre de s'exercer pleinement.  Est-il encore temps dans notre Église pour reconnaitre et vivre cette dimansion essentielle du sacerdoce ordonné? Peut être? Il y a là un long chemin de conversion de la structure ecclésiale qui sera laborieuse. Depuis Monsieur Constantin, nous avons pris le chemn inverse. C'est l'objet de notre prière pour retrouver ensemble le chemin de l'Évangile. Bonne journée.

Nous nous reconnaisons souvent dans ces textes de l'Évangile d'aujourd'hui. quand des gens subissent une épreuve, nous sommes souvent portés à dire: ils l'ont bien mérité; ou encore: pourquoi, ils sont bons, il ne méritent pas cela. Nous attribuons souvent la mort ou la maladie à Dieu qui récompense ou punit, ou encore au mérite de l'être humain, il ne méritait pas une telle situation. Ce texte nous renvoie à notre propre image de Dieu assis sur son nuage à nous épier pour nous punir ou nous récompenser. Est-ce que les ukrainiens méritaient cette guerre de destruction? Ou est-ce une punition du Seigneur? Pourquoi tant de morts absurdes? 

Jésus veut nous faire découvrir que le Seigneur ne punit pas, ces situations pénibles sont le fruit des décisions de l'être humain et Dieu respecte la liberté de l'homme. À nos yeux la situation de l'Ukraine est incompréhensible et douloureuse. Pourquoi Dieu laisse-t-il des choses aussi pénibles se produire? Dieu n'est pas un "bouche trou" qui dirige l'être humain comme un gourou. Il respecte la liberté des hommes si pénibles soit-elle. La maladie, la guerre comme la paix et la santé ne sont ni un punition ni un récompense; la santé et la paix sont un don qu'il nous faut préserver. Dieu les a mis entre nos mains comme un cadeau pour notre service. À nous de les bien utiliser. 

Comme nous entendons souvent: je fais mon possible, je suis bon et souvent malade, alors que lui il ne fait que de mauvais coups et n'est jamais malade. C'est pas juste. Quand nous sommes devant des événements que nous ne contrôlons pas, nous avons besoin de quelqu'un d'autre comme coupable. C'est notre image de Dieu que nous avons besoin de purifier. Dieu est une force merveilleuse qui nous habite et nous accompagne dans ce que nous avons à vivre. Il n'est pas un magicien pour changer le cours de notre vie selon  nos goûts ou désirs. Dans ce que la vie nous apporte, c'est là que nous découvrons la présence et la force de Dieu.

Pour nous aider à cheminer, le Christ parle du figuier stérile. S'il ne porte pas de fruit, coupons-le. À quoi bon le laisser épuiser la terre. Le figuier, c'est moi. suis-je un figuier stérile? Un arbre fruitier a besoin de soin pour produire. Il a bsoin d'engrais, de soleil, d'eau et d'amour. Le figuier de ma vie a besoin de l'engrais de la parole de Dieu qui nourrit les racines de ma vie intérieure, il a besoin du terreau de la foi pour grandir au milieu des difficultés de ce monde, il a besoin de l'eau de la prière pour entretenir la relation nécessaire à la source de sa vie, il a besoin du soleil de l'amour pour conserver sa vigueur dans les jours froids  de l'hiver intérieur.

Nous sommes invités à purifier notre image de Dieu. Nous avons souvent connu un Dieu punitif  qui nous parle de péché et de l'enfer.  Nous devons reconnaitre le Dieu de nos ancêtres qui les a accompagnés durant toute leur vie, le Dieu qui nous dit: Je me présente à vous nons à travers des idées ou des théories toutes faites et apprises par coeur, je suis celui qui se fait connaitre à travers une histoire. Regadrez d'ou vous venez, qui vou sêtes et vous suarez qui je suis dit-il à Moïse. C'est vrai pour nous aussi.

Aujourd'hui le Seigneur vient nous dire de prendre soin de notre figuier. Chaque fois que je célèbre l'Eucharistie en communauté, j'arose mon figuier au torrent de l'amour infini pour produire des fruits de communion, de partage, d'accueil et d'amour autour de moi dans mon quotidien. Seigneur permets-nous d'écouter avec amour ta parole pour miux découvrir ta présence au coeur de nos vies. Amen.

 

 

mardi, 15 mars 2022 14:20

Écoutez-le.

On nous dit dans l'Évangile de la transfiguration: Celui-ci est mon fils ben-aimé, ÉCOUTEZ-LE. Que veut dire écouter. Pour moi, écouter le Christ, c'est rendre présent du mIEux que l'on peut l'enseignement de Jésus. C'est actualiser dans ma vie ce que le Christ nous enseigne sur l'amour, l'accueil, le pardon, la miséricorde, le lavement des pieds, etc ... Il est évident qu'il nous est impossible de vivre pleinement cet enseignement, mais le Seigneur sait de quoi nous sommes capable avec la présence de son Esprit en nous. 

Écouter, c'est aussi faire l'expérience d'une présence. Quand je lis l'Évangile, ce n'est pas seulement un texte que je lis, mais une personne me parle. Il ne suffit pas de l'entendre, il faut l'écouter. Jésus nous dit comment vivre ensemble en enfants de Dieu. Il nous enseigne le respect de l'autre, l'acceuil inconditionnel,  la miséricorde qui nous demande de faire un bout de chemin avec un voisin que nous n'aimons pas... Écouter le Christ, c'est entreprendre un nouveau chemin de vie. On parle souvent de conversion. Je crois qu'il s'agit davantage d'écouter au sens fort de l'Évangile.  Faire une expérience et se laisser transformer, se laisser rendre meilleur. se laisser rendre plus beau en dedans. 

Mais écouter le Christ n'est seulement lire l'Évangile.Le christ nous parle par les événements de chaque jour, par les personnes que nous rencontrons, par la guerre d'Ukaine ... La parole de  Dieu n'est pas seulement des mots; elle est aussi événement, personnes, etc .. Alors aujourd'hui, je  nous souhaite d.apprendre à ÉCOUTER.

  

lundi, 14 mars 2022 14:39

Une ligne de conduite.

Ce matin, Jésus vient me parler à l'oreille pour me dire doucement: Mon ami soit miséricordieux. Je sais par expérience que ce n'est pas toujours facile d'être miséricordieux, mais je sais aussi combien c'est important. Être miséricordieux, c'est savoir écouter en silence, accueilir avec amour, et prendre la route avec patience pour cheminer. Être miséricordieux ne laisse jamais la personne là où elle est. Quand Jésus rencontre les disciples d'Emmaüs, il les écoute, leur explique les événements et les conduit plus loin. Être miséricordieux, c'est faire ainsi. La plupart de nos colères, de nos rejets, sont le fruits de nos blessures, de nos déceptions ou frustrations qui nous font réagir.  Être miséricordieux, c'est comprendre la mal de l'autre au lieu de lui jeter la pierre  et de le juger. Si la personne refuse de chaminer; part, secoue la poussière de tes chaussures, c'est à dire laisse-lui sa responsabilité et va en paix. C'est ce que l'on apprend aussi à l'école de la vie.

 

lundi, 14 mars 2022 14:39

Une ligne de conduite.

Ce matin, Jésus vient me parler à l'oreille pour me dire doucement: Mon ami soit miséricordieux. Je sais par expérience que ce n'est pas toujours facile d'être miséricordieux, mais je sais aussi combien c'est important. Être miséricordieux, c'est savoir écouter en silence, accueilir avec amour, et prendre la route avec patience pour cheminer. Être miséricordieux ne laisse jamais la personne là où elle est. Quand Jésus rencontre les disciples d'Emmaüs, il les écoute, leur explique les événements et les conduit plus loin. Être miséricordieux, c'est faire ainsi. La plupart de nos colères, de nos rejets, sont le fruits de nos blessures, de nos déceptions ou frustrations qui nous font réagir.  Être miséricordieux, c'est comprendre la mal de l'autre au lieu de lui jeter la pierre  et de le juger. Si la personne refuse de chaminer; part, secoue la poussière de tes chaussures, c'est à dire laisse-lui sa responsabilité et va en paix. C'est ce que l'on apprend aussi à l'école de la vie.

 

lundi, 14 mars 2022 14:29

Lire et se renseigner.

Hél;ene Giroux: Ce que les mourants m'ont enseigné. L'apprentissaged e la vie au seuil de la mort. Ed Le Dauphin blanc. Cettte dame accompagne depuis quelques années des personnes en fin de vie et ce contact lui a permis de voir les choses autrement. Je résume avec ce texte de Rinpoché:  Prends pour objet de méditaiton l'ensemble des âtres et applique-toi à mettre en oeuvre les quatre attitudes immensurables: l'amour ou le désir que tout les êtres soeint heureux; la compassion ou le désir qu'ils soient affranchies de la souffrance; la paix devant le bonheur d'autrui; l'impartialité qui consiste à traiter les êtres de manière égale. Ce livre nous apprend aussi à apprivoiser la mort, la vie et la mort sont deux notions inséparables. Bonne lecture.

 

vendredi, 11 mars 2022 18:23

Comme le fleuve qui coule.

Paulo Coelho: Comme le fleuve qui coule. Ed. J'ai lu.  roman qui fait état de certaines situations vécues par l'auteur et qui nous ouvre vraiment "les protes de son univers d'écrivain." C'est l'histoire d'un berger qui part un jour à la recherche d'un trésor  au pied d'n pyramide en Égypte. Bnne lecture.

 

vendredi, 11 mars 2022 16:00

Prêtre: vocation et mission.

Nous manquons de prêtres entend-on souvent aujourd'hui. C'est une vérité qui saute aux yeux si nous voulons conserver l'Église d'hier. Mais  que veut l'Église d'aujourd'hui et de demain? Un jour aona décidé dans l'Église de faire de l'Ordre un des sept sacrements. Martin Luther a protesté contrec e principe et a institué le sacerdoce universel à partir du baptême. Vatican 11 a reprit cette idée mais timidement et il n'y eut pas de lendemain. Philippe béguérie professuer à la Catho de Paris écrit: "Nous sommes passé d'un peuple de prêtres à un peuple et des prêtres."

La soxiété est changé et les peuples plus démocatiques ont pris leur responsabilité nous obligeant à revenir au sens et au rôle du minstère presbytéral  dans la communauté. Il est évident que nous manqueons de prêtres si nojus voulons conserver le modèle d'hier; cependant la société nous demende d'anvisager un autre mode de sacerdoce. Nous devrons revenir au sacerdoce baptismal et à l'exercice des ministères des chrétiens à partir de leur baptême. Le ministère du prêtreretrouvera sa place et son sensau coeur de la communauté et ne sera plus un homme mis à part, un sacrificateur comme dans l'Ancien Testament, mais un accompagnateur de la vie du peuple chrétien. Les prêtres sont là dans nos communautés qui attendent d'être reconnus et acceptés. Notre prière doit s'orienter dans ce sens de retrouver le sens des minstères y compris celui du prêtre.

Inspiré du Père Anselm Grün: l'Ordre; et de Philippe Béguérie, que j'ai eu comme professeur de liturgie à Paris.  

 

Page 48 sur 259