Spiritualité

Homélies, réflexions et spiritualité

Spiritualité

Jos. Deschênes

Jos. Deschênes

mardi, 15 septembre 2020 16:45

Le coeur transpercé. Lc 2, 33-35.

Ce matm, je fais un peu de paresse. Je vous transmet le texte du Père Grou dans le Prions en Église:

"Adressant un orcale à Marie, Syméon annonce des jours difficiles pour son fils et elle-même.  Ces paroles laissent entrevoir la discorde qui naitra autour de Jésus et le refus de son peuple de le reconnaitre comme Messie. La prédiction concernant plus directement Marie: (ton coeur sera ptranspercé par une épée) est parfois comprise comme une allusion à la passion de son fils. Mais dans le contexte, avec les mentions de "chûte" et de  "division", il s'agit plus vraisemblablement de la douleur de la Vierge de voir son peuple tourner le dos à Jésus."

Nous plaçons beaucoup l'accent sur la souffrance de Jésus et le rachat du pauvre petit monde méchant. Est-ce que Dieu est un être assez cruel pour accepter la mort de son Fils parce qu'il voulait réparation ou nous envoyer tous en enfer. Le Cardinal Ratzinger écrivait: "Certains textes de dévotion semblent suggérer que la foi en la croix se représente un Dieu dont la justice inéxorable à réclamé un sacrifice humain, celui de son propre Fils. Autant cette image est répandue, autant elle est fausse."

Dieu ne veut pas de sacrifice humain. Il nous l'a  montré avec Abraham et ce que nous appelons le sacrifice d'Isaac. Jésus a fait du sacré de sa vie.  Faire des sacrifices c'est d'abord faire du sacré dans notre vie. Jackie Stinckens a écrit un magnifique livre sur: Le sacré de la vie. Je lui avais deandé un jour d'écrire sur: la sacrée vie.  Bonne méditation.

 

mardi, 15 septembre 2020 14:40

La justice divine. Mth 20, 1-16.

Jésus nous présente la parabole des ouvriers embauchés à la vigne. Une parabole est un message habillé comme un oignon; enlevons les feuilles pour en trouver le contenu. Suivons le texte pas à pas.

Le maitre embauche les premiers ouvriers et convient d'un prix pou la journée. Notons que le maitre embauche et conclue d'un salaire. C'et l'iamge du propriétaire qui engage des ouvriers. Il les envoya. C'est sans doute l'image que les gens avaient de Dieu dès les début,  quelqu'un qui ordonne et qui récompense. 

Aux deuxième lot d'ouvriers le maitre envoie et promet de donner ce qui est jsute. Nous passons à un autre registre de relation. Ce n'est plus un maitre qui engage, mais quelqu'un qui donne ce qui est juste. Il n'y a pas de montant d'indiqué. Il donne. Notons que le maitre leur dit: Allez à ma vigne et je vous donnerai ce qui est juste.

Avec les ouvrers de la dernière heure, il engage un dialogue avec et leur dit: Allez à ma vigne, vous aussi. Notons qu'ici il n'est plus question de salaire ou de don. Le maitre envoie. A la dernière heure, les gens ont fait l'expérience du Seigneur et n'ont plus besoin de savoir combien ils auront, ils savent que le Seigneur donne largement. Les gens sont près des prophètes comme Osée, leur expérience est plus profonde.

Après la résurrection, Jésus dira toujours: Allez et faites des disciples. Alors que durant sa vie publique, il dira: Venez. Jésus envoie à la vigne du Père. Nous sommes tous de par notre baptême des envoyés travailler à la construction du royaume du Père. Nous sommes des éveilleurs de missionnaires, des metteurs en route. Le royaume de Dieu est en nous et quand nous en avons fait une expérience vraie, nous sommes envoyés par l'Esprit du Seigneur vivre cette expérience avec les autres autour de nous. La vigne où les ouvriers sont envoyés est déjà en marche, il s'agit simplement de faire grandir ce qui existe. Ils ne vont pas planté la vigne, ils vont prendre soin de la vigne déjà là. Nous sommes envoyés prendre soin de la vigne déjà plantée dans le coeur des hommes et des femmes de chez nous. Nous sommes peut être envoyés passer d'un Dieu qui engage et paie, paser d'un Dieu qui punit et récompense  à un Dieu qui donne sans compter et qui fait grandir la vie. Nous sommes la vigne du Seigneur. Elle est inscrite au fond de notre coeur. De par notre baptême nous avons reçu les charismes et les dons nécessaires pour faire vivre et grandir cette vigne. Elle est le fruit d'une expérience de vie et non de notions apprises par coeur. Dieu n'est pas un comptable qui récompense avec un blelle étoile dans notre cahier comme au temps de l'école, ou punit si notre devoir est mal fait. Dieu n'est pas un maitre comptable mais un Maitre de gratuité, de don et d'amour.  

À L'ouvrier qui s'indigne de l'injustice du maitre, celui-ci dira: Mon ami. C'est à moi, à vous amis lecteurs et lectrices que le Maitre s.adresse: Mon ami. N'as-tu pas fait l'expérience de la gratuité de Dieu dans ta vie pour comprendre la grandeur de mon geste. Es-tu encore au Dieu qui punit ou récompense? Tu n'es pas encore au Dieu qui donne gratuitement et avec abondance. Le Dieu qui chante avec Nicoles ciccone: "Je t'aime tout court." Je ne paie pas ce que tu fais, mais je donne parce que tu es là et que tu es mon enfant bien-aimé. Mon ami, apprends à être bon comme moi, à être généreux comme moi et VA le faire connaitre dans le monde qui t'entoure. Allez dire au monde entier la merveille de la gratuité et de la bonté du Seigneur.  Et nous virons plus entièrement la parole de Jésus: Faites ceci en mémoire de moi.

 

lundi, 14 septembre 2020 14:34

La croix glorieuse.

Lundi,  14 septembre, fête de la  croix glorieuse. Sur la croix, Jésus nous a indiqué jusqu'où il nous conduisait. La croix n'est pas seulement ou d'abord un signe de souffrance et de rachat. "La croix est le signe qui nous invite à aller toujours plus haut, à aller toujours de l'avant jusqu'à l'éclatement entier de notre être." La croix a été plantée sur une colline, un lieu élevé qui nous invite à monter vers la fidélité et la perfection de notre être. La croix est formée de deux arbres, l'un vertical qui nous invite à aller toujours plus haut; l'autre horizontal qui signifie notre nature humaine. Jésus a éré cloué sur l'horizontal, il fut cloué sur notre nature humaine pour l'élever avec lui sur le montant vertical, vers la perfection de notre être.  La croix est le signe de la fidélité du Christ à sa mission et à son être qui l'a conduit à la résurrection. Elle est la réponse d'amour et de fidélité d'un Dieu au rejet de l'homme. "Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font." Je pense ici à Martin Luther King, Mgr Roméro, Gandhi et combien d'autres qui par fidélité à leur vsaleurs et leur mission ont affronté les balles et le mépris.  La croix glorieuse m'invite à la fidélité à ma foi, ma mission de baptisé dans un monde blessé et cassé en deux. Elle m'invite à suivre Jésus sur la route de la Galilée, route de l'amour, de la paix, du pardon, route que les hommes de son temps n'ont pas voulu  suivre et ils l'ont conduit au Calvaire. Ici je pense aussi à tous ces théologiens et ces chrétiens condamnés par l'Église  parce qu'ils avaient pris un chemin plus près de l'Évangile. La croix pour moi n'est pas d'abord ou seulement un chemin de souffrance, elle est une invitation sur une route de liberté, de respect, d'amour, de fidélité pour cueillir la vie en plénitude.

 

samedi, 12 septembre 2020 14:07

L'homme de bien ....

L'homme  bon tire le bien du trésor de son coeur qui est bon. Lc 6, 45. J'entends souvent des gens parler du temps présent et se lamenter que tout va mal, alors que d'autres voient le contraire, sont plus positifs. L'homme bon regarde le monde avec un oeil bon et ne juge pas seulement sur les apparences. Il se souvient toujours que "là où je vois une faute à punir, Dieu voit un blessure a guérir." Le coeur de l'être humain est bon. Le milieu où il  grandit change son comportement. Chaque être humain est une histoire sacrée qu'il faut connaitre avant de juger. Entrer en communion avec le Seigneur dans la prière, c'est découvrir avec lui la bonté de notre propre coeur. 

 

samedi, 12 septembre 2020 13:29

Vivre pour ...

Hier soir, j'entendais quelqu'un à la télé dire qu'il vivait pour son entreprise et non de son entreprise. Il vivait pour ses clients, ses travailleurs, il vivait pour que son monde soit heureux et que la machine tourne bien. Je me suis posé la question: Est-ce que, moi, dans mes paroisses, je vivais pour les gens? Pour quIls soient heureux avec moi et moi avec eux?  Pour les aimer tel qu'ils étaient? Je vais garder ma réponse pour mpi. Ceci m'a rapelé un texte d'un Rabbin: "Être pasteur, c'est être solidaires de ses compagnons humains devant Dieu, bénir et partager la bénédiction. Être en colère et partager la rage, dire à Dieu le désespoir de l'autre. C'est parler à Dieu pour les gens. C'est louer Dieu avec eux. Ça m'a rapelé aussi le texte de Jean sur le Bon Pasteur.

La tâche du pasteur aujourd'hui devient de plus en plus difficile; animateur de plusieurs paroisses où chacune réagit selon son histoire, ses joies comme ses blessures. nous sommes obligés à une adaptation exigeante et constante. Souvent nous sommes accaparés par un noyau de célébrants qui empêche une présence dans les familles pour partager le vécu. Nous sommes loin des gens trop souvent. C'est pour ces raisons qu'il m'apparait urgent d'avoir dans chaque communuté un noyau responsable de la vie de la communauté. C'est ainsi que le no 9 du document conciliaire sur le ministère et la vie des prêtres m'a toujours questionné et suscité chez moi aujourd'hui encore des temps de méditation et de prière.  "Le prêtre est un frère parmi les frères," Comment être frère et vivre ainsi avec une famille qui hsabite à 40 kilomètres de moi? Ma famille me manque dirai-je.

Il me semble,  aussi d'autre part, que comme chrétien, j'ai à découvrir la force de mon baptême. Je ne m'engage pas en paroisse pour aider le curé, mais parce que c'est ma responsabiltié de participer à l'animation spirituelle de la vie communautaire. Comme chrétien, je dois m'engager dans la construction de ma communauté chrétienne. Mon engagement n'est pas d'abord la liturgie, mais le rassemblement en communauté des chrétiens autour de moi. Je dois être un éveilleur de sens, éveilleur de vie, un bâtisseur de liens. Le pasteur est le pilier sur lequel je m'appuie pour guider mn engagement. Comme pasteur je ne me sens là pour dire aux gens quoi faire ou décider ce qu'ils vont faire, mais je suis là pour les éveiller et les guider dans ce qu'ils sont capables de faire.  En écoutant tout cela autour de moi ce matin, ma conviction est que nous avons un urgent besoin de rajeunir notre théologie de l'Église, du sacerdoce et des ministères. Ce sera ma prière aujourd'hui.

vendredi, 11 septembre 2020 14:33

Incrédule vs croyant.

Jésus dira à Thomas: "Cesse d'être incrédule et deviens croyant" Jn 20, 27. La Bible TOB traduit: Deviens un homme de foi. On ne dit pas deviens crédule, le pendant d'incrédule serait crédule; mais on traduit croyant ou homme de foi. C'est intéressant de s'y arrêter un peu. Le Petit Robert définit le crédule comme quelqu'un "qui croit facilement à tout ce qu'il entend." La foi, c'est différent. La foi n'est pas de croire ce que l'on entend. On ne croit pas à des vérités ou des paroles révélées. La foi, c'est adhérer à quelqu'un: Jésus Christ. C'est à la suite d'une expérience personnelle du divin en nous, on s'engage à la suite de Jésus Christ fort de cette expérience. Cette expérience nous conduit à ajuster notre vie sur cette présence divine en nous. Si je regarde ma vie, force m'est de constater que j'ai été longtemps plus crédule que croyant. J'ai longtemps cru à des doctrines, des commandements où j'ai été obéissant un peu servile dans la peur. La foi nous rend libre parce qu'elle nous engage sur les pas de Jésus, et Jésus était un homme libre. Sa liberté l'a conduit à la croix. Je ne voudrais pas être nécessairement  crucifié. La foi nous fait agir par une poussée intérieure et non par des volontés venues de l'extérieur. La foi ne se dit pas d'abord par des paroles, mais par un témoignage de vie.  

Quand Moïse a demandé à Dieu son nom, il a répondu: regardez-moi agir au milieu de vous et vous saurez qui je suis. Est-ce que nous pourrions reprendre cette affirmation pour un croyant. C'est quoi ou qui un croyant: Regardez-le agir au quotidien et vous saurez qui il est, vous saurez ce que signifie avoir la foi. Continuons à méditer. Bonne journée.  

 

jeudi, 10 septembre 2020 17:16

Annoncer ....

Annoncer l'Évangile, ce n'est pas là un motif de fierté, c'est une nécessité qui s'impose à moi.  1 Cor. 9, 16. Voila notre mission de chrétien campée en quelques mots. Les apôtres dirant au tout début: Il n'est pas bon que nous délaissions la Parole pour le service des tables. Act. 6, 1sss. Avant tout, il m'est confié cette tâche merveilleuse d'annoncer la Parole de notre Dieu. Et pour l'annoncer, je dois la connaitre car je risque d'annoncer ma propre parole. Quand Jésus dit: Ceci est mon corps, prenez et mangez, il le dit aussi de sa Parole, de son enseignement. Venez vous nourrir de mon témoignage de vie, de mon enseignement pour en témoigenr à votre tour.  La Parole de Jésus est nourriture pour l'esprit et le coeur. "Ils étaient fidèles à l'enseignement des apôtres, à la communion fraternelle et à la fraction du pain." Act. 2, 42.  Annoncer la Parole, c'est faire connaitre l'Esprit de Jésus, c'est révéler le programme de vie de Jésus. C'est notre mission première.

 

jeudi, 10 septembre 2020 16:42

Un message de Nicodème

Ce matin, je m'arrête à méditer en compagnie de Monsieur Nicodème. Jn 3, 1-20. Nicodème est un bon pharisien, donc un monsieur important dans la religion de son temps. S'il se rend auprès de Jésus, c'est qu'il désire autre chose que ce que lui offre sa religion. L'enseignement de Jésus l'intéresse. Cet enseigenement semble répondre mieux à sa recherche de spiritualité. Le premier message qu'il me livre ce matin est de rester ouvert à autre chose de nouveau, rester ouvert à d'autres avenues spirituelles, de ne pas scléroser ma pensée sur les mêmes enseignements ou choses apprises. Je suis invité à garder cette ouverture d'esprit qui me permette d'accueillir d'autres façons de voir ou de penser.

Le bon Nicodème va de nuit, il est un clandestin. Sans doute qu'il ne veut pas alerter les autres pharisiens pour ne pas s'attirer des ennuis.  La nuit peut désigner aussi son état d'esprit, ses doutes, sa nuit spirituelle qui le met en état de recherche. C'est peut être la situation de bien des chrétiens qui sont partis de nuit et dans la nuit de leur doute, de leur recherche, de leur insatisfaction. C'est la situation de chacun ou chacune de nous qui sommes souvent dans une nuit spirituelle où nous ne savons plus où aller.   

Nicodème appelle Jésus Maitre. Donc il se situe comme disciple. Un disciple est quelqu'un qui se met à la suite d'un maitr.e. Le disciple est en état d'accueil face au maitre. La condition de disicple est essentielle à une relation vraie avec Jésus. Le disicple se place à l'école du maitre. Jésus a formé des disicples avec ceux qui l'ont suivit et il demande de faire des disciples. C'est u autre message que me laisse Nicodème ce matin.

Jésus lui dira: "Nous avons porté témoignage et vous n'avez pas reçu ce témoignage."  Il est question de témoignage. Jésus ne s'impose pas par la force ou avec de belles doctrines, mais par la force  d'un témoignage  quotidien. La rencontre vraie avec le Seigneur ne se fait pas au niveau de l'intelligence, mais du coeur. Cette rencontre n'est pas de l'ordre de l'intellect mais du vital. "Vous serez mes témoins jusqu'aux confins de la terre," dira Jésus. Jésus ne veut pas de hauts parleurs mais des témoins. Paul V1 écrivait: "Les jeunes ne suivent plus les maitres mais les témoins. Ils suivront les maitres que s'ils sont des témoins." Je cois que notre monde a un urgent besoin de témoins. Il nous reste à méditer à quoi ressemble un témoin dans le monde 2020.  Voila je pense un autre message que nous livre Nicodème aujourd'hui.

 

mercredi, 09 septembre 2020 14:00

Liberté.

J'écoutais une conférence du Père Arnold, théologien suisse, notant que dans certains pays, et il en nommait quelques-uns y compris le Canada, lorsque le courant démocratique a pris de l'importance et que les gens se sont exprimés plus librement, il notait que la religion était en train de disparaitre. J'entendais des professeurs d'université dire qu'ils s'étaient libéres de la religion. Et un théologien québécois écraivait: "La fin de la chrétienté n'est pas la fin de la religion, mais la libération du christianisme pour rencontrer le Dieu qui s'est révélé dans la Parole et a été vécu par des miliers de croyants." Avec la révolution tranquille un vent de liberté a soufflé sur le Québec écrivait-on. Ces affirmations ont nourrit ma méditation et mon questionnement aujourd'hui.

Je me questionne sur ce lien fait entre l'expérience de la  liberté et la baisse de la religion. Et je constate aussi que ici au Québec, les chrétiens n'ont pas rencontrer le Dieu de Jésus Christ parce qu'ils ne le connaissaient pas. Ils se sont retoruvé devant un vide spirituel profond. Cette situation deviendra universelle. Les système de puissance tombent les uns après le sautres et les systèmes religieux n'y échapperont pas. Il nus faut retoruve rle Dieu de Jésus Christ et l'Église du Christ. Je crois que si nous n'écoutons pas sérieusement ce cri des chrétiens,  nous n'irons nulle part. J'écoute beaucoup aujourd'hui, je n'ai que cela à faire et le discours qui me parvient me parait éloigné de cette nécessité de l'écoute et du souffle de liberté dont les chrétiens rêvent. Je suis invité à un examen de conscience et un discernement vrai sur le sens de l'Église et du ministère ordonné. J'ai souvent pensé qu'en changeant les structures nous arriverions à changer les mentalités. Mon expérience a prouvé le contraire. Comme disait Mgr Ouellet, je n'arrive pas à croire qu'il n'y a que 5% des chrétiens qui ont le pas dans l'Église et que tous le sautres sont à côté de la "trac.".  C'est une piste de réflexion que je propose aux personnes qui auront le courage de s'y arrêter. Je suis un peu dans la nuit de nicodème. Peut être que de savants théologiens pourront nous éclaire.r. Bonne journée.

mardi, 08 septembre 2020 14:28

La croix.

"La croix signe qui nous invite à aller toujours plus haut à aller toujours de l'avant jusqu'à l'éclatement entier de notre être." Prendre sa croix à la suite de Jésus, c'est marcher dans la fidélité à notre être jusqu'à son accomplissement total, la RÉSURRECTION.  Jésus sur la croix à fait du sacré de sa vie. Sur la croix Jésus nous élève avec lui jusqu'à la résurrection.  Le chemn de la croix à la suite de Jésus est le chemin de la fidélité à la mission,  fidélité à notre être humain et chétien. C'est accepter sans fléchir les contradictions, les difficultés, les souffrances  que cette fidélité nous entrainent. C'est l'exemple de Jésus.

 

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