Dix jeunes filles. Mth 25, 1-13.
Notre parabole de ce dimanche peut être choquante à première vue. Pourquoi le sfilles sages qui ont de l'huile en quantié ne partagent pas avec celles qui n'en n'ont pas? D'autre part. on s'en prend à ce Die qui ferme la porte aux filles qui arrivent en retard? Mais Jésus nous étonne et c'est là qu'il nous rejoint pour nous dévoiler son message. Essayons de décoder un peu ce que le Christ nous explique aujourd'hu
Ce que nou slisons d'abord, c'est que dix filles sont invitées à une noce et l'époux se fait attendre. Alors elles s'endorment. L'époux arrive, les filles se préparent à entrer et les unes réalisent qu'elles n'ont pas assez d'huile pour le temps d ela fête. elles en demandent aux autres lesquelles redusent de partager. Elles doivent aller au dépanneur en chercher. L'époux entre et ferme la porte de sorte que lorsque les filles reviennent du marché, la porte est close et elles ne peuvent entrer. C'est ce que nou svoyons estérieurement. Mais Jésus nous adresse un message avec cette parabole.
Le royaume des cieux nous est présenté comme une invitation à une noce. Il faut bien noter que nous sommes invités et qu'il s'agit pour nous de nous ajuster à cette invitation. le fiancé est le Christ qui veut lier avec nous une relation d'alliance. Nous ne sommes pas obligés sous peine de punition. Nous sommes invités. Pour ne pas être en retard au banquet, il nous faut être attentif aux événements quotidien de notre vie. Nous risquons d'être en retard quand nos sentiments intérieurs ne sont pas ajustés sur la présence du Christ et que nous butinons ailleurs, alors nous "manquons d'huile et la porte risque d'.être fermée."
Jésus parle dans l'Évangile (Mth 7 , 240 d el'homme avisé qui construit sa maison sur le roc et l'autre qui la construit sur le sable. Il parle aussi d el'homme qui ammase de grands biens sans pensé qu'un jour il va mourir. souvent Jésus nous renvoie à nos propress valeurs intérieures. Où est-ce que je mets mes centres d'inrérêt: dans les valeurs de vie ou dans les biens extérieurs? D'aucuns peuvent se sentir frustrés par l'attitude desprévoyantes qui refusent de partager de l'huile avec celles qui n'en n'ont pas assez. Jésus ne procède pas comme nous, il ne juge pas les imprévoyantes, mais il veut nous donner un message. Dans la vie, nous devons prévoir les choses et organiser notre vie pour répondre à nos besoins et ne pas compter seulement sur les autres. Il faut éviter d'être insouciant et de se dire, bon le sautres sont là, ils vont me dépanner. Cela m'évite d'être responsable de ma vie. Notre vie spirituelle peut être aidr paar les autres, mais j'en suis responsable et elle m'appartient. Je ne dois pas risquer de me retrouver les mains vides à la porte du royaume.
L'huile symbolise aussi les bonnes oeuvres, la valeur que je mets dans ma vie, ceci ne se partage pas comme une tranche de pain. Je ne peux donner à personne ma façon d'être, je ne peux l'imposer à personne. Chacun a la sienne propre. Nous sommes invités ou forcés de regarder nos forces intérieures et la façon dont nous les développons ou si nous attendons que les autres le fasse pour nous.
Arriver trop tard à la porte signifie aussi que nous sommes souvent retenus par nos préoccupations, nos travaux, nos loisirs et que je me trouve souvent devant des portes closes. Les portes closes sont le symbole des occasions manquées. Cette parabole nous invite à la vigilance pour ne pas manquer la rencontre du fiancé, pour ne pas nous heurter à des portes closes. Elle nous invite à la pleine réalisation de soi, de nos valeurs de vie, de notre être spirituel.
Un seul amour. Mth 22, 34-40.
Des pharisiens, apprenant que Jésus avait fermé la bouche aux sadducéens, se réunirent, et l'un d'eux, un docteur de la loi posa une question à Jésus pour le mettre à l'épreuve: "Maitre. dans la loi, quel est le plus grand commandement?" Voila la question piège. Un docteur de la loi est quelqu'un qui connait bien son code de loi et aussi la façon de le respecter. À l'époque de Jésus, il y avait 613 prescriptions de lois à observer. Le docteur de la loi ne se situe pas au niveau de la vie ou des personnes mais au niveau des prescriptions a respecter.
Alors Jésus s'élève à un autre niveau et répondra: Le premeir et le plus grand commandement est: Aime Dieu de tout ton coeur et aimes ton prochain comme toi-même. Jésus ne reste pas au plan des obligations inventées par les hommes trop souvent comme forme de pouvoir, Jésus s'élève au niveau de la personne et des relations venant du coeur. Il fait de l'amour de Dieu et celle du prochain un même amour. L'amour du prochain découle de l'amour de Dieu en nous, l'amour du prochain fait grandir celui de Dieu. L'eau qui coule dans la rivière est la même qui surgit de la source. Si mon amour du prochain surgit de la source, l'amour de Dieu, il aura le même densité. Un sage a écrit: "L'homme ne sait pas aimer, c'est pourquoi il juge."
Mais quand je parle d'aimer, qu'est-ce que j'entends. Je dis souvent: J'aime ce dessert, j'ai aimé telle l'émission de télé, etc.. Comment je réagis quand le vois un itinérant qui se drogue? Comment j'aime quelqu'un qui vient de commettre un vol? les réactions que j'entends autour de moi ne favorise pas toujours l'amour et ne fait pas toujours grandir mon désir d'aimer. Nous ne savons pas aimer c'est pourquoi nous jugeons. Je m'arrête dans l'Évangile à méditer le regard de Jésus sur Pierre après son reniement au jardin de Pilate, son regard vers Zachée juché dans son sycomore, celui sur la Samaritaine au puits de Jacob, et combien d'autres. Jésus vient nous apprendre que l'amour vient du coeur et non d'abord de l'intelligence. S'il y a des actions qu'il faut punir, la personne doit être aimer parce que souvent elle est victime de son histoire et de son envo=ironnement.
Jésus vient me dire; Ce qui compte pour moi, c'est la personne et non d'abord son agir. Jésus vient nous dire que sa loi à Lui est d'aimer son prochain indépendemment de ses qualités, son héritage, s'il pense comme moi ou pas. Et le fondement de cet amour, ce qui me rend capable de le vivre est l'amour de Dieu déposé en moi dès ma conception. Et cet amour de Dieu ne fait pas de distinction entre les personnes quelque soit sa religion, la couleur de sa peau, ou son origine. La marque de commerce du Chrétien est l'amour. On reconnaitra que vous êtes mes disciples à l'amour que vous aurez les uns pour les autres. Combien de jeunes seraient sortis d'une vie d'enfer s'ils avaient connu un peu d'amour. Combien de crimes auraient été évités s'il y avait eut un peu plus d'amour? Saint Paul a un très beau texte sur l'amour. L'hymne à la charité fraternel au Chapitre 13 de sa deuxième lettre aux Corinthiens.
Le repas du Christ que nous partageons ensemble chaque dimanche est une source de son amour pour nous, et communier à cette source c'est faire grandir notre capacité d'amour pour Lui et notre prochain. Aujourd'hui cette communion prendra pour nous un sens plus profond.
Une lettre pastorale.
Notre Évêque Mgr Lamoureux vient de rendre public sa lettre pastorale pour l'année en cours. Hier à gaspé se rencontraient des personnes de toutes les paroisses du diocèse pour participer à une séance de travail en pastorale pour l'année en coiurs. À cette occasion, notre Évêque a transmis sa lettre pastorale pour l'année.
Le tout début de cette lettre m'a invité à une bonne réflexion. Nous sommes associés étroitement comme membres de l'Église à la mission inclusive du christ chez nous aujourd'hui. Nous sommes un peuple en marche en complémentarité sur le route de l'Église. Bénéficiaires de dons et charismes variés nous sommes complémentaires dans la mission et la brique que chacun peut poser à l'édifice spirituel est d'une grande importance.
Nous avons deux jambes pour réaliser la mission et avancer ensemble: L'écoute et le travail en équipe. S'avoir écouter l'Esprit et le monde qui souvent parlent d'une même voix. Écouter est plus qu'entendre. Écouter est comprendre, discerner et agir. Travailler en équipe, en complémentarit, en cooresponsabilité sous la houlette d'un pasteur, (notez que j'écris un pasteur, ce peut être une femme, un homme, un laïc, un prêtre) Dieu ne se limite pas à nos catégoris. C'est la force de l'Église.
Des mots reviennent souvent dans cette lettre pastorale: Écouter, témoigner, accompagner et inviter. Et notre Évêque reprend un texte du Pape François qui décrit bien le coeur d'un pasteur: Combien je désire que les années à venir soient comme imprégnes de miséricore pour aller à la rencontre de chacun en lui offrant la bonté et la tendresse de Dieu! Qu'a tous, croyants ou loin de la foi, puisse parvenir le baume de l a miséricorde comme signe du règne de Dieu déjà présent au milieu de nous. Ce texte, il nous faut le lire et le méditer en petit groupe de partage et d'amitié qui sont des piliers de l'Église d'aujourd'hui et de demain.
Qui suis-je? Mth 22, 15-21
Dans notre Évangile d'aujourd'hui, les Pharisiens veulent prendre Jésus au piège et lui pose une question embarassante: Devons-nous payer l'Impôt à césar ou à l'empereur? Alors Jésus leur demande: "De qui est l'inscription sur votre pièce ce monnaie? De César, répondent-ils. Alors Jésus reprend: Rendez donc à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu.
Ceci m'envoie la question: De quel effigie est marquée ma vie? Qui a mis son sceau éternel sur ma vie? Le texte de la création nou sen donne une idée: Faisons l'homme a notre image et ressemblance. Nous sommes frappés de la ressemblance de Dieu. C'est une première effigie. Une deuxième effigie me vient du baptême de Jésus: Tu es mon fils bien-aimé en qui je mets tout mon amour. Cette affirmation faite à Jésus se répand sur tous les êtres humains. Nous sommes les enfants bien-aimés du Père. Cette réalité, nous avons à la découvrir toute notre vie. Prenons le temps de nous arrêter pour laisser descendre en nous cette vérité`Tu es mon ou ma bien-aimé." C'est la révélation ultime de notre être profond. Le monde d'aujourd'hui et souvent notre propre éducation nous enseigne tellement que nous sommes mauvais, insignifiants, pécheurs ...
Cette façon de découvrir que je suis un bien-amé me vient de mes parents qui me prodiquent leur amour, des amis qui m'entourent de sollicitude, de gens qui ont besoin d'une écoute ou d'un moment d'attention et me disent ainsi que je suis important. Le découvrir ne demande pas d'effort, il s'agit d'en faire l'expérience et de se laisser aimer. Cette réalité lorsqu'elle est découverte et vécue marque toute notre vie d'une façon positive. Nous n'avons pas à le prouver ou à l'acheter mais simplement à le vivre avec conviction.
Nous sommes envoyés dans le monde vivre en enfant bien-aimé et, par notre agir, révélé l'amour infini qui est à la source de notre être. Le Christ ressuscité, présent au coeur de nos vies, nous donne la force de dire OUI à Celui qui nous a envoyé et qui nous appelle ses enfants bien-aimés. Jésus après son baptême fut envoyé dans le monde prouver son idnetité de Fils bien-aimé. Toute sa vie dans son quotidien il a agit selon la "musique de son être", selon son identité. Nous ne sommes pas là pour devenir ce que le monde veut que nous soyons, mais pour être pleinement ce que nous sommes vraiment, enfant bien-aimé du Père.
Ainsi marqué du sceau d'enfant bien-amé du Père, nous avons à payer notre impôt à Dieu. Une bonne façon est la prière de communion avec la présence spirituelle du Christ en nous, puis le partage avec les frères et soeurs en humanité, et l'amour envers le prochain, le pardon des offenses etc. La célébration de l'Eucharistie devient pour nous à la fois une façon de dire notre amour et de renforcer notre vie de bien-aimé pour mieux le signifier au quotidien. Ainsi notre prière, notre agir chrétien ne nous est pas imposé de l'extérieur, mais devient le mouvement vital, profond de notre être intérieur de bien-aimé. Notre vie sera ansi une action de grâce.
Nous, les invités. Mth 22, 1-14.
Aujourd'hui encore, Jésus nous rejoint avec une parabole pour nous faire découvrir son message. Notre vie est comme l'histoire d'un roi qui invite au noce de son fils. Quand tout est pêt, il envoie des serviteurs convoquer les invités. Ceux-ci restent indifférents ou maltraitent les envoyés. Et pourtant, ils ne sont que des invités. Alors le roi invite les gens sur la route, les pauvres, les estropiés et la salle fut remplie de convives. Un des grsndes leçons que je retiens est que nous sommes des invités du Seigneur dans le royaume. Et notre attitude est d'accueillir cette invitation, tout nous est donné gratuitement. J'ai à regarder de quelle façon je reçois cette invitastion et que je réponds. Dieu n'agit pas avec pouvoir et nous oblige, il nous invite.
la relation que le Seigneur veut vivre avec nous est une relation de communion à l'image de celle des époux. Créés à l'image et ressemblance de Dieu, nous sommes des êtres de communion et ce que le Seigneur veut vivre avec nous est une communion profonde. Et cette communion est gratuite et non forcée. De cette communion se vivra les pratiques extérieures expression de notre amour réciproque. Dieu n'est pas au ciel ou sur un nuage dans l'espace pour nous espionner, mais présent au cour même de nos vies pour nous acocmpagner. Ceci est d'autant plus important aujourd'hui dans un contexte de société qui connait de moins en moins la divinité au coeur de nos vies. La montée de violence, de pouvoir, d'ambition est un exemple que le message de Jésus n'a par encore bien passé dans nos sociétés. Depuis le Paradis terrestre, l'être humain a fait passé ses intérêts personnels et souvent passagers avant sa propre raison d'être et l'utilisation des biens reçus.
Le banquet a lieu quand même et le roi remplira sa maison avec les gens de la rues se sentant indignes d'entrer au palais du roi. Notons que Jésus s'adresse aux Grands prêtres et au Pharisiens, des gens pieux, connaissant la religion et pourtant ce sont les gens de la rue qui entrent à la salle du banquet. Jésus insiste pour faire comprendre que ce n'est pas les titres, les fonctions, la grosseur du compte de banque ou les belles connaissances le plus important mais la qualité du coeur. Ceci nous pose une question sur nos jugements envers les personnes qui ont délaissé notre forme de religion et pratique autrement.
L'Évangile se termine avec l'expulsion d el'invité qui n'avait pas le vêtement convenable. L'homme devait simplement bien laver son vêtement de travail. C'est-à-dire de purifier sa vie pour la rendre conforme à la volonté du maitre. Alors prenons bien conscience que nous sommes invités à vivre une allance d'amour avec le Seigneur et cela dans un moment de communion: un repas. Nous sommes invités à un repas de noce. C'est vivre au mieux nos relations avec les autres et Dieu. C'est l'appel de l'Eucharistie. L'Eucharistie est un repas de noce, un repas de communion qui nous permet de mieux vivre notre alliance avec nos frères et soeurs. L'Eucharistie n'est pas un rite mais une rencontre d'alliance, rencontre d'amour avec la source de l'AMOUR.
La pierre d'angle. Mth 21, 33-43
Jésus est en route vers Jérusalem et commence à préparer ses amis à sa mort. Aujourd'hui encore il parle en parabole et nous indique que chaque fois qu'Il intervient, il dérange. Chaque fois que l'Évangile prend de l'espace, il dérange et parfois fait naitre l'agressivité ou la jalousie. Aujourd'hui encore Jésus s'adresse aux grands prêtres et aux anciens du peuple, des gens bien pensants et qui possèdent la vérité.
Cette parabole est un peu l'histoire du peuple. Chaque fois que Dieu envoya des prophètes annncer au peuple son projet de vie, le peuple les a rejetés, nous pouvons penser à Jérémie, Agée, et combien d'autres, et bientôt le peuple demandera la mort du Fils. C'est aussi notre propre histoire. Aujourd'hui parler des exigences de l'Évangile et de notre mission de chrétien n'a pas toujours bonne presse.
Ils se saisirent de lui, le jettèrent hors de la vigne et le tuèrent. Jésus sera crucifié en dehors de la ville de Jérusalem. Jésus annonce sa propre mort. La sentence prononcée par les gens contre les ouvriers n'est pas celle de Jésus. Les gens veulent la destruction de ces ouvriers, mais Jésus a une autre vision de l'événement. À l'époque la pierre ou les pierres de trop lors de construction étaient rejetées par les ouvriers, comme le fils de la vigne. Cette pierre, c'est Jésus qui deviendra la pierre sur laquelle repose tout l'édifice spirituel de l'Église. Alors Jésus a cette phrase très dure pour les anciens du peuple et qui doit les obliger à bien méditer: Le royaume de Dieu vous sera enlevé pour être donné à une nation qui lui fera prodire ses fruits. Pour les grands prêtres et les anciens du peuple qui se croyaient maitre dans ce royaume de Dieu, cette parole est dure à entendre.
Plusieurs explications peuvent être donnes à cette parabole. Si nous nous regardons aujourd'hui, qu'est-ce que cette parabole m'enseigne pour mon agir quotidien. Nos églises sont vides, les jeunes surtout sont étrangers à nos pratiques, on dit que le peuple n'est plus chrétien. La violence grandit dans nos milieux et nous nous sentons bien heureux d'être encore pratiquant sacramentel.
Ce que nous rejetons peut devenir la pierre vivante de l'Église de demain. Ces chrétiens qui ont quitté la pratique religieuse sont à la recherche de plus de spiritualité; sont souvent à la recheche de valeurs profondes qui les habitent. Ce qui compte pour Jésus c'est le coeur. La vérité de ce que nous croyons. Le message important n'est pas seulement ou d'abord la punition des vignerons, mais la place du Christ au coeur de notre monde. Jésus ne se fit pas aux apparences, mais à la qualité du coeur. Ce n'est pas le nombre de messes vécues mais la qualité du coeur dans la vie quotidienne et dans notre pratique sacramentelle.
Les grands prêtres agissent comme s'ils étaient maitre du temple et de la religion. Depuis le Concile, nous avons connu aussi de ces grands maitres qui se croient maitre de la religion et qui jugent les chrétiens de la diaspora. Le royaume de Dieu se manifeste par des fruits. Si nous regardons tous ce qui se vit aujourd'hui au soin des handicapés, des personnes âgées, des enfants malades, est-ce que le royaume du Seigneur ne serait pas en train de se manifesrer à nous à travers ce quotidien?
Cette parabole je le souhaite accompagnera les Père du synode à Rome dans ce regard sur ce que le monde nous demande et a besoin aujourd'hui.