Mathieu nous raconte la visite des Mages venus adorer l'enfant Dieu. L'hisoire des hommes a transformé les mages en rois et en faite venir trois. L'Évangile ne dit seulement que c'était des mages, proablement des savants. Et l'histoire parle d'un Éthiopien, d'un africain et un autre de l'Asie. En Luc ce sont les bergers qui viennent les premiers à Jésus, l'accueil de ces étrangers nous indique la volonté de Jésus de nous dire qu'il est venu pour tous quelque soit leur rang, leur dignité ou leur origine. Jésus ne fait pas de distinction entre les personnes. La venue de Jésus n'est pas pour un petit nombre de privilégiés, il est là pour tous.
Ces mages aussi offrent à Jésus des présents: L'or, l'encens et la myrthe. C'est à dire qu'ils offrent l'or symbole de l'amour, l'encens symbolise nos désirs, nos aspirations; la myrthe symbolise nos souffrances et les bévues de la vie, mais surtout la guérison de ces blessures. En définitive, les mages se sont donnés eux-mêmes, leurs richesses intérieures. Ces richesses nous les possédons tous et toutes. Il nous est donc possible de faire ainsi.
Quand nous arrivons à la crèche, nous sommes le 5e ou le 6e mage et nous pouvons dire au Seigneur`Sur ma route, j'ai rencontré des itinérants qui couchaient à la belle étoile alors je leur ai donne des sous pour se payer une chambre, j'ai rencopntrer des femmes violentées et bafouées que j'ai libérer, j'ai vu des enfants maltraités à qui j'ai payé la liberté et alors j'arrive les mains vides. Je sais que Jésus me sourira avec plaisir et prendra mes mains vides pour les remplir de sa tendresse et de son amour. C'est à nous de nous donner à ce Jésus Christ qui nous révèle l'amour inconditionnel de son Père pour nous.
Alors si nous voulons nous déposer au pied de cet enfant Dieu avec tout de que nous sommes d'amour, de bonté, partons à la recherche de cet enfant dans notre quotidien et déposons en lui toutes nos richesses intérieures, tout ce qui brille au fond de nous. l'Épiphanie est la découverte d'un Dieu de tendresse qui vient nous dire; "Aimez-vou sles uns les autres, comme moi, je vous ai aimés."