Jésus est au temple de Jérusalem lorsqu'on lui amène une dame accusée d'adultère, une faute que la loi de Moïse condamne à la lapidation. Jésus va sortir cette femme du mépris de ses accusateurs et lui redonner sa dignité de femme et d'être humain. Remarquons que Jésus ne lui dit jamais : je te pardonne, parce que derrière cette condamnation existe une autre question plus importante à l'époque. Jésus va replacer les choses en ordre.
La femme a l'époque est un objet au service de l'homme, et cette femme deviet un jouet pour tendre un piege à Jésus. À l'époque les hommes peuvent briser leur union mais pas la femme qui sera condamnée. Alors si Jésus prend parti pour la femme, on l'accusera d'être contraire à la loi de Moïse; s'il se range du côté des accusateurs, on l'accusera de ne pas être fidèle à son enseignement sur le pardon. Donc Jésus est pris au piège. Mais Jésus cerne le problème de la place de la femme dans la société et c'est à ce niveau qu'il va prendre les accusateurs à leur porpre piège.
Alors Jésus se penche et dit aux accusateurs: Que celui parmi vous qui n'a jamais péché, lui lance la première pierre. Il s'arrête et laisse ces accusateurs à leur propre conscience. Il les oblige à affronter leur propre vérité. Il les renvoie à eux-mêmes au lieu de les laisser accuser la femme. En posant ce geste d'écrire sur le sable et de garder le silence, il déstabilie complètement les pharisiens et les laisse avec leur porpre pensées. Ils commencent donc à se retirer en commençant par les plus âgées. Les plus âgés sont les plus sages et comprennent mieux leur propres pchés et doucement se retire. Jésus agit ici avec une grande habileté; il ne se met pas en cause en pardonnant, ce sont les accusateurs qui sont pris au piège. Comme dit Sant Augustin: il reste deux personnes seules, la pécheresse et le coeur qui aime et pardonne le péché.
Alors personne ne t'a condamnée, je ne te condamne pas moi non plus. Jésus ne condamne pas, il relève: Va et ne pèche plus. VA, tu es plus grande que tout ce que l'ont dit sur toi. Ne reste plus conditionnée par le jugement des autres. VA et suis ta lumière intérieure pour ne plus rater ta cible dans tes agirs. Jésus ne condamne pas parce qu'il sait que la deme a une plus grande valeur que sa faute et qu'elle possède tout ce dont elle a besoin pour corriger le tir de sa vie et grandir. Il ne s'agit pas d'approuver le mal mais de comprendre que derrière ce mal. il y a une personne humaine avec son histoire, ses besoins et ses faiblesse. L'important à la suite d'une faute est de se relever et de continuer de grandir en continuant d'avancer selon la musique de notre être. "Tes chutes ne te définissent pas. Tu vaux beaucoup plus qu'elles, tu peux te reprendre et c'est le chemin que Jésus lui propose aujourd'hui.
La question que ce texte me pose: De quel côté je me situe, du côté des accusateurs devant mes propres fautes ou celui des voisins, ou celui côté de JÉSUS CHRIST?