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Une pêche. Jn 24, 1-19.
Après la résurrection, les apôtres semblent s'ennuyer et quelques disciples pour se décennuyer partent à la pêche. Mais leur aventure est vaine, perseone ne prend de poissons. Les pauvres reviennent bredouilles de leur aventure. Mais Jésus les attend sur le. rivage et leur demande s'ils ont quelque chose à manger. Comme ils n'ont rien, il leur dit une toute petite chose: «jetez le filet à droite de la barque. Ils prirent tellement de poissons qu'ils eurent de la difficulté à le remorquer au bord du lac. Ils en avaient cent cinquante-trois, nous di le texte de l'Évangile. Comme disait l'enfant un jour: Quand le Seigneur agit, il y en a en masse. Personne ne le questionnait, Tous savaient que c'était le Seigneur.
Quel message Jésus nous adresse-t-il aujourd'hui dans cette épisode? D'abord Jésus leur dit de jeter le filet à droite de la barque. Le côté droit est le lieu de la conscience, de la réflexion et de l'écoute du Seigneur. Alors Jésus leur dit de ne pas se fier seulement à leur intuition de pêcheur, ils doivent aussi réfléchir à la situation. Il veut leur faire comprendre que dans la vie, dans leur ministère, il n'y a pas seulement leur flair mais aussi un partie d'écoute du Maitre et une partie de réflexion sur la situation des gens devant eux. Aujourd'hui plus que jamais devant la situation de notre Église cette remarque du Seigneur prend toute son importance. Il ne s'agit plus simplement de faire les choses de la façon dont nous avons toujours agit mais de prendre le temps d'écouter le Seigneur et de mieux analyser la situation devant nous. Il nous faut revenir à l'essentiel. Le Seigneur parle à travers les chrétiens de nos communautés. C'est une expérience fondamentale que nous devons considérer même si cela dérange nos coutumes.
Aussi les poissons symbolisent toujours les valeurs profondes de l'être humain. Alors le Seigneur vient dire aux siens qu'ils ne doivent regarder leur intérieur d'une façon superficielle, d'une maniêre inconsciente, mais prendre le temps de bien écouter le Seigneur, de comprendre son message, de l'intégrer avant de poser un geste concret. Il nous faut aller jusqu'au fond de notre océan intérieur pour bien découvrir le message de Jésus. Il nous est trop facile de dire des choses sans préparation, sans méditaiton et de passer à côté du message.
Les apôtres découvrent le petit déjeuner préparer au coin du feu sur le rivage. Arrivé à terre, ils découvrent un feu de braise avec du poisson posé dessus et du pain. Personne ne l'interroge, on savait que c'était Jésus. Le pain dans la coutume du temps avec le poisson est la nourriture de l'immortalité. Nous sommes devant l'Eucharistie qui est aussi la nourriture de l'inmmortalité. C'est à travers le quotidien que nous découvrons le sens de l'immortalité. C'est dans un geste tout simple comme la pêche que les apôtres découvrent que le Seigneur leur donne la nourriture de l'immortel.
Pour ces hommes fatigués et un peu découragés, ce geste de Jésus est un geste d'amour et Jean a voulu conserver ce simple geste pour nous rappeler que Jésus était proche de nous au quotidien. la résurrection est l'achèvement de l'amour, geste de Marie au tombeau; de la foi dans le geste de Thomas et au quotidien dans ce simple moment de pêche.Ceci suscitera quelque chose d'extraordinaire entre Pierre et Jésus: Tu sais bien que je t'aime lui dit Pierre, Jésus repond, sois le berger de mes brebis. C'est la consécrationde Pierre comme le Pasteur de l'Église. suis-moi, Lui dira-t-il. Ce mot c'est à chacun et chacune de nous qu'il l'adresse: Suis-moi. Amen.
A lire
Samian La plume d'aigle. Mémoire d'encrier. Petit livret de poèmes qui reflètent une pensée profonde sur l'histoire du peuple Amérindien surtout dans l:histoire malheureuse des pensionnats. C'est un livre à lire et méditer. Bonne lectureé
Mets ta main ici. Jn 20, 19-31.
Depuis la résurrection du Seigneur, les disicples n'ont d'autres repères pour reconnaitre le Seigneur que le témoignage des gens qui l'ont reconnu. Ils n'ont pas de preuve de la résurrection. La foi se transmet maintenant sur la foi des témoignages. C'est en regardant leur vie, ce qui s'y passe, les événements qui la jalonnent que les apôtres peuvent reconnaitre l'action du Seigneur présent. C'est aussi en se remémorant les paroles de Jésus qu'ils peuvent découvrir sa présence avec eux. Il leur avait dit qu'il serait présent à leur au quotidien. Il en est de même pour nous. Nous devons écouter le témoignage des gens qui ont la foi par expérience. La foi maintenant est l'expérience du coeur. Mais à lépoque c'était surtout le témoignage de la communauté qui avait de la force de conviction.
Il y a encore de nos jours des gens qui ne croient pas au Réssuscité. C'est normal, mais il nous faut compter et vérifier la force du témoignage. Le Pape François nous a donné un témoignage de foi selon l'Évangile et qui passera l'épreuve du temps. C'est un géant de l'amour, du pardon, des rassemblements qui vient de traverser notre Église. D'autres avant lui sont passés et d'autres passeront aussi. Mais nous sommes confrontés à la force du témoignage. La foi n'est pas d'abord intelletuelle, elle est une expérience du coeur. Je crois que la situation actuelle de notre Église en est un exemple important. Notre foi n'était-elle pas trop intellectuelle, une foi pratique, une foi du faire et pas suffisemment une foi de l'être?
Dans l'Évangile D'aujourd'hui notre bon ami Thomas, qui nous ressemble si bien, pose ses exigences pour croire. Il lui faut des preuves, ce pauvre Thomas. Il veut voir Jésus comme au temps où il vivait au milieu d'eux. Mais la résurrection n'est pas un retour à l'état antérieur, mais un éveil spirituel à une nouvelle façon d'être. Jésus traverse les portes closes et vient se faire reconnaitre par les siens. Thomas reçoit des signes sensibles de la résurrection. On dit que Jésus lui montra ses plaies comme le voulait Thomas, peut être. L'important est que celui-ci a reçut du Seigneur les signes dont il avait besoin pour croire. Comme Thomas nous voudrions toucher le Seigneur, non seulement coire mais aussi savoir. (de visu), comme on dit.
Thomas pourra dire cette merveilleuse profession de foi`Mon Seigneur et mon Dieu. C'est l'expression de celui qui a fait une expérience prfoonde du Ressuscité; un expression qui ne vient pas de la tête, mais du coeur. L,expression de celui qui a fait une expérience du christ et s'est senti accpeté et aimé. par cette rpofession de foi, Thomas ressuscite lui-ême a la foi, à la vraie vie. Jésus montre aussi un autre chemin pou rparvenir à la foi: Heureux ceux qui croient sans avvoir vu. C'est notre cas. Cette expérience du coeur nous le faisons chacun à notre façon, soit dans un temps de prière, de silence, dans la nature, l'important est de reconnaitre en nous cette présence du ressuscité.
En ce temps d'Église tourmenté où les anciens repères disparaissent doucement, demeurons attentifs aux témoignages de vie, de foi qui sont nombreux autour de nous et prions pour que des témoins se lèvent nombreux, des témoins qui laissent passer le Christ, laissent passer l'Évangile. Des témoins qui puissent dire comme Thomas du fond de leur coeur: Mon Seigneur et mon Dieu. C'est de cela dont notre monde a le plus besoin. Amen.
Pâques. Jn 20, 1-9.
Il est beau ce texte de Jean du dimanche de Pâque du matin. Il est plein de message et dans la ligne de l'enseignement de Jésus. De grand matin, Marie Madeleine se rend au tombeau. Le tombeau est vide. Elle court dire aux disciples: On a enlevé le Seigneur de son tombeau et je ne sais pas où on l'a mis. Voila manifesté le coeur de la tendresse et de l'amour. C'est une femme qui la première se rend au tombeau alors que les disciples sont enfermés à Jérusalem par peur des juifs. Voila manifesté le ministère de la femme dans l'Église. C'est extraordinaire, Jean a cette qualité de cerner la place de chacun dans la comunauté. Marie Madeleine croit que Jésus est mort, vraiment mort.
Alors Pierre et Jean viennent aussi au tombeau. Jean plus alerte arrive le premier, il voit le tombeau vide et attend que Pierre arrive et voit. Il apperçoit les linges et le suaire posés à leur place. Alors Jean entre, il voit et il croit. Il est intéressant de noter la différence entre les deux. Pierre un cérébral voit et reste passible; Jean entre, voit et croit que Jésus n'est plus mort mais vivant. Jean voit avec les yeux du coeur, c'est le disciple bien-aimé.
Notons que ces gens viennent à la recherche de Jésus. Ils oublient que c'est Jésus qui nous trouve, c'est Jésus qui fait le premier pas de reconnaissance envers les siens. Il rencontre Marie et l'appelle par son nom: Marie. Il rejoindra les deux disciples sur la route d'Emmaüs, il visitera les disciples dans leur repère à Jérusalem. Mais Marie a une place importante dans ce récit de la récurrection. Elle est seule au tombeau, elle cherche un mort, mais il est absent. Il la rencontre et l'appelle par son nom: Marie. Marie est ce symbole de chacun et chacune d'entre nous qui souvent dans nos prières nous pensons que Jésus est mort et ne nous entend pas.
les apôtres aussi nous ressemblent beaucoup, comme eux nous sommes parfois cachés derrière les portes closes de notre coeur fermés à la souffrance autour de nous et à la présence du ressuscité dans tout ce qui est vivant autour de nous. Mais Jésus fait toujours les premiers pas pour nous dire son amour. Il ne nous reproche pas la faiblesse de foi, Il ne veut que nous aimer, nous pardonner. Nous sommes les enfants bien-aimés du Père. Il nous la prouvé vendredi dernier dans le sacrifice sublime de la croix. Mais Jésus ne veut pas les laisser croire dans leur peur et les envoie à la communauté. Cette Bonne Nouvelle a besoin d'être connue.
Si nous avons eu a raconter cette événement, nous aurions sans doute aimé voir Jésus au tombeau avec Marie Madeleine en train de plier le suaire et les linges C'aurait été beaucoup plus simple. Mais Jésus a choisi un autre chemin. Il a choisit le chemin de l'expérience du coeur, le chemin de Jean: Il vit et il crut. Notons: Il vit et il crut et non voir et croire. Jesan voit un tombeau vide et il croit que Jésus est ressuscité. C'est d'un même mouvement, c'est instatané. Au tombeau vide il n'y a place que pour l'amour.
la présence du ressuscité ne se découvre qu'avec le coeur. Cette découverte est le fruit d'une méditation et d'une expérience du coeur. Marie Madeleine ne parle pas de cadavre, mais de son Seigneur. Nous devons faire la même réflexion avec nos défunts: il n'y a pas de cadavre mais des êtres aimés. Marie se met en route à la recherche de Jésus et celui-ci vient à sa rencontre et l'appelle par son nom: Marie. Qui se met en route vers Jésus le rencontrera sur son chemin,il viendra à nous en nous appelant par notre nom. Dans la résurrection, nous accédons à une autre réalité de Jésus, une autre façon d'être présent à nous. C'est en communauté que le Seigneur nous envoie pour découvrir sa nouvelle façon d'être présent à nous. C'est en communauté que s'affermit et se célèbre notre foi. Après Pâques nous pouvons dire que mainrenant nous vivons et nous découvrons comme des êtres éternels. Amen. Alléluia.
Incitation à lire.
Frédéric Lenoir: La puissance de la Joie. L'auteur nous présente des chemins vers la joie: Va vers toi-même et ajuste-toi su rla société. Il nous parle aussi de "laisser fleurir la joie, de la joie de vivre. C'est une lecture enrichissante et nourissante pour la vie. Bonne lecture.
En lisant
Fabrice >Hadjadj: Le Dieu des bêtes.Novalis. C'est un peu l'arche de la Parole avec ce livre sur les bêtes dans la Bible. Jésus s'est tenu souvent dans la nature, les bêtes avaient de l'importance pour lui et la symbolique des bêtes pour nous aujourd'hui. C'est une lecture un peu ardue pour un profane mais combien enrichissante pour notre vie intérieure. Bonne Lecture.
L'heure de lObscurité. Luc 22-38
Nous entrons aujourd'hui dans la Grande Semaine, la Semaine Sainte. Essayons ensemble de méditer le sens de cet événement. La mort de Jésus est la révélation de l'amour immense de Dieu pour l'humanité. Nous avons dans ce tableau d el amort de Jésus, d'un côté Pilate qui affirme: je n'ai trouvé en lui aucun motif de condamnation et plis loin il ajoute: Je vais donc le relâcher. D'un autre côté, nou savons les grands prêtres et les scribes qui influencent le peuple et demande sa mise a mort. Nous l'avons entendu proclamer de ne pas payer l'impôt a l'empereur et semer le trouble. Et enfin nous avons jésus qui ne fait que redire ce qu'il a toujours enseigné: Qu'il est le fils de Dieu, le Messie venu révéler l'amour de son Pèere. Quel tableau saississant qui nous révèle le sens de l'existence humaine et de l'engagement chrétien.
Jésus durant toute sa vie a prêché l'amour et le pardon du Père. Aujourd'hui Il va nous montrer jusqu'ou va cet amour de Dieu. Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils pour lui dire cet amour, nous dira Jésus un jour. Jésus est devant Pilate en nuit sombre et ses accusateurs l'accusent: Nous avons trouvé cet homme slouvenant la nation. Il défend de payer l'impôt èa César. Notons que ce sont les hommes religieux qui l'accusent, ils ont peur de perdre leur pouvoir et ils montrent Jésus comme un agitateur. Mais Jésus ne fait que répondre sagement ce qu,il a toujours dit.
Il y a dabs cette scène des faits troublant: ce sont d'abord des hommes religieux qui l'accusent, des gens du temple qui ont soudoyer le peuple. Pilate ne trouve pas de motif d'accusation, mais le peuple est en colère. Même ses disciples le renient: Toi aussi tu étais l'un des siens. Pierre répond: Je ne le connais pas. Imaginons ce que peut représenter pour Jésus de voir ses propres disciples le renier par peur des juifs. Jésus ne renie pas ce qu'il est et ce qu'il a enseigné. Il, pardonne-leur va montrer jsuqu' ou peut aller l'amour du Père.
On dit souvent que Jésus est venu donner sa vie en rançcon pour nos péchés. Je ne crois pas que ce soit le motif premier. Jésus est venu d'abord dire l'amour et le pardon de Dieu. Il accepte les accusations des hommes qu'il a dérangé et fait peur pour nous prouver l'amour du Père, pour nous dire : Mon Père vous aime assez pour accepter que je meure pour vous prouver cet amour. Et sur la croix Jésus dira: Père, pardonne leur, ils ne savent pas ce qu'ils font. Quel grandeur d'âme d'être capable de dire une telle parole au moment de mourir. Pardonner a ses bourreaux. C'est la aussi que nous comprenons l'enseignement de Jésus: derrière un malfaiteur, il y a toujours un être humain qui a son histoire, ses souffrances, ses peurs. Pour Jésus, c'est l'être humain qui est important d'abord au-dela du geste qu'il pose. Jésus avait toujours dit qu'il était venu pour les pécheurs et il est crucifié au milieu d'eux, entre deux mécréants. Jésus voulait aussi demeurer fidèle a lui-même, il ne pouvait pas se renier pour échapper aux malversations des chefs religieux.
Joseph d'Arimathie vient déposer Jésus au tombeau et le silence s'étend sur la terre. les femmes sont la, pleurant celui qu'elles ont connu et aimé. C'est le grand silence avant l'alléluia de Pâques, du réveil de Jésus et de son apparition aux siens. Jésus a prouvé l'amour du Père jsuque dans la mort et ce matin de Pâques il le prouve de nouveau dans une présence quotidienne aux siens jusqu'a la fin des temps.
Sortir des jugements. Jn 8, 1-11.
Jésus est au temple de Jérusalem lorsqu'on lui amène une dame accusée d'adultère, une faute que la loi de Moïse condamne à la lapidation. Jésus va sortir cette femme du mépris de ses accusateurs et lui redonner sa dignité de femme et d'être humain. Remarquons que Jésus ne lui dit jamais : je te pardonne, parce que derrière cette condamnation existe une autre question plus importante à l'époque. Jésus va replacer les choses en ordre.
La femme a l'époque est un objet au service de l'homme, et cette femme deviet un jouet pour tendre un piege à Jésus. À l'époque les hommes peuvent briser leur union mais pas la femme qui sera condamnée. Alors si Jésus prend parti pour la femme, on l'accusera d'être contraire à la loi de Moïse; s'il se range du côté des accusateurs, on l'accusera de ne pas être fidèle à son enseignement sur le pardon. Donc Jésus est pris au piège. Mais Jésus cerne le problème de la place de la femme dans la société et c'est à ce niveau qu'il va prendre les accusateurs à leur porpre piège.
Alors Jésus se penche et dit aux accusateurs: Que celui parmi vous qui n'a jamais péché, lui lance la première pierre. Il s'arrête et laisse ces accusateurs à leur propre conscience. Il les oblige à affronter leur propre vérité. Il les renvoie à eux-mêmes au lieu de les laisser accuser la femme. En posant ce geste d'écrire sur le sable et de garder le silence, il déstabilie complètement les pharisiens et les laisse avec leur porpre pensées. Ils commencent donc à se retirer en commençant par les plus âgées. Les plus âgés sont les plus sages et comprennent mieux leur propres pchés et doucement se retire. Jésus agit ici avec une grande habileté; il ne se met pas en cause en pardonnant, ce sont les accusateurs qui sont pris au piège. Comme dit Sant Augustin: il reste deux personnes seules, la pécheresse et le coeur qui aime et pardonne le péché.
Alors personne ne t'a condamnée, je ne te condamne pas moi non plus. Jésus ne condamne pas, il relève: Va et ne pèche plus. VA, tu es plus grande que tout ce que l'ont dit sur toi. Ne reste plus conditionnée par le jugement des autres. VA et suis ta lumière intérieure pour ne plus rater ta cible dans tes agirs. Jésus ne condamne pas parce qu'il sait que la deme a une plus grande valeur que sa faute et qu'elle possède tout ce dont elle a besoin pour corriger le tir de sa vie et grandir. Il ne s'agit pas d'approuver le mal mais de comprendre que derrière ce mal. il y a une personne humaine avec son histoire, ses besoins et ses faiblesse. L'important à la suite d'une faute est de se relever et de continuer de grandir en continuant d'avancer selon la musique de notre être. "Tes chutes ne te définissent pas. Tu vaux beaucoup plus qu'elles, tu peux te reprendre et c'est le chemin que Jésus lui propose aujourd'hui.
La question que ce texte me pose: De quel côté je me situe, du côté des accusateurs devant mes propres fautes ou celui des voisins, ou celui côté de JÉSUS CHRIST?