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Homélies, réflexions et spiritualité

Textes de réflexion

Jos. Deschênes

Jos. Deschênes

Un médecin, devant l'expansion de la covid-19, disait que l'arrivée aussi fulgurante de cet ennemi nous faisait réaliser que quelque chose ne marche plus dans notre monde. Cette pandémie nous forcerait à un retour à l'essentiel. Nous apprendrons à nous écouter, à écouter les autres et à changer certaines habitudes de vie. les relations humaines deviendront plus importantes que la course à l'argent et au confort.

En relisant l'Évangile de Marc et de Monsieur Isaïe, j'aivais l'impression d'entendre la même réflexion. L'évangéliste dit: Il y a quelque chose qui ne marche plus dans votre monde; Jean est venu nous inviter à redresser nos chemins, à ouvrir nos coeurs à l'essentiel et votre système religieux ne marche pas, dira Jean. Vous opprimez les gens avec des lois et de sobligations insensées, réveillez-vous et prenez conscience de ce qui se passe.  Jean était la covid du temps. La covid est venu nous révéler la fragilité de nos systèmes. Les gens me disent: Il n'y a plus de messe, nous sommes devenus païens. Ce temps de pandémie nous permet de réfléchir sur notre façon de vivre, le temps de l'Avent nous invite à réfléchir sur la qualité de notre vie chrétienne au quotidien. Nous sommes invités aussi à refléchir sur notre vie de prière et  par le jeûne eucharistique, à redécouvrir l'importance et la valeur de l'Eucharistie dans notre vie chrétienne.

Préparer le chemin du Seigneur, proclame Jean. Qu'est-ce que cela signifie pour nous aujourd'hui? Il me semble que le premier chemin à revoir est celui de nos mentalités. Le chemin du coeur qui nous permettrait d'écouter le cri des mal aimés de notre monde. Le cri  nos enfants et adolescents victimes de maltraitances, des femmes victimes de violenes et d'intimidation, des ouvriers jetées sur le carreaux comem de vieilles guenilles dont on n'a plus besoin. L'Évangile est un message  qui dérange et nous convertit. Restons éveillés pour cueillir le passage du Seigneur dans nos vies. Ce passage peut se faire par cette venue du virus qui nous invite à redécouvrir l'essentiel de notre vie et de notre vie chrétienne dans un monde de lutte pour la justice et la dignité des personnes.

Et Marc nous envoie en plein visage dès le début de son Évangile le force de son message. "Commencement de l'Évangile de Jésus Christ." L'Évangile est une Bonne Nouvelle, et une bonne nouvelle dans la Bible est une nouvelle qui dérange, convertit et fait avancer. C'est tout le message de l'Évangile.   Cet dans cet esprit que nous devons livre l'Évangile. Un message qui vient déranger nos habitudes et nous envoie sur d'autres chemins. Moi, je vous annonce un baptême de conversion; Lui, vous annoncera un baptême de convertit. Un baptême qui va changer vos chemins. Un baptême qui vous fera quitter vos propres chemins pour emboiter le pas sur les chemins du Christ Jésus. Le chemin du Christ, c'est celui de notre quotidien.

Les célébrations eucharistiques que nous pourrons célébrer nous ferons déposer sur la patène de nos célébrations tout ce vécu de nos frères et soeurs sur la ligne de front pour nous assurer une meilleure qualité de vie, toutes ces personnes aux services essentiels.  Il faut offrir ces personnes avec le Christ afin qu'elles soient toujours du bon pain pour nourrir le monde fatigué et souffrant. Nous qui avons encore l'occasion et le goût de célébrer notre foi apportons avec nous tous ces gens qui vivent le don d'eux-mêmes à l'exemple du Christ afn d'être ensemble un seul corps: le Corps vivant de Jésus Christ.

 

lundi, 30 novembre 2020 16:04

Quand Jésus parlait.

Quand Jésus parlait, c'était pour dire quelque chose. C'est à cela qu'il m'invite aussi.

 

lundi, 30 novembre 2020 15:57

Le bonheur.

Étienne Drapeau: Faire le choix du bonheur. 2020. Trucs et conseils pratiques pour être heureux. L'auteur fait l'histoire de son cheminement spirituel et des moyens qu'ils s'est donnés pour vivre heureux. Il a adopté une belle expression: La vie est belle. Lecture simple et facile, remplie de petits trucs qui enjolivent la vie et déposent des guirlandes de bonheur dans le quotidien. Ce petit livre nous apprend aussi à découvrir et profiter de nos richesses intérieures pour orner notre vie. je vous souhaite une excellente lecture.

 

lundi, 30 novembre 2020 14:53

Une belle homélie.

En écoutant religieusement l'émission "Tout le mnde en parle" hier soir, je pensais au texte du Pape François: Nous avons dit que le peuple de Dieu par l'action constante de l'Esprti en lui, s'évangélise continuellement luimême. Qu'implique cette conviction pour le prédicateur? Elle nous rappelle que l'Église est mère et qu'elle prêche au peuple comme une mère parle à son enfant, sachant que l'enfant a confiance,  que tout qu'elle lui enseigne sera pour son bien et qu'il se sait aimé. (La joie de l'Évangile, p. 131). Ceci m'a rappelé cette vieille dame qui me disait: "J'écoute la messe à la télé et qund arrive l'homélie, je ferme le son. Sus tannée d'entendre des choses qui ne me disent rien et que je ne comprend pas." Hier soir, on nous a parlé d'Évangile, Mme Arbour, Désormeaux-Poulin, Néron nous ont fait une belle homélie, elles nous ont tracé de belles pages d'Évangile sans le nommer. Actuellement je me laisse évangéliser par ces femmes et ces hommes qui vivent l'Évangile et le disent ouvertement sans le nommer précisément.  Dans le livre du Pape à la fin de la citation, j'aivais écrit: D'où l'importance de faire donner l'homélie par les femmes.

L'émission terminée, j'ai fermé ma télé et dans le silence de mon appartement, j'ai longuement méditer leur témoignage de vie. Et je me suis posé la question: Pourquoi moi, comme prêtre, je ne suis pas présent au monde? Pourquoi ce fossé entre l'Église institutionnelle et l'Église du terrain? Pourquoi après la Révolution dite tranquille nous sommes-nous refoulés dans la liturgie? Ne sommes-nous pas en train de voir surgir une nouvelle Église, de voir naitre une nouvelle façon d'exercer le ministère presbytéral? Pourquoi avons-nous peur de parler de pratique évangélique au lieu de pratique sacramentelle? La pratique évangélique se vit au quotidien par beaucoup de chrétiens. La pratique évangélique est le ferment, la base nécessaire à la pratique sacramentelle. Il y a là à mon humble avis une piste de réflexion et de partage en petite communauté qui pourrait nourrir notre Avent ce temps de renaissance en Église. Pourquoi en Église avons-nous peur de cette vérité?

 

dimanche, 29 novembre 2020 15:13

M. Marc, Bonjour.

Premier dimanche de l'Avent, 29 novembre 2020. Une nouvelle année liturgique commence. Cette nouvelle année nous fera méditer l'Évangile de Marc. Alors je proposerai une petite pidste de réflexion sur ce bon Monsieur Marc. Réflexion qui pourra être engraissée dans des moments de partage biblique.  Il serait intéressant et profitable durant l'Avent de faire une lecture continue de l'Évangile de Marc en commençant par le premier verset.

D'abord, on attribue cet Évangile à Marc parce que Paul parle de son compagnon Marc, Act. 15,37 et Colossiens 4, 10. Et de plus au 2e siècle Papias écrit: "Marc l'interprète de Pierre a écrit avec axactitude, mais pourtant sans ordre tout ce dont il se souvenait de ce qui avait été dit ou fait par le Seigneur."

A qui s'adresse-t-il? Marc prêche à Rome, donc à une communauté étrangère à la tradition juive et à l'annonce du Messie. Il va donc ajuster son enseignement à cette communauté. Il fait du kérigme, c'est à dire l'annonce de Jésus Christ. Il veut faire connaitre le Christ Jésus. Comme ces gens ne connaissent pas le Christ, il va se demander: Qu'est-ce qu'ils ont besoin d'entendre pour faire une expérience du christ? Cette attitude pastorale de Marc est encore d'un très grande actualité aujourd'hui. Qu'est-ce que les gens d'aujourd'hui ont besoin d'entendre pour connaitre le Christ dans leur vie? L'Évanigle de Marc est d'une très grande actualité et nous essaierons de le méditer pas à pas.

Ceommencement de l'Évangile de Jésus Christ fils de Dieu.  

Commencement: comme pour le texte de la création: Au commencement Dieu créa ... Dès le point de départ, Marc nous annonce que quelque chose va se passer. C'est le début d'un monde nouveau.  C'est une invitation à éveiller notre attention. Nous ne sommes pas devant un récit ordinaire. Notre lecture devra être lente, méditative pour intégrer le message proposé et découvrir la personne qui nous est présentée. Il faut rester éveillés et réceptifs.

de l'Évangile: L'Évangile est Bonne nouvelle; une Bonne Nouvelle dérange, questionne et conduit plus loin. Si elle ne dérange pas, elle n'est pas Bonne Nouvelle. Le mort du Christ est Bonne Nouvelle parce qu'elle questionne porte un message et nous conduit à la résurrection. La mort de l'homme noir sous genou du policier aux Étas Unis est Bonne Nouvelle parce qu'elle dérange, questionne et pousse à une action pour corriger la situation. Une contestation d'une décision ou d'un état de fait est une Bonne Nouvelle parce qu'elle dérange, questionne et pousse à avancer autrement.  L'Évangile de Marc fait connaitre le Christ, il est Bonne Nouvelle parce qu'il dérange nos sécurités, nos aises pour entrer en cheminement avec le Christ.

de Jésus Fils de Dieu: Marc commence en pérsentant Jésus comme le Fils de Dieu, Mc 1, 1; l'Évangile se termine avec la même expression venant de la bouche d'un soldat romain: Vraiment, cet homme était Fils de Dieu. Mc 15, 39. Tout ce qui est entre ces deux versets va nous révéler le Fils de Dieu tout en nous faisant prendre conscience que ce Fils de Dieu était pleinement humain.  C'est avec ce bref tableau que nous pouvons commencer la méditation de l'Évangile.

samedi, 28 novembre 2020 14:56

Une page d'Évangile.

Liberté, avons-nous découvert hier soir à l'émission "Y a du monde à messe". J'avais parfois l'impressin d'entendre Jésus Christ nous parler.  L'aumôner de prison parlait de la prison intérieure dont vivent un grand nombre de gens et de leur incapacité trop souvent d'en sortir. Mme lapointe nous a parlé de son père et de sa mère prisonniers de leur habitude de boire. Son père s'en est sorti; sa mère, non. Le jeune humoriste s'est aussi libéré d'un prison intérieure pour suivre sa voie. J'avais l'impression d'entendre Jésus avec le jeune homme riche: Si tu veux être libre, débarasses-toi de ta prison intérieure face à tes biens et viens. Le jeune homme lui dit: "Je ne suis pas capable," et il partit. Ceci m'a rappelé un jeune confrère prêtre, prisonnier intérieurement, me dire au lendemain d'une tentative de soicide ratée: Je ne suis plus capable, Jos. comprends-tu, je ne suis plus capable d'avancer. En méditant ces cris, je croyais relire le texte de l'Exode: J'ai vu la misère de mon peuple, j'ai entendu son cri et je suis venu le délivrer. Ex. 3,7-8. Les chrétiens nou sdisent souvent: moi la messe, je ne suis plus là, ça ne me nourris plus. Je partage la parole de Dieu et j'essaie de mieux vvire avec les autres. Et souvnet note répnse est de leur dire; Je vais venir à votre partage et je célébrerai la messe. Il est difficile parfois d'écouter les gens. Le Pape François nous invite souvent à écouter le cri de nos frères et soeurs en humanité. Ce matin encore SON message est de nous inviter à guérir notre monde pour avoir un monde plus juste et plus fraternel.  

En plus de nous demander d'écouter le cri des gens prisonniers dans leur coeur, je lis dans cette émission que la recherche de spiritualité et de valeurs intérieures est une  réalité universelle. Hier soir, tous les participants étaient réunis autour des mêmes valeurs dans la diversité de leur situation et croyance personnelles. Si nous voulons avoir une liberté extérieure, liberté de pensée et d'action, il nous faut acquérir cette liberté intérieure, faire la vérité sur nous même ce qui nous rendra libre. C'est le message de l'Évangile. Ce qui nous divise  n'est pas la spiritualité ou la vie chrétienne, mais la religion. alors que la religion devrai têtre une pédagogie qui nous permet d'intégrer et de bien vivre notre spiritualité et donc favoriser notre unité, elle devient un lieu d'opposition. Je crois que le monde est en train de nous évangéliser. 

 

vendredi, 27 novembre 2020 15:12

Chiâleux vs Contestataire.

Nous entendons beaucoup de critiques négatives tant à la télé que dans les places publiques et les réseaux sociaux. Parfois ça devient un peu déprimant. Je me plais à me dire que  ce mur négatif nous révèle dans doute une souffrance ou un mal plus profond. Parfosi ça me fait penser à de l'eau bouillante dans une bouteille bien fermée. Il y a un danger d'explosion. À l'occasion de la Révolution dite tranquille au Québec et du Conciel Vatican 11, des leaders nous ont fait rêver. Nous sommes comme sortis d'une adolescence vers une plus grande maturité. C'est un monde nouveau qui naissait. Mais nos leaders sont partis, les rêves sont disparus.  Un ressac du passé est venu et beaucoup sont demeurés frustrés.  dans la société, les gens se sont mis à crier et à manifester; dans l'Église ceci s'est traduit par l'absence et l'indifférence. Nous vivons actuellement une période de grande pauvreté du capital humain. La question pour moi: Qu'est-ce que les chrétiens nous disent par leur absence et leur indifférence? C'est un événement-message, comme on dit dans la bible, c'est une parole  événement.  Le chrétien est un contestataire nous disait le Père Voillaume, un grand spirituel à l'éppque du Concile. Contester, c'est positif. Il s'agit de contester des situation ou des décisions au nom des valeurs ou du respect des personnes. Le chrétien n'est pas un "chiâleux" mais un contestataire sinon, il devient un silenceux et un indifférent. Le travail de refaire les  liens devient très difficile. Des chréteins contestent aujourd'hui: l'associatin des baptisés de France, comme le Parvis sont des mouvements chrétiens qui soulèvent des questions de première importance qui devrait être mieux entendues.  Alords ma pensée ce matin: Ne soyons pas des "chialeux" mais des contestataires au nom de l'Évangile. 

 

jeudi, 26 novembre 2020 15:42

Une Église blessée.

Hier soir, nous avons entendu Mgr Lépine aux prises avec des cas de pédophilie par un prêtre. C'est devenu tellement fréquent que nous avons du mal à en parler. C'est l'image d'une Église humaine et blessée. Il est évident que la façon dont l'Église a ràgit devant ce problème est malheureux à la fois pour les victimes comme pour les prêtres qui sont d'une certaine façon eux aussi victimes. Ma question ce matin, qui m'est posée quelque fois: Peux-tu encore aimer l'Église? J'ai aimé l'Église peuple de Dieu toute ma vie et je l'aime encore. J'ai été  heureux en paroisse, c'était ma famille qui m'a gâté.  Cette Église du terraiin qui lutte et souffre je l'aime encore. Et à cause  des faiblesses de certains responsables, je lui reste fidèle. On ne quitte pas un bateau quand la mer est houleuse. Il nous faut regarder les blessures, écouter les souffrances, reconnaitre nos erreurs, et continuer d'avancer. "Nous portons un trésor dans des vases d'argile" chantons-nous parfois. J'ai toujours à la mémoire ce mot d'un père à son garçon qui partait à l'aventure avec son baluchon: "Rappelle-toi toujours que quoique tu fasses, quoiqu'il t'arrive, ta mère et moi nous t'aimons."  C'est ce mot que je veux redire face à notre souffrance.  

 

jeudi, 26 novembre 2020 15:37

Un mot du Pape François.

Être prêtre n'est pas un métier, mais un devoir passionnant qui consiste à porter le Christ dans son coeur pour l'offrir sans réserve aux autres en particulier à ceux qui en ont le plus besoin.

 

mercredi, 25 novembre 2020 15:31

Prise 4.

Allez, la céllébration est finie et la messe commence. Nous avons communié au Seigneur présent dans notre assemblée, présent dans sa parole et dans l'Eucharistie, maintenant nos sommes envoyés communier au Crist présent dans les frères et soeurs dans notre quotidien. Nous sommes envoyés au chantier de la paix, de la fraternité de l'amour, du pardon, au chantier du royaume du Père. Nous avons communié ensemble à la force nécessaire pour aller travailler au chantier du Seigneur. Après nous être nourri à la table de la Parole et de l'Eucharistie, nous sommes mantenant envoyés partager cette nourriture dans notre vie quotidienne. La table de la mission nous attend.    

Dans cette mission, nous allons créer des liens, raffermir des relations, goûter la joie des rencontres, nous allons doucement bâtir la communauté. Ceci fait naitre chez nous et fait grandir aussi le goût de célébrer ensemble ce vécu en Église. L'Eucharistie m'envoie en mission et la mission me retourne à la célébration. Nous sommes dans un mouvement circulaire et non linéaire.  Si ce tissu humain n'est pas là, la célébration sera un rite personnel qui s'affadira avec le temps. Et je crois que c'est le problème de beaucoup de  chrétiens. Cette mission sur le terrain réunira de petites communautés fraternelles cimentées par l'Eucharistie. Nos paroisses, qui sont un territoire, devront devenir une communion de communautés. 

Pour y arriver, ma conviction est qu'il faudra un vrai changement de mentalité, une nouvelle perception du ministère presbytéral et de l'Église.  J'entends encore trop souvent: "Dans cette paroisse, il n'y a plus que trois ou quatre personnes à la messe, faut fermer et ils viendront à la messe à la paroisse voisine." Nous sommes dans la logique du service public, logique du marché et non d'une pensée d'Église.  Je me plais à redire la phrase du Pape François: "Ne vous laissez pas voler votre communauté." Cette question est majeure. Et j'écrivais que le temps de l'avent est un temps de gestation, un temps où nous pouvons nous arrêter de faire pour être; le temps de pandémie nous aide dans ce sens. Les célébrations rejoignent 5% de la population au plus, le temps serait peut être venu de penser au 95% qui ne sont pas là. Le temps de confinement  nous y invite fortement et nous en donne l'opportunité.  Le temps de l'Avent n'est pas seulement un temps liturgique, mais d'abord un temps  pour une présence pastorale afin de faire naitre Jésus dans les coeurs. Ce n'est qu'une veille idée d'un vieux.

  

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