Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Nous avons célébrer la croix glorieuse cette semaine. La croix est le signe de ralliement des chrétiens. La croix est le signe de fidélité d'un homme qui nous montre le chemin. la croix est le signe de la colère d'un peuple déçut de la présence de Jésus qui ne répond pas à leur désir. La croix devrait faire réfléchir le peuple juif et le peuple chrétien sur leur façon d'accueillir le Christ et son enseignement.
Au début du monde, les gens du "paradis terrestre" n'ont pas compris leur mission et nous en portons le sconséquences. Avec Jésus, le peuple n'a pas compris le projet de Jésus Christ et l'ont conduit au calvaire comme on le fait encore aujourd'hui avec les gens qui ne font pas comme nous. Au début de l a création, le Père a accepté la décision de l'être humain et a pris la route avec lui pour le conduire ailleurs. Jésus Crist accpete la condamnation du peuple e tprend la route avec nous pour nous conduire ailleurs.
Hier j'ai mangé des carottes, des fèves jaunes et vertes, de la viande et des fruits, ces choses n'ont rien ajouté à mon identité, j'étais et je suis resté un homme avec le même nom, mais cette nourriture a ajoutéé des forces pour ma santé, elles m'ont donné des calories pour conserver ma santé. La nourriture me permet de mieux vivre ce que je suis.
C'est un peu ce que fait le sacrement. Ils n'ajoutent rien à mon identité: je suis toujours un être humain, enfant de Dieu, rempli de l'Esprit Saint. Le sacrement me donne des forces, des calories pour mieux vivre ce que je suis et bien réaliser la mission que le Christ m'a donnée. La rencontre du Christ dans le baptême me permet de mieux vivre ma vie d'enfant de Dieu à travers les vicissitudes de la vie. L'Eucharistie me permet de mieux vivre mon être de communion avec les autres et avec le Seigneur. Je vais célébrer parce que je suis enfant de Dieu, être de commuion, etc. .. et que cette rencontre du Christ me permet de mieux vivre ce que je suis. C'est ce que nous appelons la grâce dans la vision "chosifiée des sacrements"..
Dans un sacrement, il y a deux aspect: Un temps et un moment. Le temps est ma vie, le sacrement est d'abord une vie. Le moment est la célébration. Je vis le sacrement et je le célèbre en communauté. Je suis baptisé et je l'ai célébré tel jour et telle année. La pandémie nous a fait réaliser avec plus d'acuité encore que nous avons mis l'accent sur la célébration et perdu beaucoup de la dimension vie. Nous jugeons les chrétiens à partir de leur présence à la liturgie. Nous avons une Église sectionnée en deux: Une partie qui met l'accent sur le MOMENT, et l'autre sur le TEMPS. C'est ainsi que nous sommes parvenus à préparer les enfants aux sacrements et non à la vie par les sacrements. Nous avons là un grand sujet de réflexion pour quelques années.
Nous venons de vivre un temps difficile pour tous, celui des confinements; nous avons beaucoup déploré la fermeture des églises, l'absence de messes et surtout que la réouverture ne s'est pas faite sur un plan d'égalité avec d'autres lieux de rassemblement. Mais il y a des leçons que ce temps nous oblige à méditer.
Mgr Grech de France nous fait voir que la pandémie a fait ressortir avec plus de rigeur la pauvreté spirituel du peuple chrétien. durant le confinement nous nous sommes plains de l'absence de messe et nous nous sommes garauchés dur les moyens virtuels pour reproduire la messe laissant de côté d'autres moyens de transmettre la foi. Ce qui a fait dire à de bons théologiens que l'Église était spécialisée en liturgie et devenue l'Église du temple. La fermeture des églises était un moment prophétique pour développer des approches d'évangélisation hors de l'église et par d'autres moyens que les sacrements . Nous les avons ratés en général. L'église bâtiment est devenu le lieu du service religieux comme tout autre service dans la communauté et trop souvent la vie chrétienne se résume à une présence à l'église.
Ce temps de confinement aurait permis la création de piste de formation chrétienne autour de la Parole de Dieu, préparer de nouvelles formules de célébrations plus vivantes et mieux adaptées à notre psychologie. Nous avons oublié, je pense, que l'homme de la rue, du quai, de la brasserie est aussi l'Église de Jésus christ , pas seulement l'homme dans l'église pour la messe. Quand les églises seront fermées par manque de ressources et de chrétiens qu'adviendra-t-il?
Ceci remet en question le rôle du prêtre dans la communauté. L'Église est un peuple en marche et comme prêtre je dois marcher au coeur de cette communauté pour l'accompagner sur la route et non plus être en avant pour lui dire quoi faire. L'Église aujourd'hui nous entraine sur un chemin de conversion. L'Évangile de Luc de dimanche prochain nous indique un chemin.
À la fin de la lecture de ce livre: L'Église autrement, je crois utile et profitable que des groupes de chrétiens s'arrêtent pour réfléchir et méditer certains témoignages enrichissants. J'aimerais aussi que nous écoutions le chrétien de la rue, du quotidien afin de savoir ce sont il a besoin.
À vin nouveau outre neuve. Voila un vieux message que l'on répète depuis des siècles. Il revient dans l'Évangile de ce jour. Je fais le joint avec la pandémie. La pandémi enous a fait prendre conscience de la fragilité de nos relations humaines et de notre grand besoin d'en prendre soin. La pandémie a changé le monde et nous amène des questions nouvelles. D'autre part elle nous fait prendre conscience combien il est difficile à un système de changer pour s'adapter à une nouvelle façon de vivre et de célébrer.
Le retour à la pratique religieuse a diminué dans bien des paroisses à la suite de la pandémie. La société dans son ensemble a fait des efforts pour s'adapter à ce renouveau, mais ne Église nous sommes restés figés sur la liturgie et surtout le rite eucharistique. Les églises se vident, sont vendues ou fermées simplement et nous attendons un miracle.
le vin nouveau de la société est là devant nous et il attend les outres neuves. Le premier chemin important est notre conversion comme vieux chrétiens pratiquants du dimanche. Notre exigence actuelle n'est pas très forte, avoir notre messe du dimanche et revenir à notre fauteuil jusqu'au dimanche suivant. La situation des personnes âgées dans les résidence ne semble pas déranger bien des chrétiens, pourvu que j'ai ma messe dimanche. L'intimidation, la colère, la violence autour de nous ne semble pas déranger non plus, si j'ai ma messe.
Je me rends compte de plus en plus que nous avons développé une Église liturgique et de rites au détriment de la vie et de la mission. L'Eucharistie n'est pas une fin en soi, elle est une force pour vivre la mission. Elle est un ciment pour faire communauté au service des miséreux et des pauvres, des gens dans le besoin. L'Eucharistie est un dynamisme pour sortir des églises sur la route avec le Christ pour défendre les sans voix, la malades,.. Jésus nous dit si vous voules travailler à la mission, il vous faut manger. Il ne faut pas enfermer Jésus christ dans le tabernacle ou dans l'hostie comme dans un tombeau. Il nous dit Allez en Galilée, c'est là que vous me verrez. N'von-nous pas fait de l'Eucharistie un acte de dévotion personnelle et nous l'avons vidée de sa puissance en vue de la mission. L'Eucharistie est avant tout une mission sur le terrain. Nous avons un long chemin de conversion à vivre. bonne route.
la vie est en avant et nous ne conduisons pas une voiture en regardant dans le rétroviseur. Mais qu'y a-t-il en avant? comment voir et bâtir demain? Nous ne le savons pas. Aujourd'hui dans l'Église nous cherchons un renouveau pastoral, bâtir de petites maisonnées, chercher des bénévoles pour préparer les jeunes aux sacrements. Si je regarde mon expérience, je crois qu'il est trop tard pour cet exercice.
La question que nous devons nous poser ensemble, chrétiens du dimanche comme de la diaspora est de savoir Comment être Église aujourd'hui? Quelle est la mission que Jésus nous a donnée? Il ne s'agit pas de retrouver ou de faire revivre l'Église d'hier, mais de réinventer l'Église d'aujourd'hui. Pour cela, nous devons écouter le chrétien et la chrétienne de la rue, des magasins, sur le lieux de travail, ce sont eux l'Église d'aujourd'hui et de demain. Nous ne sommes pas habituer à écouter en Église. Le chrtien est passif et obéit.
Convoquer les chrétiens à la sacristie pour penser l'Église de demain pour moi est peine perdue parce que seul les personnes âgées vont être présents et nous ne pouvons avancer. Je suis à lire L'Église Autrement, où un groupe de chrétiens et chrétiennes de différentes ssituations expriment leur opinion. J'y trouve des opinion intéressantes. Il nous faut voir l'Église ailleurs que dans la liturgie, la catéchèse, les sacrements. Ceci nous amène sur une route de conversion qui sera longue. Faudra continuer de méditer.
L'Assemblée des Évêques du Québec a publié sur son site internet un rapport de quatorze pages sur les interventions préparatoire au Synode 2023. Six points parmi les plus importants ont été retenus.
1. Pour une Église davantage à l'écoute. La difficulté de passer d'une Église qui décide à une Église à l'écoute est évidente mais cette conversion est nécessaire pour être conforme à sa mission dans la société d'aujourd'hui.
2. Pour des célébrations signifiantes et nourrissantes à l'écoute de la parole de Dieu. Amener un peuple à célébrer et non seulement spectateur est un chemin de conmversion profonde.
3- Pour une véritable participation à la vie communautaire, les petits groupes, la prise de parole. C'est devenir le sel de la terret et la lumière du monde comme nous le dit le Christ.
4- Pour une gouvernance co-responsable clercs-laïcs, hommes et femmes. Ceci demandera de réinventer l'Église avec ses différents ministères au service de la communauté.
5-Pour un véritable dialogue Église-société. Il s'agit des moyens de communicaitons.
6- Pour une Église au service des pauvres et des exclus. Ce sera le temps de rivisiter les palais cardinalistes.
Cette démarche synodale pour moi demande autre chose qu'une simple revision des structures. C'est le sens même de l'Église qui doit être revisité. Nous ne devons pas restés dans une démarche de haut vers le bas, mais une démarche de communion et redévouvrir le rôle du pasteur dans une communauté; revisiter aussi le rite d'instalaltion des prêtre en paroisse comme des pasteurs au coeur de la communauté et non comme un délégué du système religieux. Un chantier s'ouvrira peut être pour quelques siècles.
Par les temps qui courent, Seigneur, on entend beaucoup parler des églises qu'on est forcé de vendre, de démolir ou de réaménager. Nous sommes inquiets de voir tomber les belles et vieilles pierres de nos certitudes et de nos sécurités.
Qu'est-ce qu'on va devenir sans églises? On a parfois l'impression que tout est en train de s'écrouler: Manque de prêtres, manque de fidèles, manque de vosations, manque de jeunes, etc. Inquiétudes, image de désolation plutôt que vision d'epérance!
Aurions-nous donc oublié. mon Dieu, que tu n'es pas dans les briques, mais bien plutôt dans la vie de tes disciples, dans la vie de ton peuple? Et notre peur n'est-elle pas le signe de notre manque de foi en toi, Christ resuscité d'entre les morts? Toi qui as le pouvoir de renouveler toute chose?
Alors se pourrait-il qu'en perdant nos églises nous devenions davantage Église? l'Église: c'est moi, nous, tous chrétiens.
Se pourrait-il qu'une fois les églises par terre nous nous retrouvions bâtisseurs d'une É»glise rafraichie et rafraichisante, florissante et plus évangélique?
Une Église qui ose se lancer dans le brouillard du monde pour être lumière dans la nuit et sérénité dans l'angoisse? Une Église qui porte l'espérance du monde dans une dynamique moderne plutôt que dans la routine de nos vieilles sacristies?
Se poourrait-il que les nouveaux lieux de rassemblement deviennent des signes des temps? Se pourrait-il, Dieu des remue-ménage et des grands passages que tu nous invites à une aventure combien plus intéressante et joyeuse: Celle de "risquer l'avenir" sur la parole de ton Fils "Jésus: Voici que je suis avec vous tous les jours jusquà la fin des temps."
Se pourrait-il Dieu de l'impossible.
Aimez-vous le suns les autres comme je vous ai aimés. (Jn 13, 34) Ça veut dire quoi concrètement aimer à la manière de Jésus. Inspiré par M. Petitclerc, je risque quelques réflexions.
Aimer à la façon de Jésus, ce n'est pas faire d elong discours, mais poser des gestes concrêts en faveur des personnes que nous rencontrons et spécialement celles qui sont dans le besoin. Jésus ne s'est pass contenter de parler, il a parcourt les routes et à aimer les gens.
Aimer à la façon de Jésus, c'est savoir accuillir l'autre à la façon de Jésus. Accueillir, c'est permettre de grandir.
Aimer à la façon de Jésus, c'est aussi accepter l'autre tel qu'l est, avec ses différences et accepter qu'il soit autre.
Aimer à la façoon de Jésus, c'est accueillir comme Jésus avec la Samaritaine, la cananéenne, Zachée, etd...
Aimer comme Jésus, C'est apprendre à donner et à recevoir L'important dans l'amour, c'est ce que l'on échange.
Aimer comme Jésus, c'est allé jusqu'au bout dans l'accueil, le service, le pardon souvent, l'accompagnement pour faire grandir. Jésus est allé jsuqu'au don de sa vie.
Inspiré de: Éduquer aujourd'hui pour demain. Jean-Marie Peticlerc.
Plus...
Le texte d'Ézéchiel (34, 1-11) de la célébration d'aujourd'hui tombe à un drôle de moment dans l'histoire. Le Seigneur dans la bouche du prophète Ezéchiel vilipende les prêtres du temps pour leur de sens pastoral et condamne leur actions trop personelles Ce texte du prophète, je le médite depuis plusieurs années avec le texte de «jean (chap. 10) sur le bon pasteur. Comme depuis des siècles nous avons mis de côté la bible, ces textes n'ont pas suffisamment nourrit notre spiritualité. J'en ai vécu des exemple dans mon travail au plan diocésain.
Depuis hier est tombée publiquement la nouvelle des actions de certains prêtre au Québec. il y a de mes anciens professeurs dans la liste. Nous devons écouter avec attention et amour les vidtimes qui trainent des séquelles depuis plusieurs années. Mais ma conviction est que ces prêtres sont aussi des victimes. Victimes d'un système qui ne les a pas pris au sérieux et au lieu des les aider à guérir les a laissés patiner dans leurs souffrances. S'il faut punir la faute, et travailler à guérir la plaie des victimes, nous devons aussi prendre soin des abuseurs parce que nous les avons comme abandonnés dans leur difficulté.
Comme prêtre, je me suis toujours senti frustré de ne pouvoir donner une réponse satisfaisante aux questions des jeunes concernant leur sexualité. je n'avais pas reçu la formation qui m'aurait été nécesaire. C'état un sujet tabou. Il ne s'agit pas de condamné ce passé, mais de constater les faits pour tenter des réparations et surtout ne pas les répéter. Mais ceia nous invite à repenser profondément notre façon de vivre le sacerdoce. C'est très profond. Des prêtres ont quitté pour se marier, d'autres on essayé de vivre la réalité avec les conséquences que l'on voit. Ne jugeons pas, ne condamnons pas, essayons de comprendre pour améliorer. C'est ma prière ce matin.
Aujourd'hui, fête de Marie, L'évangéliste Luc nous présente Marie sur la route vers sa cousine Éisabeth. Marie nous donne un bel exemple d'évangélisation pour notre monde actuel. S'il est bon de prier Marie ou de prier avec Marie, il est important de se laisser inspirer par l'exemple de Marie.
Nous nous plaignons aujourd'hui de la situation de notre Église où la pratique religieuse a fondue comme neige au soleil depuis quelques années et nous devons vendre nos églises à cause de l'impossibilité de les entretenir. L'exemple de Marie doit nous entrainer sur une autre route. Elle n'est pas aller au temple pour prier et adorer, elle n'est pas aller voir son curé pour lui annoncer sa bonne nouvelle; elle est allé rencontrer Élisabeth et nous invite sur la route de la vie à la rencontre de nos Élisabeth. Jésus est allé saluer Jean même avant sa naissance. Marie fut le premier tabernacle vivant qui alla à la rencontre des autres.
Marie dans son magnificat dira: Il élève les humbles, comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. Marie prend partie pour les petits et les pauvres, pour les mal gommés de la société. Ce fut la mission de Jésus. c'est la mission de l'Église, disciple du Christ de prendre soin des enfants, des petits, des sans voix, Marie nous invite sur cette route. Le monde a besoin de témoins joyeux qui portent la Bonne Nouvelle.
Aujourd'hui, je nous souhaite de nous laiser inspirer par l'attitude de Marie afin de prendre avec elle le chemin de l'évangélisation, chemin de la découverte., chemin de la joie et de l'amour. Marie de la route et du magnificat, prend-nous par la main et inspire-nous notre chemin pour aujourd'hui. amen.
Jésus vient me dire par le prophète Ezéchiel: Fils d'homme, ce qui est devant toi, mange-le, Puis va parle.
Jésus me dit: Avant d'aller enseigner, nourris-toi à la parole de ton Dieu. Tu ne peux donner ce que tu nas pas. Quand on prépare un professeur pour l'enseignement, il doit suivre des années d'étude afin de posséder ce qu'il va donner aux autres. Dans la vie chrétienne, c'est un peu différent. Il s'agit moins d'enseigner que de faire découvrir et pour faire découvrir quelqu'un, nous devons d'abord en avoir fait l'expérience. Il faut d'abord avoir découvert le Christ par l'expérience de la vie pour ensuite le faire découvrir aux autres. Un fois que je l'ai découvert en moi, je peux approfondir cette expérience par des connaissances.
C'est ce que le prophète Ezéchiel me dit ce matin. Nourris-toi d'abord de la Parole; c'est le Christ qui te parle et se faitre reconnaitre, ensuite tu sauras de qui tu parles. Nous avons trop intellectualisé la connaissance du Christ avec les réponses de csatéchisme apprise par coeur. Quand je pouvais bien répondre, c'était OK. Mais ... Alors aujourd'hui donnons-nous quelques minutes de paix pour rencontrer le Christ dans sa parole qui laissera un goût d emiel en moi. Bonne journée et bonne lecture.
Ce matin, on nous présente l'hymne à la charité de Saint Paul en Corinthiens.
L'amour prends patience, l'amourne jalouse pas, il ne se vante pas et ne se gonfle pa d'orgueil (...) Il supporte tout, fait confiance en tout, il endure tout, il espère tout. l'amour ne passera jamais. Il est intéressant de lire ce texte de Paul en remplçant le mot AMOUR par son propre nom. Ceci nous fait voir nos difficultés à aimer et surtout si quelqu'un peut nous écouter et sourire de temps en temps. Il n'est pas facile d'aimer comme le dit Paul ou Jésus Christ. Cependant il faut savoir que le Christ ressuscité est là au coeur de notre vie pour nous aider.
Un premier pas pour moi est de prendre conscience qu'un malade n'existe pas, qu'un bandit n'existe pas, qu'un malfaiteur n'existe pas. Ce qui existe est un enfant de Dieu blessé qui pose des gestes mauvais ou qui souffre de maladie. Il faut aimer la personne même s'il faut punir l'acte posé. Quand cette conviction est entrée en nous, il nous est plus facile par la suite d'aimer. Si je prenais conscience que lorsque je me mets en olère, c'est une blessure qui n'étais pas encore cicatrisée et qu'un événement a fait saigner. Il en est ainsi pour l'autre Il faut soigner une personne atteinte de maladie et non seulement un malade qui risque de devenir un objet à traiter. Écouter et aimer, voila les deux mots qu'un chrétien en doit jamais oulbiés. Bonne journée.