Mon père a connu la 1ère guerre mondiale, mes frères ont connu la 2e guerre mondiale, moi j'ai connu la 3e guerre mondiale, celle du coronavirus. Ces trois événements ne sont pas nés spontanément, ils ont été longuement préparés. Les guerres le sont par l'appat du gain et du pouvoir de conquérants, la pandémie le fut parce que nous avons brisé la loi de la nature comme le sont les inondations. Aujourd'hui il ne suffit pas de simplement gagner une bataille avec les vaccins, nous devons gagenr la guerre avec un changement de mentalité et un retour à l'essentiel. Un bon monsieur disait cela hier soir: Le virus nous apprend à respecter la vie et la nature. Si nous continuons à vivre comme avant le virus sera toujours là, les inondations continuerons de détruire des villages et des vies, les feux continuerons de détruire les forêts, la violence continura de détruire des vies. Nous sommes invités à réfléchir profondément sur notre façon de vivre et d'utiliser la nature. Dieu a donné la nature à l'être humain non pour la détruire mais pour en découvrir les richesses et s'en servir à bon escient. Nous sommes invités à "mettre de l'âme dans notre économie" dans notre vie. Il nous faut sortir des routines, des ornières du pouvoir et du rendement pour retrouver les valeurs de la vie et les richesses de la vie humaine. Le plus grand commandement est celui de l'amour. Aimer la vie, aimer la nature, aimer les personnes, aimer n'est pas s'accaparer, mais faire grandir. Comme chrétien, nous devons être des porteurs de changement, changement de mentalité. qui changera la façon d'agir. Changement de mentalité qui donnera le goût de vivre autrement. Aimer ne doit pas être seulement un MOT. Bonne journée.
C'est par Béelzéboul qu'il chasse les démons. Ce texte de Luc est bien intéressant. Il nous renvoie notre image. Jésus guérit une personne et tout de suite des gens voient un mauvais côté, ils soupçonnent Le Christ d'être de conivence avec les démons. N'est-ce pas ce que nous faisons trop souvent. Quelqu'un agit mal et on le qualifie de tous les noms; il agit bien, on se dit qu'il doit y avoir anguille sous roche.. Nous essayons de trouver des bibites. Ce n'est pas normal qu'il agisse de cette façon.
Jésus nous renvoie à notre propre façon de regarder les autres et de juger. Le temps de confinement et de silance actuel nous invite à descendre en nous pour regarder notre propre vie intérieure. Avons-nous un regard positif ou négatif sur l'autre près de nous? Nous remarquons plus facilement le négatif ou ce que nous considérons comme tel. Un moine vint un jour demander à son Abbé une parole de réconfort, celui-ci lui répondit: Retourne dans ta cellule, et dans le silence elle t'enseignera tout. le silence du confinement laissera monter en nous la parole de Dieu qui nous enseignera tout.
Il y a un an, on noua annonçait la pandémie de la covid-19. Il y a un an, on pointait notre vie vers autre chose, on nous conduisait sur un chemin de restrictions mais aussi de découvertes. Aujourd'hui si nous voulons célébrer à notre façon cette année, nous devons nous demander ce que cette anée nous a fait comprendre et découvrir. Dans le psaume 15 ce matin on nous dit: Tu m'as montreé Segnuer, la route de la vie. Tous les événements de la vie, sont des routes nouvelles sur lesquelles le Seigneur nous accompagne pour cheminer et aller plus loin. Sur la route de la vie, nous ne marchons pas comme des automates, nous sommes des êtres en croissance, en cheminement et chaque situation de vie nous amène plus loin. Depuis un an, chaque matin, j'ai voulu faire un moment de méditation avec vous pour cheminer ensemble et tirer des leçons de ce que nous devions vivre. Ces moment furent pour moi des moments de grâces que le Seigneur m'a permis de vivre et qui ont nourris ma foi en l'être humain et donc m'ont rapproché de Dieu. Le silence de mon appartement m'a permis de mieux découvrir la présence de Dieu au coeur de ma vie et dans le coeur des autres autour de moi. Beaucoup de gens à la télé m'on donné des leçons de vie. Beaucoup ont découvert l'importance de la relation humaine, du respect de l'autre dans ses différences, de prendre du temps avec sa famille, etc... Demain nous ferons un moment de pause pour reconnaitre cette année et se souvenir des personnes qui sont parties fauchées par le virus. Nous nous souviendrons. Mais nous nous souviendrons aussi de toutes les personnes qui ont été sur la ligne de front au service des malades et des services essentiels à la vie dans les autres moments du quotidien. Ce sera un geste du coeur. Un geste de reconnaissance en tous les sens.
Il y a un an, on noua annonçait la pandémie de la covid-19. Il y a un an, on pointait notre vie vers autre chose, on nous conduisait sur un chemin de restrictions maia aussi de découvertes. Aujourd'hui si nous voulons célébrer à notre façon cette année, nous devons nous demander aussi ce que cette anée nous a fait comprendre et découvrir. Dans le psaume 15 ce matin on nous dit: Tu m'as montreé Segnuer, la route de la vie. tous les événements de la vie, sont des routes nouvelles sur lesquelles le Seigneur nous accompagne pour cheminer et aller plus loin. Su rla route de la vie, nous ne marchons pas comme des automates, nous sommes des êtres en croissance, en cheminement et chaque situation de vie nous amène plus loin. Depuis un an, chaque matin, j'ai voulu faire un moment de méditation avec vous pour cheminer ensemble et tirer des leçons de ce que nous devions vivre. Ces moment furent pou rmoi des grâces que le Seigneur m'a permis de vivre et qui ont nourris ma foi en l'être humain et donc m'ont rapproché de Dieu. Le silence d emon appartement m'a permis de mieux découvrir la présence de Dieu au coeur de ma vie et dans le coeur des autres autour de moi. Beaucoup de gens à la télé m'on donné des leçons de vie
Il y a un an, on noua annonçait la pandémie de la covid-19. Il y a un an, on pointait notre vie vers autre chose, on nous conduisait sur un chemin de restrictions maia aussi de découvertes. Aujourd'hui si nous voulons célébrer à notre façon cette année, nous devons nous demander aussi ce que cette anée nous a fait comprendre et découvrir. Dans le psaume 15 ce matin on nous dit: Tu m'as montreé Segnuer, la route de la vie. tous les événements de la vie, sont des routes nouvelles sur lesquelles le Seigneur nous accompagne pour cheminer et aller plus loin. Su rla route de la vie, nous ne marchons pas comme des automates, nous sommes des êtres en croissance, en cheminement et chaque situation de vie nous amène plus loin. Depuis un an, chaque matin, j'ai voulu faire un moment de méditation avec vous pour cheminer ensemble et tirer des leçons de ce que nous devions vivre. Ces moment furent pou rmoi des grâces que le Seigneur m'a permis de vivre et qui ont nourris ma foi en l'être humain et donc m'ont rapproché de Dieu. Le silence d emon appartement m'a permis de mieux découvrir la présence de Dieu au coeur de ma vie et dans le coeur des autres autour de moi. Beaucoup de gens à la télé m'on donné des leçons de vie
Nous vivons dans une société qui met l'accent sur l'avoir, le rendement et l'efficacité. Jésus est venu nous dire que le plus important n'est pas l'avoir, le compte de banque même si cela est important, mais le plus important c'est l'être. Je suis important parce que je suis un être humain. Tout l'emseignement de Jésus, le témoignage de toute sa vie sont basés sur l'être humain. Il s'enfuit lorsqu'on veut le faire roi. Ne vous faites pas appeler maitre, vous n'avez qu'un seul maitre. Il parle avec autorité parce qu'il parle avec son coeur.
Aujourd'hui, 8 mars, journée de la femme. Nous aurons droit à de beaux voeux pieux, de belles affirmations sur la place de la femme dans la société, de bellesparoles contre la violence conjugale. Demain, les femmes devront encore se battre pour avoir leurs droits et la violence continuera de grandir. Le mal est profond. Nous n'avons qu'à lire ce qui s'est écrit en 1940 lorsque l'on a voulu donner le droit de vote aux femmes. J'ai été gêné pour ma mère, j'espère qu'elle ne l'a pas lu. Il y avait des propos assez dégradant dans le bouche même des autotrités dont le devoir était de les défendre. Nous partons de très loin. Saint Thomas d'Aquin, un bon dominicain canonisé, s'est demandé si les femmes avaient une âme. Les hommes disent aux femmes continuer de vous battre, nous on lâche des miettes quand vous frappéz trop fort. La société a besoin d'un coup d'épaule très fort pour se réajuster et tant que els femmes seront seules à revendiquer. Les changementsse feront attendre plus longtemps. Ma prière ce matin est que les femmes n'aient plus besoin de se battre pour avoir leurs droits et leur place au soleil. Bonne journée.
Demain 8 mars appelé journée de la femme. Si la femme a un problème de reconnaissance dans la société, l'homme a aussi un problème de pouvoir. Les deux sont des êtres en problèmes. Pourquoi alors ne pas les inclure ensemble dans une JOURNÉE DU COUPLE HUMAIN. quand on parle de la création, nous parlons de l'homme et de le femme qui forme un couple humain et le texte nous dit: Qure l'homme ne sépare pas ce que Dieu a unit. Je ne parle pas du mariage, mais du coupe humain. Avec cette journée, les deux seraient partie prenante de la transformation. Avec la journée de la femme, cela donne l'impression que l'un se bat pour ses droits alors que l'autre veut conserver son pouvoir. Mettons-les tous les deux dans le même sac. Ceci pourrait contribuer à corriger bien des difficultés de relations. Ce serait un beau projet pour nous, chrétiens, et nos mouvements chrétiens pourraient devenir des artisans de ce renouveau de valeurs et de relations humaines.
Je trouve que nous sommes trop portés à une vie en tiroir et même en Église nous avons bâti une pastorale à tiroir et j'ai été inconciemment un artisan de cette organisation. Comme Église et comme société nous devons être des bâtisseurs de relations, des bâtisseurs de communion entre les êtres humains. Ne serait-il pas temps que nos communions à l'Eucharistie paraissent sur le terrain quotidien? Arrêtons de nous séparés et mettons-nous ensemble pour cérer un monde meilleur.
Aimer à la façon de Jésus, ce n'est pas se lancer dans de grands discours sur l'amour. C'est savoir poser des gestes concrêts auprès de ceux qu'il nous est donné de rencontrer chaque jour. Jésus ne s'eat pas contenté de parler, il a pris les routes de Palestine allant à la rencontre des boiteux, des infirmes, des aveugles, etc..
Aimer à la façon de Jésus, c'est d'abord savoir accueillir l'autre. Acueillir ne s'apprend pas dans les livres, c'est une attitude intérieure d'ouverture et de partage.
Aimer à la façon de Jésus, c'est aussi accepter l'autre avec ses différences. Aimer n'est pas supprimer les différences Aimer ces voir ces différences comme des chances, des trésors qui nous font avancer.
Aimer à la façon de Jésus, c'est apprendre à donner et à recevoir. On s'imagine qu'aimer c'est vouloir apporter à l'autre tout ce qu'on peut lui donner et on oublie que le plus grand don fait à quelqu'un c'est de lui permetttre de donner.
Aimer à la façon de Jésus, c'est aller jsuqu'au bout de l'amour quelles que puissent être les difficultés rencontrées en chemin. Pour Jésus cela l'a conduit au Calvaire.
Tiré de: Éduquer aujourd'hui pour demain, de Jean-Marie Petiticlair.
Où prier? Le temps de confinement me pose cette question. Nos temples sont fermés. Pour Dieu les lieux sacrés n'existent pas, ils n'existe que pour nous. Cette distinction de profane et sacré n'est pas évangélique. Dieu est présent partout et tout est sacré. Nous pouvons aussi bien prier dans l'autobus que dans la basilique de Saint Pierre de Rome. Le rideau du temple s'est déchiré à la mort de Jésus, le ciel se déchire à son baptême. Jsus passe son temps a déchirer les murs que nous dressons entre les personnes et les lieux sacrés et profanes. Les temples sont nécessaires pour le rassemblement de la communauté. C'est la maison familiale des chrétiens mais n'emprisonnons pas Jésus dans ces temples. Le premier temple où Jésus demeure est notre vie , notre coeur. C'est là qu'il nous faut d'abord l'adorer. Le temps de confinement devra nous apprendre à découvrir ces temples que nous sommes. Un jour un moine alla voir l'Abbé pour lui demander une parole. L'Abbé lui dit: Rentre dans ta chambre, dans le sielne elle t'enseignera toutes choses. C'est dans notre temple personnel que nous toruverons un bon enseignement qui nous fera mieux goûter la prière communautaire dans nos temples.
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On nous disait hier que cinq femmes étaient mortes vicitmes de violence dans le dernie rmois. les responsables commencent à se dire qu'il faut aller plus loin que le loi. La loi punit, mais l'édication corrige. Il faut aller aux causes du mal si nous voulons corriger la situation. Les causes sont mutiples. Cette mentalité remonte dès l'apparition de l'être humain sur la terre. "C'est la femme qui m'a trompé." Est-il permsi de renvopyer sa femme, demande-t-on à Jésus. Celui-ci répond: Ce que Dieu a unit, qu el'homme ne le sépare pas. A cette époque la femme était la propriété de l'homme et il pouvait en disposer comme on dispose d'un bien matériel. Je crois que nous avons mis l'accent sur l'indissolubilité du mariage et pas asez sur l'égalité des perosnnes. On parle beacoup de la parité dans la représentation de sperosnnes aux postes de commandes, mais je crois qu'il faut aller plus loin; il faut l'Égalité des personnes. Il ne s'agit pas seulement des inéglaités de sexe, mais aussi les inéglaités sociales. L'épaisseur du porte-monnaie et du pouvoir ont trop de place dans nos relations sociales. Comme Église, nous aurions un rôle important à jouer mais les Églises ne sont pas toujours à la hauteur et nous avons un mea culpa à faire aussi. Une question: Demain, quelle place ou quel ministère, quel rôle d'autorité je vais donner aux chrétiens hommes ou femmes pour manifester l'égalité? Nos communautés chrétiennes devraient être des lieux de contestaiton de cette mentalité patriarchale et de pouvoir. Posons-nous les verais questions. Bone journée.
Prêtez l'oreille ;a l'enseignement de notre Dieu, lisons-nous aujourd'hui dans le prophète Isaïe. de ce temps-ci nous parlons beaucxoup d'écoute et de la parole de Dieu. Le besoin d'évangélisation est très grand et évangéliser demande d'écouter la Paorle de Dieu non seulement dans les lectures d el aBible, mais surtout dans le langage du peuple chrétien autour de nous. Le Seigneur nou sparle encore par la bouche des hommes et fdes femmes d'ici. La Parole continue de s'écrire chaque jour. La Parole est dans notre oceur et elle monte selon les besoins et le vécu des chrétiennes et chrétiens d'aujourd'hui. Ce cri d'Isaïe retentit encore de nos jours. "N fermons pas notre coeur, mais écoutons la voix du Seigneur."
Après la transfiguration, Jésus invite ses disciples à descendre de la montagne pour se retrouver dans la plaine. Ce matin, je me suis imaginé descendu de la montagne et me demandant quoi faire. Pourquoi suis-je descendu? C'est facile de descendre, moins facile de se demander quoi faire maintenant. Je viens de commener la lecture d'un petit livre; L'art d'écouter. Je me suis dit que peut être mon premier geste serait de m'asseoir et d'écouter ce que les chrétiens ont à me dire, et aussi ce que l'esprit me dit à moi à travers ce confinement. J'entends encore quelqu'un dire: "Ne faites rien pour moi sans moi." "Bias le sage demanda un jour à Amasis de lui envoyer le pire et le meilleur morceau d'un animal. Celui-ci lui envoya la langue. Il voulait lui signifer que la parole est à la fois ce qu'il y a de plus dangereux et de plus utile." L'art d'accueillir la parole est antérieur à l'art de la prononcer. Dans notre monde actuel, je crois qu'une difficulté vécue avec acuité est le manque d'écoute.
Nous avons entendu Dany Turcote à la télé, Il exprimait la souffrance de beaucoup de gens vicitmes de gens qui parlent sans s'écouter. Le temps de confinement ne serait=il pas un temps propice pour s'écouter d'abord et écouter les autres autour de nous. Et je me suis posé la question: Avec quoi vais-je sortir comme chrétien de cette crise. Qu'est-ce qu'elle m'aura appris sur ma vie chrétienne, ma prière,, mon service autour de moi? Beaucoup d'artistes nous ont parlé de ce que cette pandémie leur avait permis de découvrir d'eux-même, de leur travail, des valeurs de la vie en famille.... Je n'entends pas beaucoup de chrétiens nous dire ce que le temps de confinement leur apporte. On attend que les églises ouvrent pour aller à la messe.
J'ai suivit des cours d'élocution, j'ai appris à faire homélie, à prononcer, un seul m'a appris à écouter, c'était Henri Bergeron de Radio Canada qui m'a appris que si je voulais annoncer la parole de Dieu, je devais d'abord m'arrêter pour l'écouter et l'intégrer dans ma vie. Ma conviction est que nous ne connaitrons jamais un renouveau de la vie chrétienne et de l'Église si nous ne commençons pas par nous asseoir et écouter la voix de Dieu proclamée par le peuple chrétien d'aujourd'hui. Savoir écouter est un art disait Épitecte. Cet art nous devons l'apprendre. Une parole n'est pas seulement des mots, ce peut être un regard, une attitude, une absence, ... Au plan chrétien, l'absence dans nos églises est une parole que nous devons écouter. les funérailles au salon funéraire est une parole que nous devons écouter. Hier soi rà Tout le Monde en parle, Danys Turcotte a parlé beaucoup plus par son attitude quepar ses mots. SAVOIR ÉCOUTER EST UN ART. le Pape François nous invite souvent à écouter le monde.
Sur la montagne de la transfiguration, les apôtres sont tellement bien que Pierre propose de construire trois tentes pour y rester. Jésus redescend de la montagne car la mission est en bas. Je tire deux réflexions de ce moment. D'abord l'importance d'aller sur la montagne pour rencontrer le Seigneur. L'importance de ces moments de silence, de contemplation pour écouter la voix du Christ résonner au fond de nous. Dans la même liturgie d'aujourd'hui nous avons grand père Abraham qui va aussi sur la montagne pour comprendre le message de Dieu. Si nous voulons un renouveau de notre vie spirituelle comme de notre Église, nous ne pouvons pas faire l'économie de ces moments de rencontre personnelle avec le Christ ressuscité.
Un deuxième message pour moi est que ces moments nous conduisent inévitableent à la mission. Nous devons descendre de la montagne pour nous retrouver sur le terrain au coeur de la mission. Toutes ces femmes et tous ces hommes qui ont travaillé à la renaissance de la société et de l'Église furent des contemplatifs qui découvirrent la mission. Ils étaient des témoins nourris de l'amour inconditionnel du Christ. Si nous voulons une renaissance de notre Église, elle devra passer par la renaissance de notre vie spirituelle. Elle devra passer par ces moments sur la montagne qui nous enverrons dans la misison sur le terrain chargés du zèle de la maison de Dieu. Si nous avons bâti des tentes, des sécurités, des traditions, des coutumes, ce sont des ornières dont il faut se débarasser. Le Christ nous a donné rendes-vous en bas. Bonen journée.