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Homélies, réflexions et spiritualité

Textes de réflexion

Jos. Deschênes

Jos. Deschênes

jeudi, 21 janvier 2021 15:30

Jésus a besoin d'une barque. Mc 3, 7-12.

Jésus arrive sur les bords  du lac et voit une foule immense qui l'a suivit. Il demande aux disciples de tenir une barque à sa disposition. Jésus a besoin d'une barque. C'est à moi aujourd'hui que Jésus me demande une barque. J'ai besoin de ta barque pour évangéliser, pour rejoindre le monde autour de toi, pour dire une parole réconfortante à tous les blessés de la vie. La barque, c'est la communauté, c'est l'Église communauté chrétienne, communauté de foi, de charité, de service, d'entraide, de fraternité ...  La barque de Jésus, c'est le coeur de la femme et de l'homme d'aujourd'hui qui lutte pour mettre sur pain sur la table des enfants, pour soigner un  enfant malade: c'est le coeur du pauvre qui ne mangera pas à sa faim ce soir ou de celui qui lui portera un morceau de pain. La barque du Christ, c'est la main du médecin ou de l'infirmière qui adoucit la souffrance du malade, ou écoute le cri de douleur de celui ou celle qui perd un être cher.  La barque de Jésus est aussi le coeur de la personne heureuse ert comblée qui rend grâce et partage avec l'autre dans le beoin. Jésus me dit ce matin: J'ai besoin de ta barque aujourd'hui.  Est-ce que je suis prêt ce matin à prêter ma barque à Jésus? Bonne journée.

 

mercredi, 20 janvier 2021 15:24

Est-il permis?

Devant Jésus ce matin, un homme tend une main atrophiée pour être guérie. Mc 3, 1-6. Un homme dont la main n'est plus capable de rendre service, dont la main est plus habile à blesser qu'à aider, un homme dont la main est devenue un obstacle à des relations normales avec ses pairs. Jésus va guérir cette main et lui peremttre de redevenir un instrument de service. Cet homme, c'est moi, c'est chacun et chacune de nous. Nos mains sont souvent atrophiées et incapables de servir le bien et rendre heureux. Les mais sont trop souvent des instruments pour frapper et non pour soutenir. Ce matin, Jésus vinet me dire: regarde ton coeur, c'est lui qui conduit ta main. Ton coeur est-il porté à aimer, soutenir, aider ou frapper et blesser. Jésus nous offre à guérir nos blessures pour nous rendre capable dse servir. Seigneur, prends ma main, prends mn coeur et pétris-les à l amesure du tien.  

 

Notre dimanche a été décrété "dimanche de la Parole" par le Pape François. Nous allons méditer un peu sur l'importance de la Parole de Dieu dans nos vies de chrétiens. D'ailleurs les textes de lecture nous y invitent. Dans l'Évangile, Jésus appelle des gens à le suivre et ceux-ci quittent tout pour le suivre. À la parole de Jonas, Ninivie se met en mode conversion, donc une parole puissante qui convoque, rassemble et met en mouvement.

Arrêtons-nous un moment à l'importance de la parole dans notre quotidien. Le temps de confinement que nous vivons nos en fait découvrir  toute l'importance. Nous sommes privés de rencontres, de partage, de communication  nécessaire à notre vie sociale. La parole est un moyen de communication, de communion,  de fraternité, de partage qui crée et forme la vie sociale. Le vide créé par le confinement nous en fait prendre davantage conscience. Nous connaissons aussi la puissance de notre parole. Combien de jeunes, de femmes et d'hommes furent blessés ou même tués par des paroles dures; et combien se sont sentis renaitre par une parole de soutien. Notre parole est puissante. La parole n'est pas seulement des mots, c'est une personne qui s'exprime, qui me parle. Dans ma parole je dis ce que je crois, ce que je vis, les valeurs qui me font vivre, les idées auxquelles j'adhère. À travers ma parole, je me dis; je suis présent dans ma parole.

Ce qui est vrai de notre parole à nous l'est d'autant plus pour la parole de Dieu. Quand Jésus nous parle, il se révèle à nous, Il se dit. Jésus Christ est présent dans sa parole d'une présence réelle comme dans l'Eucharistie. Écouter la  parole de Dieu, ce n'est pas entendre des mots, c'est écouter Quelqu'un me parler, c'est écouter Quelqu'un me livrer un message. Saint Jérôme écrivait au 5e siècle:

Pour nous, j'estime que l'Évangile est le corps du Christ et que les Saintes Écritures sont sa doctrine. Quand le Seigneur parle de manger sa chair et de boire son sang, cela peut s'entendre certes du mystère de l'Eucharistie. Cependant, son vrai corps et son vrai sang, ce sont aussi la Parole des Écritures et sa doctrine.

Et Paul V1 ajoutait: Cette présence (dans l'Eucharistie) on la nomme réelle non pas à titre exclusif comme si les autres présences n'étaient pas réelles, mais par excellence parce qu'elle est substantielle. Il y a là une réalité à laquelle nous ne sommes peut être pas habitués. Jésus est présent réellement dans sa parole comme dans l'Eucharistie.   Jésus est présent sous l'apparence des mots comme dans l'Eucharistie sous l'apparence du pain. Quand je commmunie au Christ dans les partages de la parole, je communie au même Christ que dans l'Eucharistie. Nous n'avons sans doute pas souvent méditer cette réalité et je sais que certains furent offusqués de cette affirmation. 

La parole de Dieu est puissante: Nous lisons en Isaïe 54, 10: Comme la pluie et la neige descendent des cieux et n'y remontent pas sans avoir arrosé la terre, l'avoir fécondée et fait germer pour qu'elle donne la semence au semeur et le pain comestible, de même ma parole qui sort de ma bouche ne me revient pas sans résultat, sans avoir fait ce que je voulais et réussis sa misison.  La parole de Dieu réalise toujours ce qu'elle dit: Que la lumière soit, et elle fut. Gn 1, 3. D'ailleurs dans les Actes des Apôtres, quand on parle de la croissance de l'Église, on l'associe toujours à la prédication de la Parole: "Et la parole du Seigneur croissait, le nombre des disciples augmentait considérablement à Jérusalem, et une multitude de prêtres obéissaient à la foi." Act. 6, 7.  Dailleurs, les textes de la liturgie d'aujourd.hui nous parlent de la puissance de la parole: Jésus invite à le suivre et les disicples quittent tout pour le suivre.  Jonas invite à la conversion et Ninive obéit. 

De même que Jésus voulut rester avec nous comme une nourriture, une force pour accomplir la mission, la parole est aussi nourriture pour notre vie chrétienne. Dans L'Apocalypse on lit: "L'ange me dit: "Fils d'homme, ce qui t'est présenté, mange-le; mange ce volume et va parler à maison d'Israël." J'ouvris la bouche et il me fit manger le volume et il me dit: "Fils d'homme, nourris-toi et rassasie-toi de ce volume que je te donne." Apoc. 10, 8-11 et Ez. 3,  1-3.  Notons qu'il est dit: Nourris-toi et va parler à la maison d'Israël.  D'où l'importance de se nourrir de la parole avant d'enseigner. La parole est nourriture pour notre vie comme le pain de l'Eucharistie. 

À cause du confinement, ce dimanche passera sans doute inaperçu. Mais là où c'est possible essayons de vivre une fête de la Parole. Un temps de partage, de chant où on est dans l'action de grâce. Laissons de côté le Prions en Église avec le rite de l'Eucharistie et bâtissons-nous une fête de la parole qu rassemble et nourrit. Ces fêtes nourrissantes autour de la Parole sont  un chemin inévitable pour l'avenir de notre Église. À deux ou en famille à cause du confinement prenons un petit moment pour fêter le Seigneur dans sa parole.  Amen.

 

mardi, 19 janvier 2021 15:00

La loi.

Dans ce temps de pandémie, plusieurs se plaignent des lois et restrictions qui briment, disent-ils, la liberté. Dans l'Évangile de ce jour, les gens de la droite -dirions-nous aujourd'hui- disent à Jésus: Monsieur Jésus Christ vous n'avez pas droit de casser des épis de blé le jour du sabbat, c'est défendu. Ça me rappelle que les mamans ne pouvaient aller communier si elles avaient goûter le lait du bébé pour vérifier s'il était assez chaud. Ce sont des lois qui briment non seulement la liberté, mais le bon sens. Jésus dira: Le sabbat est fait pour l'homme et non l'inverse. 

L'Évagile de Jésus nous conduit à l'essentiel, au sens de la vie et à la liberté. La loi est au service de l'être humain. le Stop au coin de la rue est là pour mon bien. le confinement et le couvre-feu sont là pour mon bien et celui des gens autour de moi.  La vie en société pour être respectueuse des personnes a besoin de normes, de lois qui gèrent les activités. la communauté chrétienne pour demeurer vivante a aussi besoin de lois qui aident à respecter les droits et liberté de chacun. Ces lois sont là au service de la vie et non à la défense d'un système. Dans l'Évangile d'aujourd'hui, Mc 2, 23, Jésus est face à des lois qui nuisent au bon sens et à la vie. Les lois doivent nous faire grandir ensemble dans l'harmonie et la liberté. C'est la réflexion que le Seigneur me donne ce matin. et questionne ma façon de respecter ou de comprendre les lois. Bonne journée.  

 

lundi, 18 janvier 2021 15:08

Accueillir la nouveauté.

Devant la nouveauté, la difficulté n'est pas d'accpeter le renouveau, mais de se débarrasser de nos "viellieries." Jésus nous dit dans L'Évangile de Marc 2, 18-22: On ne met pas du vin nouveau dans de vieilles outres, mais dans des outres neuves. Notre problème dans le renouveau de la société et de l'Église, c'est que nous faisons de la chirurgie esthétique. Nous voulons mettre du vn nouveau dans nos vieilles outres repeintes et ça ne marche pas.  Ce n'est pas facile. Le temps de confinement est un temps de grâce pour nous permettre d'entrer à l'intérieur, brasser la cage et produire des outres neuves pour le vin nouveau de l'Évangile aujourd'hui.  Le ministère du prêtre n'est plus adapté à un vieux comme moi parce qu'il doit être un "ministère du sac à dos" comme disait un curé dernièrement. 

Autrefois le missionnaire partait de Québec pour venir visiter ses ouailles en Gaspésie. Il se déplaçait en bateau d'un paroisse à l'autre et demeurait quelques jours dans chaque paroisse et vivait dans les maisons avec les gens. Aujourd'hui avec les voitures et les belles routes, on court vite faire la messe et on revient au presbytère. C'est ce que j'ai fait. Mais un jour, je me susis organisé des lieux pour demeurer dans chaque paroisse, pour accueillir les gens, manger avec eux, jouer aux cartes. Ainsi se donner du temps avec les gens; pour moi, c'était devenu essentiel pour créer des liens et connaitres les personnes. Nous sommes dans des moments nouveaux, avec de grandes distances entre nos paroisses, il nous faut inventer des outres neuves. Il nous faut adapter notre mode de vie comme pasteur aux situations actuelles et ce n'est pas facile. La parole de l'Évangile de ce matin, me questionne beaucoup, elle devrait aussi questionner tous les chrétiens. Une pastorale de "sac à dos." Bonne journée.

dimanche, 17 janvier 2021 15:15

O ce regard.

Ô ce regard, je ne l'oublierai jamais! Autrefois on chantait cela pensant au regard de Jésus sur Pierre au matin de son reniement. dan l'Évangile d'aujourd'hui Jn 1, 35-42, ce mot revient à deux reprises: Jean, Posant son regard sur Jésus,   Voici l'agenau de Dieu et les disicples le suivirent. Plus loin:  Jésus posant son regard sur Pierre.  Jésus change le nom de Simn en celui de Pierre. L'expression n'est pas banale. On ne dit pas Jésus le regarda, ou Jésus le vit. Mais il posa son regard sur lui. Poser son regard sur quelqu'un, c'est plus que simplement le voir. Je pose mon regard sur toi, je te vois au fond de toi-même, je reconnais tes valeurs, tu es important à mes yeux. Ce regard provoque un changement: les disicples suivirent Jésus, Il change  le nom de Smon,  après son reniement Pierre reconnait son erreur et pleure amèrement. Ce matin, accueillons ce regard de Jésus sur nous et laissons-nous transformer. Pouvons-nou simaginer ce regard de Jésus sur nous avec toute la chaleur de son amour et de sa tendresse. Et apprenons avec Jésus à poser notre regard sur l'autre et non seulement à le voir ou le regarder. N'aie pas peur, laisse-toi regarder par le Christ.

 

samedi, 16 janvier 2021 15:54

Jésus est beau ce matin.

Jésus appelle Lévi à le suivre. C'était un collecteur d'impôt. Il était un employé des Romains qui avaient envahi leur territoire. Il n'avait pas une très bonne renommée. Et qui plus est, il organise un banquet en l'honneur de Jésus et ce sont des pécheurs que sont invités. Alors les grands messieurs de la religion sont offusqués et passent des commentaires désobligeants, comme il se doit. Drôle de Messie qui mangent avec les  pécheurs et les publicains et laissent les gens honorables de côté. Y avait-il un genre  de racisme systhématique à l'époque? 

En lisant ce récit, je pensais à tous ces travailleurs de la rue au service des sans abris. Je pensais aussi à tous ces gens qui accueillent des émigrants pour leur donner nourriture et logis. Je pensais à ce médecin qui disait hier soir que si des complotistes venaient avec la cavid-19, il les soignerait sans  un mot. Je pensais à ces parents au moment du départ de leur fils qui allait à l'aventure: Quoique tu fasses ou quoiqu'il t'arrive, sache toujours que ta mère et moi nous t'aimons. C'est voir l'être avant l'agir. Ce matin, Jésus donne une grande leçon de vie. Ce n'est plus "oeil pour oeil"  de l'Ancien Testament. Nous sommes invités à revisiter notre image de Dieu, ceci nous permetra de revisiter notre propre mentalité. Suis-je vraiment chrétien?

 

vendredi, 15 janvier 2021 15:23

Prends ta vie en main. Mc 2, 1-12.

Je rencontre Jésus c e matin qui m'apporte un beau message d'amour. Un jeune est paralysé, il est transporté au pied de Jésus qui lui dit: Tes péchés sont pardonnés. Les grands messieurs de la religion sont offusqués. Imaginez: Dieu seul pardonne les péchés et voila que ce petit galiléen se prend pour Dieu. L'orgueil est un grand péché, disait hier le curé dans le Temps d'une Paix. Alors Jésus dira au petit monsieur: Prends ton grabat et entre chez toi. Dépasse tes peurs et vit ta vie.  On dit que la vie de l'être humain est comme un fleuve. Le fleuvre qui arrive à l'océan a peur. Il a traversé des terres tranquilles, des forêts silencieuses e tle voila devant l'océan large, et il a peur de se faire avaler par l'oécan. Mais il découvre qu'il n'est pas avalé par l'océan, il devient océan. L'homme devant la vie a souvent peur de se faire avaler par d'autres plus grand ou plus fort que lui. Mais il découvre qu'il devient lui-même plus fort et plus sécure. C'est ce que vivra ce jeune homme. Jésus le guérit de ses peurs et il devient lui-même.

Remarquons que la foule à son arrivée l'empêche d'atteindre Jésus. Une fois guérit de ses peurs, la foule disparait et il sort allègrement. Que représente la foule? J'ai souvent des foules dans ma vie qui m'empêche de vivre pleinement. Ce sont des peurs, des blessures qui me rendent insécure. J'ai souvent besoin d'être guérit de mes "foules" qui me gardent adolescents souvent et m'empêche de vivre. Combien de jeunes sont victimes de peurs qui les conduisent trop souvent au suicide, à l'inaction, à la rue. En voyant le péché dans le cas de ce jeune home, les gens ne voient que la conséquence et rendent cet homme responsable de son état. Jésus ira à la cause et en guérissant la cause, il remet le jeune sur pied en contrôle de sa vie.  

Quelles sont les tuiles que je dois enlever pour arriver à Jésus? Chacun d'entre nous est invité à reconnaitre ses propres tuiles. Ce peut être l'ignorance, la peur, une fierté mal placée, etc .. Parfois mon être est confiné derrière un tas de préjugés, coutumes, lois, traditions, peurs et il me faut vivre un déconfinement.  Retrouver mon être vrai et profond, mes valeurs et mes forces. Nous faisons penser à un oiseau dont la porte de la cage est ouverte mais qui reste dedans. Nous avons tout ce dont nous avons besoin mais nous n'osons pas sortir de la cage. Ce n'est pas facile me direz-vous. Peutr être, mais souvenons -nous que Sénèque disait: Ce n'est pas parce que les choses snt difficiles que nous n'osons pas,  c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont dfficiles.

 

jeudi, 14 janvier 2021 15:39

Qui sont nos lépreux?

Jésus rencontre un lépreux qui lui demande: Si tu le veux, tu peux me gurérir. Et Jésus le guérit. Mc 1, 40. Qu'est-ce que Jésus vient me dire ce matin. Un lépreux est un exclus de la société. Quelqu'un que l'on met de côté parce qu'il ne correspond pas à nos critères de société. Un lépreux est quelqu'un que l'on met de côté à cause de la couleur de sa peau, de son orientation sexuelle, un pauvre dans la rue, une "fille mère qui déshonore sa famille,"  un couple non marié à l'Église, etc ...  Ma question ce matin: Comment se fait-il que l'Évangile est annoncé depuis 2000 ans et que nous sommes encore là? les miracles de Jésus sont des signes qui portent un message et non des actes merveilleux de puissance. Je suis convaicu aujourd'hui que Jésus  est dans la rue avec le sans abri et nous attend, il est avec l'émigré méprisé et mis de côté et nous attend,  il est dehors avec les femmes qui luttent encore aujourd'hui pour avoir la place qui leur revient dans la société et nous attend. Je crois que les pauvres, les mal gommés de la société nous demandent de devenir chrétiens et pasteurs à l'exemple du Christ. Nous sommes invités à redécouvrir l'Importance et la place des personnes avant les lois, les structures et le pouvoir. Nous pensions avoir enfermé Jésus Christ dans les tabernacles et voila qu'Il est dehors et nous attend. Nous sommes invités à vivre l'Eucharistie et non seulement à la célébrer. Méditons encore et Bonne journée.

 

mercredi, 13 janvier 2021 18:24

En Gaspésie.

La traversée des écrivains. Écrits sous la direction de Geneviève Lefebvre. Des écrivains sont venus vivre la traversée de la Gaspésie et ont raconté leur aventure, ce que ce voyage leur avait apporté, combien ils avaient été impressionnés par les espaces, la beauté, le silence, la bonté et l'accueil des gaspésiens.  La confiance et la chaleur humaine entre les personnes ont permit de guérir bien des blessures. Chaque récit nous fait part des bienfaits de ces randonnées en pleine nature. Ce livre est aussi rempli de photos magnifiques qui réfletent la beautés des lieux. C'est une excellent lecture et un bon compagnon.   

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